Jeudi 23 février
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23:24
Je n’ai pas demandé mon reste. Je suis vite remontée à la maison pour m’enfermer dans la salle de bains. Là j’ai essayé d’évaluer les dégâts. J’avais craint d’avoir un trou béant tellement j’avais mal. Mais non. Mon petit trou s’était bien refermé. Mais il était traumatisé, avec les bords tout gonflés. Je n’ai pas beaucoup dormi cette nuit-là. Longtemps, j’ai gardé cette étrange sensation, cette douleur sourde, cette brûlure vive, comme si mon voisin me sodomisait encore. Puis elle s’est progressivement atténuée. Je m’étais longuement masturbée en repensant à ma première sodomie. Je savais que j’en connaîtrais beaucoup d’autres…
Cette nuit-là, j’ai pris conscience que j’avais cessé d’être une sale petite gamine. J’entrais dans une autre phase de ma vie. Je n’étais plus cette très jeune fille encore vaguement innocente. J’étais devenue une salope accomplie, prête à toutes les aventures, prête à m’offrir à tous, à tout accepter, sans restriction. J’avais tout juste quinze ans.
Cette nuit-là, j’ai pris conscience que j’avais cessé d’être une sale petite gamine. J’entrais dans une autre phase de ma vie. Je n’étais plus cette très jeune fille encore vaguement innocente. J’étais devenue une salope accomplie, prête à toutes les aventures, prête à m’offrir à tous, à tout accepter, sans restriction. J’avais tout juste quinze ans.

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