femme.ouverte

Quoi ? Deux de plus ? J’avais cru naïvement que quatre lascars, c’était bien assez comme ça, mais apparemment ce n’était pas l’avis de Blacky. Un quart d’heure passa encore, qui me parut terriblement long. On frappa de nouveau à la porte, et deux autres types entrèrent. Mon heure était venue… De plus en plus tendue, je contemplais, les yeux mi clos les six noirs qui allaient me passer dessus. Blacky se leva, me saisit par les cheveux pour me faire avancer au milieu de la pièce, en disant à ses potes « Bon, voilà la pétasse, elle est à vous. Va falloir la dresser, lui faire comprendre qu’elle est juste bonne à servir de sac à bites, un trou qu’on utilise comme on veut, autant qu’on veut. Elle a pas droit à la parole, elle a juste le droit de devenir une pute à blacks… ».
Puis il s’est tourné vers moi en me tirant encore un peu plus les cheveux : « toi, à poil, et vite ! ». Je n’ai pas réagi tout de suite, j’ai eu un temps d’hésitation. Aussitôt, j’ai pris quatre baffes aller-retour qui m’ont saisies. Blacky a vivement tiré sur la fermeture éclair de mon blouson, dévoilant ma poitrine. Les joues en feu, les larmes au bord des yeux, j’ai baissé ma jupe sous le regard excité des noirs étalés sur le canapé et le lit. Blacky m’a ordonné de m’exposer, d’écarter les cuisses, d’ouvrir mes fesses au maximum pour « qu’ils voient la marchandise ». Cette fois, j’ai obéi tout de suite. Toute honte bue, j’ai du tourner sur moi-même, et je me suis laissée examiner comme une bête de foire.
Jeu 27 avr 2006 12 commentaires
Face à toi, toute nue sans autre échappatoire que de boire le calice jusqu'à la lie. Halali dirait Elise.
Quel  goût t'en restera-t-il  sur les lèvres? Il me tarde de le savoir.

Paco
Paco - le 27/04/2006 à 00h44
Comment as tu pu accepter ça, je comprendrais jamais ce genre de soumission, vu qu'il n'était ici aucunement question d'amour. Tu t'es jeté toute seule dans l'antre du fauve, parce que ce n'est que ça des bête fauves pour agir comme cela. Apparemment tu en a tirée un très plaisir, une très grande jouissance. Il est évident que j'aurais moi aussi aimé caresser ce corps, joué avec tes formes, pénétrer dans ce jardin, dans cet antre chaud et humide mais trop souvent visité, mais sans violence car je n'en vois pas l'intérêt tu était prêt à te soumettre.Par contre Isabelle tu es sublime sur cette photo, tu ferais damner les saints tellement tu es belle est excitante comme pas permis
Armando - le 27/04/2006 à 03h38

Très joli récit comme à ton habitude.


En effet ta tof ne me laisse pas indifférent, j'ai pris l'habitude de ne plus juger les autres, chacun vit sa sexualitée comme ils veulents. tu es ravissante. Jolie Isa.


 


biz

furyo69 - le 27/04/2006 à 08h34
 5 blacks, une double P, 1 anale, 2 en bouche... ca risque de déchier
philippe - le 27/04/2006 à 12h19
Si Je peux comprendre ce qui vous motive à continuer à écrire ce blog, Je pense aussi qu'il est possible de vivre la soumission avec plus de tendresses et plus de bonheurs.
Même si Je peux aussi concevoir qu'une fois prise dans cet engrenage, vous ne puissiez pas vous en sortir.
A bientôt
Maître Florent
Le Maître Florent - le 27/04/2006 à 19h56

absolument florent, la tendresse dans la soumission mais là encore j'ai du mal à saisir cette soumission et de quel droit déjà. cela serait bien qu'un le  maitre se soumette à la cravache de la soumisse. Je pense qu'il  y a un problème dans ce genre de pratique la soumission par les coups tellement facile c'est un peu abjecte je pense mais bon...Si la soumisse accepte de predre des coups pour le plaisir d'un homme pouquoi pas ....


Amicalement


Armando

Armando - le 27/04/2006 à 23h06

la suite avec impatience

el terror - le 28/04/2006 à 00h48
Que de suspens ... intéressant comme toujours, en attendant la suite bientôt et peut-être un jour, trouver l'intégralité de tous tes récits sur le marché...
aylina - le 28/04/2006 à 22h36

vivement la suite de ce texte !!!


D&V

vertige - le 29/04/2006 à 08h37
Oui, j'ai désiré, et aimé, me livrer à cette bande de bêtes fauves qui m'ont violée implacablement pendant deux jours, forcée, humiliée, rabaissée. Je l'avais voulu. ça a été très dur à vivre et à supporter. Mais au bout du compte, cette très dure expérience m'a été profitable et je ne la regrette en aucune façon.
Isa - le 12/08/2006 à 14h16