femme.ouverte

Alerté par ma réputation dans le quartier, un vieux type m’a abordée. Lui aussi voulait « louer » mes services. Je n’étais pas très chaude. Il était déjà assez âgé, sûrement plus de soixante ans, si ce n’est plus. Vieux, sec et ridé, il ne me plaisait guère et je n’avais pas très envie de me laisser sauter par celui-là. Je l’écoutais d’une oreille polie, prête à décliner ses avances. Mais il m’a précisé ses intentions. Il ne chercherait pas à me baiser, tout simplement parce qu’il ne pouvait plus. Il voulait juste contempler et toucher le corps frais d’une jeune femme. Sa seule exigence était qu’il voulait me lécher le sexe, c’est tout le plaisir qu’il lui restait. Rien d’autre… Sa proposition pécuniaire a fini de me laisser convaincre.
Je suis allée régulièrement chez lui. Je n’avais pas envie de lui laisser prendre d’initiatives. Pour une fois, c’était moi qui menait le jeu. C’était ma condition. Quelquefois je me mettais nue, quelques fois non, pour le faire rager. Il était bien obligé d’en passer par mes caprices, ou bien je partais. Je le faisais s’allonger, puis j’allais m’asseoir sur sa figure. Je posais mon sexe sur son visage et je laissais sa langue fouiller ma chatte avec vigueur, y pénétrer le plus loin possible. Quand je devenais humide, je me frottais de tout mon poids sur sa figure, sur son nez, sa bouche, pour le barbouiller de mes sécrétions. Il adorait ça.
Un jour, il a eu un mot malheureux. Il m’a confié qu’il n’aimait pas les arabes qui infestaient dans le quartier, que c’était de la racaille. Je ne lui ai pas dit que je traînais avec eux dans les caves de la cité. Soudain, j’ai eu une idée pour le punir. La fois suivante, juste avant d’aller chez lui, je me suis laissée tirer par trois rebeux dans la cage d’escalier. Dès qu’ils se sont vidés dans mon vagin, je les ai quittés pour monter voir le vieux. Je lui ai dit de se

Ravi, il m’a demandé de revenir encore plus souvent. Je n’y ai pas manqué…
Mais il faudrait lui apprendre que les êtres humains sont tous pareille. un petit clin d'oeil : le goût du sperme est le même que l'on soit reubeu, renoi, babtou, chinois,...
bonjour,
j'ai envie de te dire que j'aime bien ton blog..le fait que tu écrive tes experiences, peuvent montrer peut etre un mal etre, ou bien tout simplement le fait que tu assumes ta vie.
J'ai pu ressentir dans tes articles beaucoup de sensibilité et meme si certain te jettent un regard dédégneux, moi je pense qu'au fond de toi tu es une fille bien. Pourquoi te traiter de trainée..? au fond, pourquoi les mecs qui collectionent les nénèttes sont des tombeurs et les filles des salopes.... il serait temps de briser un peu nos idées préconcues...
Fais juste attention à toi...
salut Isa
J'ai eu une période comme toi vers 16;17 ans ou je me laissais faire par les garçons sans rien dire mais cela n'a pas durer longtemps car je me sentais trop sale et honteuse.Je suis tombée sur ton blog par hasard et c vrai que son titre a poussé ma curiosité ! tu as raison si tu veux plein d'aventures, de ne pas te priver, et ceux qui te traitent de trainée ne valent pas mieux mais par contre protége toi !!! moi maintenant je suis une petite maman tranquille avec un p'tit bout de 2 ans et je te souhaite de connaitre le même bonheur et de te stabiliser un jour.Bises
tu ti connait en pipe ma belle et la soumission tu connait alors si tu veut devenir une soumise contact moi
a+ maitre seb
j'aurai fait la même chose je pense !!!
T'es excellente ;-))
Biz
Bonjour Isa, une vie à la Catherine Millet mais en beaucoup plus intéressante, je te félicite d'assumer ta sexualité de cette manière enfin une femme qui vat au bout de la pensée masculine...
Merci encore en bravo.
Isa, aussi surprenant soit-il, moi une fille, j'ai passé mon dimanche matin à lire ton blog et ne compte pas le nombre de fois où j'ai du me masturber pour apaiser mon désir .. comme quoi si tu sais parler aux hommes tu sais aussi parler aux femmes ... et les exciter!
Prends soin de toi quand même.
Très bien ça,