femme.ouverte

Soudain je me suis avisée que je risquais de tomber enceinte. Bien sûr, ils n’utilisaient jamais de capote, je ne savais même pas très bien ce que c’était. Mais il fallait vite que je prenne la pilule pour éviter une catastrophe.
Facile à dire… Il fallait que j’en parle à ma mère. Je n’osais pas évidemment. Mon père était parti de la maison et ma mère n’était pas autoritaire, plutôt effacée même, mais je craignais quand même sa réaction.
Il a bien fallu que je me lance. Elle a été choquée. Quoi ? A quatorze ans ? Déjà ? Mais c’est pas possible… Pour la rassurer je lui ai raconté qu’elle n’avait pas à s’en faire, que j’étais sage, que c’était pour plus tard, on ne sait jamais, faut toujours prévoir. Elle a accepté mes explications facilement. Au fond, elle ne voulait pas vraiment savoir. Elle préférait fermer les yeux. Elle m’a envoyé voir un toubib pour me faire prescrire la précieuse pilule.
Quand je suis entrée dans le cabinet, j’étais dans mes petits souliers. Il a bien fallu que je m’explique. L’homme, sec et nerveux, les cheveux gris coupés court, la cinquantaine, avait un air sévère, et encore plus quand il a su pourquoi je venais le voir. Il a commencé à me faire la morale, à me dire qu’il ne fallait pas que je traîne avec n’importe qui à mon âge, qu’il fallait que je fasse très attention. Puis il m’a dit qu’il devait m’examiner, que je devais me déshabiller. Je n’avais pas prévu ça…
J’ai dû me mettre en petite culotte, je croyais m’en tirer comme ça, mais il a exigé que je me mette entièrement nue. Je me suis retrouvée debout, nue devant lui. Sous le regard sans aménité de cet homme mûr, je me sentais une toute petite fille, légèrement honteuse. Il a commencé à me demander si j’avais déjà eu des contacts avec les garçons, si je m’étais déjà laissé toucher. J’ai bredouillé des explications vaseuses…
Mar 21 fév 2006 1 commentaire
très joli corps gracile... J'adore tes petits seins, contrairement à beaucoup d'hommes qui préfèrent les grosses mamelles. Moi, j'adorerais te les malaxer durement, en pincer rudement les tétons pour sentir un mouvement de retrait pour te soustraire à ma rude caresse. Tu chercherais à y échapper, mais tu ne dirais rien, et tu accepterais de subir sans mot dire, juste en gémissant doucement, parce qu'au fond de toi tu aimerais cette douleur qui irradie ta poitrine et te fais monter le rouge de la confusion aux joues. Des joues que je giflerais pour voir ton regard s'embuer d'un mélange de surprise, de peur, d'excitation de te sentir ainsi traitée. Alors, spontanément, tu glisserais à genoux pour remercier le mâle dominant en lui offrant ta bouche de fille facile...
yvan - le 12/08/2006 à 11h32