femme.ouverte
D’une traction plus forte sur les cheveux, il m’a obligée à me relever à demi et à me coucher
sur sa cuisse. Il m’a planté ses doigts dans le gras d’une fesse pour remonter mon cul un peu plus, puis les a fait glisser à la recherche de mon sexe encore trempé, les y a encore enfoncés. Puis il est remonté dans la raie de mes fesses pour planter un doigt puis deux dans mon anus. J’ai gémi sous la rude intrusion. Soudain, sa main s’est abattue sur ma fesse. J’ai à peine eu le temps de revenir de ma surprise et de ressentir la brûlure, qu’il claquait aussi rudement l’autre fesse. J’ai jeté mes mains en arrière pour tenter de me protéger. Il a alors relâché mes cheveux pour saisir mes poignets et les tenir fermement. Je sentais ses doigts s’y incruster durement.
Il a eu alors tout le loisir de m’administrer une longue et cuisante correction. Il prenait son temps. Il avait tout le temps. J’essayais vainement d’échapper à sa main en me tortillant. Mais le rebeu affermissait sa prise sur mes poignets, et avait passé une jambe sur les miennes pour m’empêcher de fuir la cuisante et humiliante séance. Je ne pouvais plus bouger, je ne pouvais plus que subir. J’essayais de me murer dans le silence pour ne pas lui donner une satisfaction supplémentaire, mais je ne pouvais pas m’empêcher de gémir sourdement. Je ne sais pas combien de temps ça a duré. Une éternité.
Enfin il a cessé, a relâché sa prise pour me reprendre par les cheveux, tirer ma tête en arrière, m’obliger à lui montrer mon visage baigné de larmes. Les yeux dans les yeux il m’a dit : - T’es une bonne petite chienne, toi, mais t’as besoin d’être dressée. Je vais m’en occuper sérieusement.

Il a eu alors tout le loisir de m’administrer une longue et cuisante correction. Il prenait son temps. Il avait tout le temps. J’essayais vainement d’échapper à sa main en me tortillant. Mais le rebeu affermissait sa prise sur mes poignets, et avait passé une jambe sur les miennes pour m’empêcher de fuir la cuisante et humiliante séance. Je ne pouvais plus bouger, je ne pouvais plus que subir. J’essayais de me murer dans le silence pour ne pas lui donner une satisfaction supplémentaire, mais je ne pouvais pas m’empêcher de gémir sourdement. Je ne sais pas combien de temps ça a duré. Une éternité.

Dim 12 mar 2006
4 commentaires
G adoré tous vos récit j'aurais bien aimé que tu viennes en tunisie pour pouvoir te prendre à ma guise te baiser et planter ma carotte ds ton paturage si tu as un msn fais moi signe on discutera
hatem - le 12/03/2006 à 21h14
Des vacances en Tunisie, pourquoi pas.
Isa - le 17/03/2006 à 23h47
tu ma choker tu et une fille sal la femme du diable
cecile - le 28/05/2010 à 13h23
J ADORET KEL PLAISIR ELLE ASSUMER J ADORE RIEN KE DE LIRE CELA ME DONNER DU PLAISIR
JULIANASEXY@HOTMAIL.FR - le 11/04/2011 à 17h01