femme.ouverte

En me tirant par les cheveux, il m’a obligée à me remettre debout, m’a plaquée contre le mur et forcée à soutenir son regard. Il a murmuré une sorte de compliment : - ça va, t’es une bonne vide couilles, tu vas faire l’affaire… Puis il m’a enfilé d’un seul coup plusieurs doigts dans le sexe, et s’est mis à me masturber très durement, faisant pénétrer ses doigts le plus loin possible dans ma chatte en feu. Il me faisait presque mal, mais je sentais monter en moi les spasmes de la jouissance. J’essayais d’y résister tant bien que mal en plantant mes ongles dans son bras pour le retenir. Je ne voulais pas lui donner ce spectacle, ni cette satisfaction. Mais malgré mes efforts désespérés, j’ai brusquement été prise d’un violent orgasme, dévastateur. J’ai essayé de cacher ma figure dans son épaule mais d’une brusque traction sur mes cheveux il m’a obligée à lui montrer mon visage défait, à ouvrir les paupières pour qu’il puisse lire dans mes yeux embués l’aveu que j’avais joui sous la rudesse de ses doigts. J’avais honte, je n’avais plus honte, j’étais au-delà de la honte. Il savait que désormais il pourrait tout me faire, tout exiger, tout me faire subir. Je le savais aussi. Je l’acceptais d’avance…
Ven 10 mar 2006 2 commentaires
de plus en plus soumisse, vraiment une bonne chienne docile, dans le plasir de la souffrance. ....
furyo69 - le 11/03/2006 à 16h03
Les hommes m'ont toujours perçue comme ça.
Isa - le 17/03/2006 à 23h46