femme.ouverte

Et, faisant mon examen de conscience, j’avoue que mon attirance allait de plus en plus vers la deuxième catégorie. Les gentils, les tendres, les respectueux, décidément, m’attiraient infiniment moins que les racailles qui ne me faisaient pas de cadeau. C’était avec ceux-là que j’atteignais les sommets d’un plaisir pervers, celui de me sentir réduite à l’état d’objet sexuel. Au risque de passer quelquefois de mauvais quarts d’heure, ce qui m’était déjà arrivé plus d’une fois, et ce qui ne m’empêchait pas de continuer à rechercher cette tension extrême qui m’était devenue comme une drogue, bien plus encore que le sexe lui-même.
Oh je sais. Certains d’entre vous m’ont déjà maintes fois dit les risques inconsidérés que je prenais. Et je leur ai souvent répondu que ces risques-là, je les acceptais, je les assumais. J’ai trop besoin de ces sensations infiniment plus fortes que celles que je peux ressentir face à face à un homme dit normal, qui me fais la cour avec délicatesse…


J’ai souvent connu ça durant mon adolescence, dans les cités HLM où j’habitais. Ça a été la base de mon éducation sexuelle. J’ai très vite été amenée à me faire sauter par des groupes de gars qui m’avaient cataloguée comme la petite salope du quartier, ce que j’étais effectivement devenue. J’ai déjà raconté ça longuement. Et quand j’ai pris un peu d’âge, que j’ai changé de quartier, j’ai fini par perdre le contact avec ce monde de la sexualité brute.



Il m’est souvent arrivé de me remémorer le dressage sans concession que m’avait infligée Rachid, le rebeu raciste et dominateur, ou le viol collectif vécu avec Blacky, le mac de mon amie intime, Djamila, et d’y trouver, malgré toute la violence qu’ils m’avaient fait subir, un véritable accomplissement. Et j’avais terriblement envie de connaître à nouveau ces moments terribles où je trouvais ma plénitude, forcée, souillée,, dans mon abaissement et mon humiliation la plus totale. Ça, tout le monde ne peut pas comprendre… je peux le comprendre.
Je me répète à chaque fois que je laisse un commentaire chez toi Isa... mais ce que tu racontes est passionnant. Tu vas au bout de tes envies, de tes "pervertions" ( non péjoratif pour moi... nous en avons tous), au bout de ton âme.
Certains ne comprennent pas oui... mais ce n'est pas important.
Je t'embrasse
Salut
Je viens de découvrir votre blog et il et vraiment réussi et vous êtes magnifique
J’ai crée mon blog et j’aimerais que vous participiez
C’est un blog sérieux qui et dédier a la sensualité et l’érotisme
Voici mon adresse pour les contributions si vous d’accord sa sera une immense joie.
http://sensualites.over-blog.com/
Merci
les bras m'en tombent....superbe, un des plus beau blog que j'ai croisé pour le moment.bravo et @ bientot
kisssssssss
j'ai l'impression (et d'ailleurs le titre du blog semble le confirmer) que cherchez principalement à revivre les moments érotiques de votre adolescence en les immortalisant par l'écrit, parce que c'était eux les plus excitants pour vous parce que nouveaux et donc troublants.
Après le fait d'avoir été relativement docile et dans des situations qui paraissent extrèmes (mais qui ne doivent pas non plus être si rarissime que ça) joue simplement un rôle fantasmatique ('il me domine ou croît me dominer, et avec la maturité ça m'excite encore plus' c'est un schéma de fantasme classique).
Je pense qu'en réalité tout le monde rétro-fantasme sur sa sexualité d'adolescence, qu'elle ait été 'soft' ou 'hard' elle est toujours excitante. Premiers bouquins X, pemiers jeux de séduction, fantasmes sur une copine de maman plus âgée, ce genre de souvenirs par exemple a toujours été très efficace chez moi, et je crois pouvoir étendre ceci à presque tout le monde.
Je n'ai ni respect particulier ni dédain pour votre blog mais bien que j'essaie de lire entre les lignes je ne parviens pas encore à comprendre les raisons qui vous poussent à raconter tout ceci.
J'imagine que c'est irrésistible, et surtout complexe. S'il n'y avait eut qu'une seule raison elle aurait plus facilement transpirée.
La plupart des blogs que l'on peut lire sont narcissiques. Chez vous il y a aussi d'autres forces en présence, et c'est surement ça qui rend la lecture intéressante (en plus du caractère porno évident). Je déteste les blogs en général, le votre est différent, mais je ne sais pas si je préférerai l'avoir lu ou pas.
Ca prend toujours aux tripes de venir sur ce blog lire vos expériences. Vous faites du mot expérience une belle illustration. Ce mot veut dire "se sortir du péril". Vous êtes si souvent sortie du péril que l'on peut comprendre ce qu'est le péril et le goût que l'on porte pour lui.
Avez-vous songé à compiler tout cela dans un ouvrage?
ervans@orange.fr ne ch rien!
ton blog est fascinant et beau. de même, tu es belle et fascinante ! et crois en un connaisseur... vas faire un tour sur mon blog ou celui de mon amie Lilu...
liludream.over-blog.com
ta passion du sexe est formidablement bien exprimée. continue !
bisou