Mardi 2 mai
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Au petit matin, on me laissa enfin un peu tranquille, faute de combattants. Je me suis effondrée et j’ai aussitôt dormi comme une masse, poisseuse de foutre. Mais le répit n’a pas duré longtemps. D’autres blacks sont arrivés après midi. Je savais que ça allait recommencer. Blacky m’a fait mettre à genoux devant eux, a sorti sa ceinture et m’a durement fouettée jusqu’à ce que je le supplie d’arrêter. Il m’a demandé de dire tout haut que j’étais leur pute et qu’ils pouvaient m’utiliser comme ils voulaient.
Le visage ravagé de larmes, maculé de l’eye liner qui avait coulé et du sperme séché des autres, j’ai dit oui. Je me suis retrouvée à plat ventre, les cuisses largement écartées, et ils m’ont l’un après l’autre défoncé l’anus et la chatte à leur convenance, vautrés de tout leur poids sur moi. Combien étaient-ils ? Je n’en avais pas la moindre idée. Ça n’avait plus d’importance. J’ai subi longtemps leur loi sans mot dire. Puis, enfin, quand tous se sont vidés les couilles dans tous mes trous, ils sont partis. Je suis restée seule, prostrée, saccagée, souillée de foutre, incapable de bouger. J’ai longuement pleuré en silence. Cette fois, j’étais bel et bien devenue un paillasson à blacks.
Par Isa
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Publié dans : Le stage
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