femme.ouverte

Un soir que je l’avais retrouvée dans notre quartier habituel, elle me dit qu’elle était fatiguée, qu’elle voulait prendre une chambre pour se reposer. Elle m’a demandé de l’accompagner. J’ai accepté bien sûr. Rien ne m’obligeait à rester sur le trottoir. On est allé dans un de ces petits hotels minables où on avait l’habitude de monter avec des clients. Le type de la réception nous a donné une clé sans poser de question ni réclamer d’argent. Djamila m’a dit en aparté qu’elle avait des conventions avec lui, qu’elle s’arrangerait, elle lui taillerait une petite pipe à l’occasion…
Arrivée dans la petite chambre au confort sommaire, Djamila s’est mise nue immédiatement pour se glisser dans les draps. Elle avait un joli corps, mince, brun et encore ferme malgré ses trente cinq ans et la dureté de ce qu’elle avait vécu. J’ai hésité un peu à l’imiter mais je n’ai pas voulu me donner le ridicule de jouer les timides, surtout qu’elle n’attendait que ça. Quand j’ai été nue, Djamila a soulevé le drap pour m’accueillir. Tout de suite elle s’est collée contre moi, m’a prise dans ses bras très tendrement. Sentir son corps chaud contre le mien m’a émue. Elle me murmura dans le creux de l’oreille qu’elle m’aimait beaucoup, qu’elle me considérait comme sa meilleure amie.
En me serrant de plus en plus fort, elle m’embrassa sur la bouche. Je m’abandonnai. Sa langue pénétrait entre mes lèvres, je n’ai pas opposé de résistance, je lui ai rendu son baiser, sa langue s’enroulait fougueusement dans la mienne.
Ses mains caressaient mon dos, mes fesses. Emue, je me laissai faire quand elle s’empara de mes seins. Puis elle d’une pression sur ma tête, Djamila amena ma bouche sur sa poitrine. Je m’exécutai. Je pris l’un après l’autre ses tétons durcis entre mes lèvres pour les téter. Puis elle appuya encore sur ma tête pour que je descende plus bas. J’avais compris ce qu’elle voulait. J’ai planté mon nez dans sa toison bouclée et odorante, posé ma bouche contre sa fente chaude. D’une main ferme, elle insistait pour que j’aille plus loin. Elle me guidait, j’obéissait docilement. Elle avait largement écarté ses cuisses, je ne pouvais faire autrement que la lécher de plus en plus profondément. Djamila me donnait des ordres : vas-y, suce mon clito, aspire le… Elle mouillait de plus en plus, j’avais le nez, la bouche, le menton barbouillés de ses sécrétions de plus en plus abondantes. Elle a jouit brutalement et bruyamment en resserrant ses cuisses qui enserraient ma tête comme un étau. Aussitôt, elle m’a retournée sur le dos et m’a embrassée à pleine bouche, partageant avec moi ses sécrétions qui me maculaient le visage. Puis elle me rendit consciencieusement la pareille en me léchant progressivement de haut en bas : le cou, les seins, le ventre puis la chatte. Je mouillais terriblement. Je me laissais complètement faire. Elle avait une langue savante et habile. Djamila n’a pas mis longtemps à me faire jouir. Le plaisir est monté progressivement, puis m’a submergée complètement. Epuisées, on s'est rapidement endormies, étroitement enlacées…
Jeu 6 avr 2006 4 commentaires

super récit c très érotique et donc très prenant si tu vois ce que je veux dire ....


biz à toi

labiattitude - le 06/04/2006 à 17h00

A la fois choqué, exité et charmé. Ton style est marqué, reconnaissable et tu sais parfaitement maintenir l'attention. Si ton aisance à l'écriture est egale à celle de tes caresses, je viens te voir quand tu veux :)


Plus serieusement, j'aime ton style meme si je suis ébahi par ce que tu fais.


Continue à nous conter tes aventures, pour notre plus grand plaisir...


Christian

christian - le 06/04/2006 à 19h02
Merci beaucou de ces commentaires élogieux. Donc... je continue...
Isa - le 06/04/2006 à 19h13

Bonjour Chère DJAMILA (même si tu n'es pas aux Lilas ___ MDR !) : J'ADORE les ARABES (même HOMMES) ; les putes et trainées --------------------------------------ERIK : letheilerik@wanadoo.fr  .

Erik (letheilerik@wanadoo.fr) - le 17/04/2013 à 17h09