Mon propos


Le journal intime d'une trentenaire, errante sexuelle.
On m'a toujours traitée de fille facile, de traînée, de marie-couche-toi-là. J'assume.
Je suis comme ça.
J'essaierai d'être vraie, sans fard, au fil d'un journal décousu, fait de réflexions, d'expériences vécues racontées franchement, sans détour mais sans vulgarité.
Isa
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Correspondance

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Mardi 2 mai 2 02 /05 /Mai 00:33
Au petit matin, on me laissa enfin un peu tranquille, faute de combattants. Je me suis effondrée et j’ai aussitôt dormi comme une masse, poisseuse de foutre. Mais le répit n’a pas duré longtemps. D’autres blacks sont arrivés après midi. Je savais que ça allait recommencer. Blacky m’a fait mettre à genoux devant eux, a sorti sa ceinture et m’a durement fouettée jusqu’à ce que je le supplie d’arrêter. Il m’a demandé de dire tout haut que j’étais leur pute et qu’ils pouvaient m’utiliser comme ils voulaient.
Le visage ravagé de larmes, maculé de l’eye liner qui avait coulé et du sperme séché des autres, j’ai dit oui. Je me suis retrouvée à plat ventre, les cuisses largement écartées, et ils m’ont l’un après l’autre défoncé l’anus et la chatte à leur convenance, vautrés de tout leur poids sur moi. Combien étaient-ils ? Je n’en avais pas la moindre idée. Ça n’avait plus d’importance. J’ai subi longtemps leur loi sans mot dire. Puis, enfin, quand tous se sont vidés les couilles dans tous mes trous, ils sont partis. Je suis restée seule, prostrée, saccagée, souillée de foutre, incapable de bouger. J’ai longuement pleuré en silence. Cette fois, j’étais bel et bien devenue un paillasson à blacks.
Par Isa - Publié dans : Le stage
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Commentaires

vos très nombreux commentaires, souvent contradictoires, appellent quelques commentaires de ma part.
D'une part, c'est vrai, j'avais un peu disparu de ce blog depuis quelques temps. J'en étais lassée, et j'avais d'autres envies. Et puis je viens d'y revenir, et de constater que votre intérêt pour mes récits ne faiblit pas. Mais je vous rassure, je vais très bien...
D'autre part, je n'ai pas cessé d'entretenir ce blog suite à mon "stage". Celui-ci est une expérience ancienne... à laquelle j'ai "survécu". Il était pour moi une expérience nécessaire. J'avais besoin de le vivre, de descendre au plus bas de l'échelle des femmes, d'être réduite au rang de putain à blacks, utilisée comme un morceau de viande par des hommes sans le moindre respect. Cela peut en choquer beaucoup, et je le comprend. Mais c'était ma démarche, une véritable nécessité pour aller au bout du bout, au bout de moi même. Une expérience "spirituelle" en quelque sorte, même si ça peut en faire ricaner certains. Je suis comme je suis, et je l'assume....
commentaire n° :51 posté par : isa le: 12/08/2006 à 13h42

Moi ce qui m'interesse surtout c'est la fasson dont tu a pu te procurer les photos personne n'y pensse..

commentaire n° :52 posté par : Durza le: 27/09/2006 à 15h00
Waouh ! Le récit de ce viol à plusieurs m'a excitée à un point .... je n'ai jamais osé mais j'en rêve.
commentaire n° :53 posté par : Bourgeon le: 01/01/2008 à 17h47
Merci pour ton commentaire, Bourgeon de rose... Trop rares sont les femmes qui osent s'avouer ce fantasme de viol collectif, qu'elles nourrissent pourtant souvent, à défaut de le vivre, simplement parce que un vrai viol, c'est insupportable...
Un viol consenti, désiré, par contre...
Je viens de lire ton blog. Tout neuf, pas encore très fourni, mais terriblement suggestif et excitant. Tu écris bien, continues...
commentaire n° :54 posté par : Isa le: 04/01/2008 à 11h56

Isa,


Merci pour tes encouragements. J'ai un autre blog "classique" et je me lance à peine dans l'écriture érotique, c'est pour ça qu'il est peu fourni ;) Je me pose des questions parce que je n'ai eu aucun commentaire depuis sa création. Mais comme toi, je suppose, je prends beaucoup de plaisir à écrire ces moments sensuels, c'est déjà énorme ! Et quand je lis un blog comme le tien, ça me donne envie de continuer ...


Pour le fantasme du viol, bien sûr, ce qui me fait fantasmer c'est un viol "consenti", en confiance, par un homme que je connaîtrais mais qui jouerait le jeu.

commentaire n° :55 posté par : Bourgeon le: 04/01/2008 à 22h06

bonjour à tous et bonne année 2008,


je suis étonnée de voir les différents commentaires - bien sûr les photos ne représentent pas du tout isa et c'est tant mieux car autrement ce ne serait que fiction - mais peut-être en est-ce????? et tant mieux ou tant pis mais bon dieu que c'est bien écrit et que ça fait venir des frissons dans tout le corps - oui Paco les femmes (peut-être y en a-t-il eu beaucoup?) ont lu ce blog et je suis sûre qu'elles ont aimé autant que moi j'ai aimé - et que c'est excitant cette lecture - elle donne envie (elle fait fantasmer) d'être capable de faire pareil qu'Isa, tout en redoutant de le faire - tu sais parfois on voudrait bien mais on n'ose pas - alors pour les commentaires c'est peut-être pareil - mais moi je te dis que la lecture des périgrinations d'Isa m'a donné des envies de Q et m'a géné aussi (quelque part) j'ai eu l'impression d'être une voyeuse mais ça aussi c'est terriblement excitant


Isa continue à nous raconter tes histoires de Q - tu nous fait saliver - je t'ai trouvé super - tu as eu envie et tu as osé - je t'embrasse  - jakie

commentaire n° :56 posté par : yvonne greaubeausse le: 07/01/2008 à 16h48
tu n es qu une merde qui ne prend pas assez de derouillees
commentaire n° :57 posté par : dan le: 23/04/2008 à 10h50

SALUT !!!tu ne vas tout de même pas te plaindez ; NOUS sômmes TOUS ! (des paillassons à blacks (FILLES comme "MECS") : nous sômmes TOUTES là POUR ça !!!

( ERIK(A ) .)

 

commentaire n° :58 posté par : letheilerik@wanadoo.fr le: 09/12/2012 à 15h50

On ne va pas s'apitoyer sur une femelle, ça prend beaucoup plus avant d'etre usée, l'abattage c'est 24 heures sur 24

commentaire n° :59 posté par : Harding le: 01/05/2014 à 15h20

C' est un minimum pour les blanchettes, en abattage elles prennent en permanence, bien sur au début il faut les dérouiller au carcan à saillies mais elles comprennent vite où est leur place à ces truies

commentaire n° :60 posté par : Karim le: 17/02/2020 à 11h12
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