femme.ouverte

Il m’a obligée à me mettre debout et, me tenant toujours par les cheveux, m’a traînée jusqu’au lit qui faisait face au canapé. Il m’y a couchée. Aussitôt, il m’a écarté largement les cuisses en me saisissant par les chevilles, les faisant remonter presque jusqu’à mes épaules. Je le laissais, inerte, vaincue, examiner tranquillement mon sexe trempé, en écarter les lèvres sans délicatesse, le fouiller rudement. – Je crois que tu vas être bonne à baiser, maintenant. Son sexe brun était tendu, gonflé. Il s’est couché sur moi, l’a enfilé d’un seul coup au plus profond de mon vagin. Il s’est installé tranquillement, vautré sur mon ventre. Il a largement écarté les cuisses pour forcer les miennes à s’ouvrir au maximum, m’a agrippé les cheveux à deux mains et a commencé à me pistonner sur un rythme lent mais terriblement déterminé, implacable.
Il me labourait à longs coups profonds, cherchait à me pénétrer le plus loin possible. Je me sentais complètement remplie. Puis il ressortait presque totalement pour mieux m’asséner un nouveau coup de boutoir, son visage en sueur tout contre le mien. Il avait glissé une main sous moi pour m’introduire deux doigts dans l’anus en même temps qu’il me limait par devant. Ecrasée sous son poids, la tête bloquée et les cuisses verrouillées, je ne pouvais pas faire un mouvement. J’étais complètement à sa merci. Impuissante, les bras inertes sur le drap, je me laissais investir, posséder. Peu à peu je me suis sentie envahir par une longue montée de la jouissance, telle que j’en avais peu connue jusqu’ici malgré mes nombreuses expériences. Je me suis laissée emporter par une vague qui, bientôt, m’a submergée complètement. J’avais l’impression de couler dans un plaisir infini…
Lun 13 mar 2006 1 commentaire
Belle image de jouissance....
Yvan - le 17/03/2006 à 23h48