femme.ouverte
Puis il s’est tourné vers moi en me tirant encore un peu plus les cheveux : « toi, à poil, et vite ! ». Je n’ai pas réagi tout de suite, j’ai eu un temps d’hésitation. Aussitôt, j’ai pris quatre baffes aller-retour qui m’ont saisies. Blacky a vivement tiré sur la fermeture éclair de mon blouson, dévoilant ma poitrine. Les joues en feu, les larmes au bord des yeux, j’ai baissé ma jupe sous le regard excité des noirs étalés sur le canapé et le lit. Blacky m’a ordonné de m’exposer, d’écarter les cuisses, d’ouvrir mes fesses au maximum pour « qu’ils voient la marchandise ». Cette fois, j’ai obéi tout de suite. Toute honte bue, j’ai du tourner sur moi-même, et je me suis laissée examiner comme une bête de foire.
Très joli récit comme à ton habitude.
En effet ta tof ne me laisse pas indifférent, j'ai pris l'habitude de ne plus juger les autres, chacun vit sa sexualitée comme ils veulents. tu es ravissante. Jolie Isa.
biz
Même si Je peux aussi concevoir qu'une fois prise dans cet engrenage, vous ne puissiez pas vous en sortir.
A bientôt
Maître Florent
absolument florent, la tendresse dans la soumission mais là encore j'ai du mal à saisir cette soumission et de quel droit déjà. cela serait bien qu'un le maitre se soumette à la cravache de la soumisse. Je pense qu'il y a un problème dans ce genre de pratique la soumission par les coups tellement facile c'est un peu abjecte je pense mais bon...Si la soumisse accepte de predre des coups pour le plaisir d'un homme pouquoi pas ....
Amicalement
Armando
la suite avec impatience
vivement la suite de ce texte !!!
D&V
Quel goût t'en restera-t-il sur les lèvres? Il me tarde de le savoir.
Paco