Jeudi 16 février
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Très vite les choses sont allées plus loin que de simples pelotages. Des mains exploratrices dans le creux de mes fesses, des doigts inquisiteurs dans le sillon de mon sexe, des langues insistances dans ma bouche. Je me laissais faire passivement, mais non sans plaisir. J'aimais me laisser manipuler, souvent debout dans un coin sombre ou derrière un bosquet, sans bouger, sans réagir apparemment, sans prendre d'initiative. Encore aujourd'hui. J'aime me sentir docile, gibier, objet. ça déplait à certains qui, énervés par mon manque de réaction, me traitent de planche ou de bout de mou, mais d'autres apprécient, et perçoivent vite tout le parti qu'ils peuvent en tirer.
Vos réflexions