femme.ouverte

- A poil ! Il a ponctué son ordre en me collant une gifle. J’en ai été saisie. J’ai hésité quelques secondes entre la révolte ou la soumission. La joue me cuisait. Le sentiment qui m’envahissait était un mélange de crainte, d’humiliation et, je dois l’avouer, d’une étrange et intense excitation. J’avais craint un instant qu’il soit réellement violent. Il montrait au contraire une attitude étrangement calme, mais terriblement déterminée. Sûr de son pouvoir, sûr de ma soumission. Une deuxième gifle sur l’autre joue a vite maté mes velléités de rébellion. Dans un état de trouble indescriptible, je me suis prestement exécutée, et je me suis retrouvée quasi nue devant lui, toute honte bue. Il a vivement tiré sur ma culotte qui constituait ma dernière et dérisoire protection. Elle est tombée, enroulée autour de mes chevilles.
En me tirant encore plus rudement par les cheveux, il s’est mis à me fouiller l’entre cuisses sans ménagement avec son autre main. A quoi bon protester ? Mon sexe ruisselant disait assez à quel point j’étais déjà vaincue, et que j’acceptais par avance tout ce qu’il exigerait…
Une traction sur ma chevelure accompagnée d’un ordre sec : - a genoux ! J’ai glissé le long du mur, je me suis assise sur les talons. Fataliste, je l’ai regardé déboucler sa ceinture, ouvrir son jean, en sortir une bite brune, lourde, épaisse, dense, déjà ferme. Tranquillement, il a aussi sorti ses couilles. – Suce ! Evidemment… Je me suis exécutée. J’ai commencé à lécher doucement son gros gland circoncis, à le prendre en bouche, à le téter.
Mer 8 mar 2006 4 commentaires
Voilà un homme qui sait parler aux femmes !
Lulu - le 17/03/2006 à 23h44

Toute les femmes ne sont pas sans amour prore....


 

xar - le 03/09/2006 à 17h36
On adore ton blog,tes récits et les photos qui les illustrent,c'est trés beau,merci à toi et bisous doux...
M & J - le 23/06/2007 à 16h15

Tu sais ... Je vais te le dure franchement je ne suis pas une fan de ce genre d'histoire , mais ta façon d'écrire me fascine ! On sens tellement l'émotion

sakura-haruno - le 03/04/2011 à 19h30