femme.ouverte

C’était un de ces après midi où je me sentais en état de vacuité, sans désir, sans projet, sans envie. Lasse de me promener sans but d’une rue à l’autre, j’avais fini par entrer dans un petit bistrot. Je m'étais tranquillement assise derrière la vitrine de façade, à rêvasser devant un café, en laissant se consumer une cigarette en gracieuses volutes que je contemplais distraitement, tout en regardant passer les gens,. Parmi eux, un gros bonhomme d'une cinquantaine d'années, plutôt laid, ventre proéminent, est passé en jetant un coup d’oeil rapide sur la vitrine du café. Je n’y avais pas spécialement fait attention. Mais quelques instants plus tard, il était réapparu, et s’était mis à me regarder avec insistance. Ça m’a troublée. J’avais baissé les yeux. Que me voulait-il ? Je n’ai pas tardé à le savoir. Pendant un long moment, il avait continué à me scruter sans vergogne. Puis il est entré d’un pas décidé, et m'a abordée avec des intentions non dissimulées. Manifestement, il avait jeté son dévolu sur moi, et il commença à me baratiner, à me raconter comment il m’avait remarquée à travers la vitre du bistrot, qu’il avait tout de suite eu envie de moi…
Au lieu de l'envoyer paître, je me suis laissée draguer. Je ne sais pas pourquoi. J’étais désoeuvrée, sans rien envie de faire en particulier, et j’étais un peu curieuse, en même temps que légèrement dégoûtée par ce gros type qu’il ne doutait de rien. Avait-il l’habitude de draguer ouvertement les femmes, malgré son physique peu engageant et sa personnalité grossière ?
Quand il a vu que je ne le repoussais que mollement il s'est enhardi. Très vite il est devenu plus direct, plus grossier, s’est mis à me tutoyer. Il m'a dit : je veux te baiser… Comme si je n’étais qu’une pute avec qui on ne prend pas de gants…
Comme je ne disais toujours rien, il a insisté en disant je te paye si tu veux. Il m'a royalement proposé 50 euros. J’étais interloquée. Une somme aussi dérisoire… Je ne valais vraiment pas plus que ça ? Alors, troublée, je me suis laissée convaincre. Sans un mot, je me suis levée, et je l’ai suivi, quelques pas derrière lui. Il m'a vite entrainée dans un petit hotel minable.
A peine arrivés dans la chambre, tout aussi minable, il m’a tout de suite ordonné : mets toi à poil, vite ! Je me suis exécutée comme un robot. J’ai juste eu le temps d’enlever mon débardeur. Le gros porc s'est emparé de mes seins qu’il a malaxés rudement, a brusquement relevé ma jupe froissée en chiffon sur ma taille, et m’a arraché mon slip. Il s’est servi de moi comme il a voulu. Comme il me payait, il s'est montré très exigeant et autoritaire. Il voulait tout, tout de suite. J'ai dû me mettre à genoux pour le sucer. Légèrement dégoûtée, je me suis appliquée sur sa petite bite, surplombée par son ventre proéminent. Alors il s’est installé sur le lit sans même le défaire, et m’a de nouveau enfilé sa bite dans la bouche en me tenant par les cheveux.
Puis il est monté sur moi en soufflant fort. Il s’est vautré en me traitant de putain, de traînée. Il devait faire au moins 90 kg, je sentais sa sueur poisseuse coller à ma peau... Puis il m’a retournée brutalement, et il m'a sodomisée sans ménagement, en me pénétrant d’un seul coup. Bien qu’elle soit de taille modeste, sa queue m’a fait mal en me forçant à sec. Il m’a bourrée durement en crochetant ses doigts dans le gras de mes fesses. Il essayait de m’arracher des gémissements de douleur, mais j’ai serré les dents et gardé un silence obstiné. Je ne voulais pas lui donner ce plaisir-là.
Ça n’a heureusement guère duré longtemps. Il a eu rapidement eu envie de jouir. Il m’a tirée par les cheveux pour décharger son sperme sur ma figure avant de m’obliger à le nettoyer soigneusement avec la bouche. A peine soulagé, il m’a lancé une poignée de billets froissés, et m'a aussitôt poussée brutalement hors de la chambre comme une malpropre, nue, poisseuse. J’ai vite enfilé mon débardeur, qu’il m’avait jeté à la figure en me lançant une bordée d’injures, et je me suis nettoyée sommairement avec un kleenex dans le couloir sombre, avant de retrouver la lumière de la rue, légèrement nauséeuse, légèrement honteuse… Ce gros salaud m’avait traitée comme une pute de bas étage. Il ne m’avait même pas donné la somme convenue : il n’y avait que quatre billets de 10 euros. Mais je ne parvenais pas à lui en vouloir. Au fond, il avait eu raison, il avait bien perçu ce que j’étais réellement…
Ven 12 sep 2008 45 commentaires
Je comprends ton excitation derrière une apparence honteuse. Je n'ai jamais rien posté avant alors que j'apprécie tes écrits. Mais que dire... tu racontes ta vie et tes expériences, je ne vais pas juger, je ne vais pas critiquer, il n'y a rien à critiquer.
C'est bluffant ta façon d'assumer, d'être toi. Et de ce que je vois, c'est ta plus grande richesse.

Tu m'intrigues comme tu as dû en intriguer des milliers d'autres.
C'est rare que lire un blog de cul me provoque autant de plaisir et d'excitation, autant d'émotions, parce que c'est trash, violent, sans fard et que j'aime la réalité du sexe. Le sexe tout rose ne m'intéresse guère.

Tu écris d'une plume qui tue tout. Mademoiselle, madame, j'adore.

Paquette - le 13/09/2008 à 18h40
Merci, Paquette, de ce mot chaleureux. Oui, tu as bien compris l'esprit de ce blog, la sincérité de ma démarche. Venant d'une femme, ces compliments me vont droit au coeur.
Je viens par la même occasion de découvrir ton propre blog, et j'y trouve, dans ton propre registre, la même sincérité, la même entièreté. Et bien sûr je m'empresse de le mettre en lien pour que d'autres le découvrent. 
Isa - le 14/09/2008 à 12h08
:)
Paquette - le 15/09/2008 à 23h32
Bonjour Isabelle, enfin des nouvelles de toi!
Toujours aussi  belle dans ta quête et dans ta vérité.
Tu es..... Ma soeur.

Paco
Ex ninous blog
Paco - le 17/09/2008 à 09h32
tres belle image j aimerais beaucoup mettre un lien sur mon blog de pour votre site envoyer moi quelques pics
maxdetyler - le 17/09/2008 à 12h29
Ja'i bcp aprecier tn bog,defois  non,bref j'ai une question,tu a subie tt ca et   de nombreuse fois sans capote par nimporte ki tu ta jamai eu peur du sida par exemple? car c chaud qd meme,moi je sui un mec bi et enfaite tt ce ke tu dit ba je pense ca de moi,je sai que je sui un vide couille,et un objet upres des filles
alex - le 20/09/2008 à 00h18

950000 visites, je me demande ce que tu réserves au millionnième !

yvan - le 20/09/2008 à 00h32
Superbe récit, belles photos.
gentleman4682 - le 27/09/2008 à 04h53
Bonjour...
J'aime lire les blogs d'un peu tout le monde, mais, pour la première fois (et la seule je crois), je suis restée véritablement scotchée par les écrits qui respirent la sincérité et la vérité crue, sans détours...Les photos sont également magnifiques et relatent véritablement vos écrits...Bravo, magnifique, continuez....
nymphonia
nymphonia - le 09/10/2008 à 12h42
Merci de ce compliment qui me va droit au coeur...
Isa
je souhaiteriez vous lire plus souvent... j'ai besoin de vous pour pouvoir jouir! je sais c'est grave mais c'est comme ça.
JM.Dx - le 10/10/2008 à 19h33
Jouissez, jouissez... sans entraves...
Isa