femme.ouverte

Je suis restée plusieurs mois sous la coupe de Rachid. Il se servait de moi comme son vide couilles permanent, comme il me l’avait annoncé sans ambages, et me baisait sans ménagement par tous les trous. Alors que j’aurais dû détester être rabaissée comme il aimait le faire, être réduite en objet qu’il utilisait à sa guise, souvent avec brutalité, j’étais étrangement attirée. Dès qu’il claquait dans les doigts, j’accourais. J’avais beau me dire que c’était parce qu’il valait mieux lui obéir pour éviter une correction que, de toute façon, je prenais quand même souvent, je ne pouvais pas me cacher qu’au fond j’y prenais une certaine forme de plaisir assez malsain.
Je savais ce qui m’attendait, et pourtant je n’ai jamais vraiment cherché à me dérober, à échapper à son emprise. Il n’avait qu’un geste à faire, un simple claquement de doigts, et je le suivais en silence. Les autres hommes du quartier me regardaient avec envie et dépit de ne pas pouvoir m’approcher. J’étais sa propriété, sa chasse gardée. Certaines filles, qui avaient eu affaire à Rachid et connaissaient ses méthodes, me considéraient avec un mélange de commisération et de mépris. Pour avoir eu la faiblesse de sortir un jour avec lui, la plupart semblaient ne pas comprendre pourquoi, moi, je continuais à accepter ce qu’elles avaient apparemment trouvé inacceptable.
Je m’en foutais au fond. J’acceptais mon sort parce que j’y trouvais une certaine forme de satisfaction intérieure, sombre, un peu morbide, dans laquelle je me complaisais. Lui utilisait sans vergogne sa « pute blanche » pour satisfaire ses besoins, qui étaient insatiables. Presque tous les jours pendant huit mois, il a forcé ma bouche durement en me serrant le cou, trouvant un plaisir évident à m’amener à la limite du vomissement, à faire couler mon rimmel sur les joues, avant de s’attaquer à mes autres orifices. Il adorait me sodomiser à cru, sans autre lubrification qu’un peu de salive, pour m’arracher des gémissements et des supplications, avant de souiller ma figure de sa jouissance.
Puis un jour, j’ai fini de l’intéresser. Il m’avait assez utilisée. Je me laissais faire trop docilement. C’était trop facile ; Il n’y trouvait plus de plaisir. Il avait besoin de chair fraîche, de nouvelles filles qu’il prendrait un malin plaisir à dominer et à forcer. Il m’a jetée du jour au lendemain comme une vieille chaussette sale qui aurait trop servi.
Mar 14 mar 2006 10 commentaires

Bonjour isa,


puis je me permettre une question ?


est ce que tu regrets Rachid ? et tu as trouver le même style d'homme qui te baisait comme ça ?


 


 

furyo69 - le 14/03/2006 à 08h01
Chère Isa,

Je viens de découvrir ton blog, je l'ai parcouru de fond en comble, et je dois dire que je l'ai trouvé très excitant, remarque pas très originale et assez attendue venant d'un simple mâle, il est vrai. C'est bien plus la qualité des textes que les photos qui ont retenus mon attention. Vie réelle, vie fantasmée ? J'ai lu déjà dans quelques commentaires que tu affirmais que tout ce que tu racontais içi n'est que la vérité, donc soit, je ne peux que te l'accorder. Ce que tu y racontes est assez troublant...L'homme que je suis en ressent un étrange mélange : ça flatte d'un côté l'instinct animal et inhérent de l'homme, ça conforte la supériorité de son membre, sa toute virilité avec laquelle il peut prendre sans ménagement et dominer. Aucun homme pourrait nier que ce que tu racontes l'excite au plus haut point, qu'il ne se projette pas, en train de te baiser sans retenue, ne se préoccupant que de sa propre jouissance, ne t'utilisant que comme un trou. Mais, d'un autre côté, ton blog me renvoit aussi l'image de ce que je ne veux pas être, de ce que je ne veux pas faire (ou pas devenir), jouir sans me préocuper de ma partenaire. Son plaisir est aussi, voire plus important que le mien. Mais bien evidement, si c'est une sorte de peur que cela me renvoie, c'est bien parce que l'instinct est là, tapie au fond de l'homme. J'ai bien compris que cet état d efait faisait partie intégrante de ta sexualité, mais elle semblait plus subie que souhaitée dans ton adolescence. Et puis elle s'est construite sur ces bases là, et cela n'en a t il pas finalement affecté ta vie sexuelle de façon redibitoire ? En partant de quelque chose de subi ? Je te pose et me pose la question. Même si il est clair et évident que tu tires ta jouissance de là. Masochiste ? As tu envisagé ce genre de relation sm ? Bref, je suis très, trop long. Tu peux, si tu es interessée par un échange, me répondre sur ma boite mail. Nous pourrons continuer de "disserter".

Bien à toi,
Fred
Fred - le 14/03/2006 à 19h29
venez voir mon sexe
zorro - le 16/03/2006 à 07h59
En réponse à ce long commentaire de Fred, je dirais sobrement qu'effectivement il y a dans beaucoup d'hommes ce désir, souvent caché, de se servir des femmes comme d'objets sexuels... et quelques femmes qui aiment ça, ou plutôt qui ont été "éduquées" en ce sens. C'est mon cas. Mais je ne vois pas en quoi ça aurait "affecté ma vie sexuelle de façons rédhibitoire"... Il n'y a pas de quoi se désoler. Je dirai plus tard, dans un autre envoi, mon expérience "conjugale", et combien elle a été finalement décevante. Je suis comme je suis, je ne me plains de rien, et j'assume tous comptes faits.
Isa - le 17/03/2006 à 22h45
Très excitant... Tu as encore l'anus ouvert et il te la fourre dans la bouche.... J'adore faire ça aussi.
Yvan - le 17/03/2006 à 23h49
Pour moi ça me fais mal au coeur tu mérite pas un con comme ça une femme ça se respecte même en amour les caresse les petits bisous une douceur c'est ça pour moi faire l'amour c'est donné du plaisir à une femme pas luis faire mal bisous
Christophe - le 18/03/2006 à 00h05
je viens de lire ton blog et malgré que j'adore le sex, j'aime faire l'amour et je ne suis pas contre un breve rencontre, mais je ne suis pas un animal et sais tous de meme rester maitre de moi, et garder un respect envers ma partenaire et moi-meme, mais là je ne trouve pas de mots pour decrire le degout profond que je resens apres avoir lu tes articles. Tu es une merde monstrueuse... et dans tous cela c'est tes parents que je plains car une merde comme toi, ils ont dû le remarquer meme si ils esperent se tromper...
Le sex est beau, mais toi tu en as fait une chose immonde, je me demande comment tu peu encore te regarder dans la glace.
Tu devrais te faire soigner par un bon psy si cela n'est pas trop tard.
Une poubelle comme toi ne devrai pas avoir le droit de citer.
Je suis desolé de parler de la sorte à un etre humain, mais apres avoir lu tous les posts tu me donne vraiment envie de vomir.
Joss - le 23/03/2006 à 07h17
le cul d'abord la bouche apres sale truiele9
lulu - le 06/01/2007 à 10h12
Faut quand même être sérieusement déglingué(e) pour publier sur son blog des photos de femmes maquillées comme après une bastonade !
Dayum 
Dayum - le 26/04/2009 à 10h27
Peut-être que je suis sérieusement déglinguée...
Isa

Tu dois mériter tes queues à coups de badine sur les mamelles

Pok - le 17/02/2020 à 10h50