femme.ouverte
Le soir même, Djamila m’a conduite chez Blacky qui nous attendait. Il s’est d’abord tourné vers elle pour lui réclamer la recette du soir. Il s’est mis à compter les billets devant moi sans se gêner, comme si c’était parfaitement naturel. Djamila avait beaucoup travaillé ce soir là pour éviter qu’il soit trop de mauvaise humeur. Apparemment satisfait, il lui dit de se mettre dans un coin et de se tenir tranquille, puis il se retourna vers moi. « Bon, allez, à poil, vite, que je voie la marchandise ! ». Intimidée par son ton autoritaire, je m’exécutai. Je me retrouvai nue face à lui. Le black s’est emparé de mes seins en les malaxant rudement et en tirant sur les tétons : « Dis donc, t’as pas beaucoup de nichons, hein. J’espère que le reste va compenser » ajouta t’il en introduisant une main inquisitrice entre mes cuisses. Après m’avoir fouillée profondément, il me fit basculer sur l’avant pour examiner mes fesses dans lesquelles il a planté ses doigts nerveux. Soudain il m’administra deux rudes claques sur les fesses en m’ordonnant de mieux me cambrer, de faire ressortir mon cul. Le black a alors passé sa main dans ma raie pour me planter un doigt dans l’anus. Le petit trou me brûlait.
Puis il m’a relevée et attrapée par les cheveux pour me faire avancer. « Viens par ici, à genoux, salope ». Lui s’est assis au bord du lit sur lequel Djamila avait pris place, tassée contre le mur, pour observer la scène, et a rapidement enlevé son jean et son caleçon. Il avait une bite noire impressionnante, très longue, très épaisse aussi. « Allez, suce moi ça, dépêches toi, salope ». J’ai englouti son gland pour le sucer consciencieusement, en faisant de mon mieux. Lui, tranquillement assis, tirait en cadence sur mes cheveux pour faire aller et venir ma bouche sur sa longue queue. Il forçait pour la faire entrer le plus loin possible, mais je n’arrivais pas à l’avaler toute entière.
Brusquement, il est sorti de ma bouche, et m’a relevé la
tête en tirant fort sur mes cheveux. Il m’a planté un regard dur et m’a dit « Djamila t’as tout dit ? Tu sais à quoi t’en tenir ? Alors tu sais que je n’aime que les femelles totalement soumises, entièrement à ma disposition, et de plus parfaitement dressées. L’arabe a du te dire qu’elle recevait régulièrement des corrections. Avec moi, c’est la règle, et il n’y a pas d’exception ». J’osai tourner la tête vers Djamila pour croiser son regard. Malgré la situation inquiétante, ironiquement, j'ai quand même pensé qu’elle n’étais par arabe mais kabyle, elle y mettait un point d’honneur. Mais c’était pour le moment sans importance… Ma copine avait un air compatissant, qui semblait me faire comprendre en même temps qu’elle m’avait bien prévenue, qu'après tout je l’avais bien cherché…

Brusquement, il est sorti de ma bouche, et m’a relevé la

Dim 9 avr 2006
8 commentaires
n'as tu pas peur d'etre soumises comme djamilia et d'avoir un mac ?
adieu la liberté !
el terror - le 09/04/2006 à 22h22
Bel engin sur la photo
doit etre bonne a ce mettre in the pussy
doit etre bonne a ce mettre in the pussy
soumise - le 10/04/2006 à 13h30
Mais dure à supporter dans l'anus...
Isa - le 10/04/2006 à 14h16
il ne te manque plus qu'un beau mec !
ltn - le 10/04/2006 à 23h10
Oui, très dure à supporter dans l'anus. Mais c'est précisément cette intromission douloureuse qui est particulièrement excitante.
Isa - le 12/08/2006 à 14h57
le blacky en proxo-philosophe et maîtrisant la langue de Molière ça le fait pas du tout.... c'est dommage
georges13 - le 19/01/2007 à 17h10
C'est ce que je me suis dit aussi, ce black parle parfaitement francais, et qui plus est, dans ce genre de situation ou il est excité, je crois pas qu'il doit sortir de telles phrases. A part ca, c'est intéressant, mais est-ce des histoires vraies, ou ton imagination ? Car c'est assez invraisemblable comme vie.
stacy - le 09/04/2011 à 13h26
très intéressant, .... j'attends le reste avec impatience.