Samedi 18 février
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Je ne m'attachais pas, je ne tombais pas amoureuse. J'étais seulement avide de me sentir convoitée. Je passais de flirt en flirt, de mains en mains, parfois de deux ou trois garçons certains samedis. L'un ou l'autre me payait le cinéma l'après midi pour pouvoir me peloter dans le noir tout à loisir. Souvent, il me demandait de le masturber, souvent il jouissait dans ma main et ça n'allait pas plus loin.
A la sortie, satisfait, il m'abandonnait prestement. Souvent aussi, il m'arrivait de retrouver un autre garçon qui m'entrainait à son tour dans un coin sombre. J'ai appris à aimer ces ambiances claire/obscures, que je préfère à la pleine lumière. J'aimais aussi les booms du samedi après midi. Les danses lascives sur le tube à la mode étaient le prétexte idéal pour rapprocher les garçons et les filles. Je me laissais toujours peloter sans protester, puis souvent attirée dans un endroit tranquille.
Très vite, j'ai préféré fréquenter des garçons plus vieux, plus murs. Ils étaient plus expérimentés et plus exigeants. Un jour, l'un d'eux m'a demander de le sucer. Il m'a appuyé sur la tête, je me suis laissée glisser le long du mur, accroupie. Je ne savais pas quoi faire face à sa queue tendue. Je l'imaginais comme une glace à la fraise à deux boules... J'ai commencé à la lécher doucement. Au bout de quelques minutes, impatient, il a pressé son gland contre mes lèvres. J'ai compris, je les ai entrouvertes. Il s'est introduit dans ma bouche, m'a demander d'y passer ma langue.
Je me suis appliquée maladroitement. Je l'entendais gémir, j'en déduisais que c'est bien ce qu'il fallait faire. J'était fascinée par cette expérience nouvelle. Depuis, j'ai toujours aimé sentir une belle queue forcer ma bouche, m'inposer sa virilité jusqu'à m'étouffer. Puis d'un seul coup il a lâché un jet de liquide chaud. J'ai failli vomir, c'était écoeurant. J'ai recraché tant bien que mal. Je me sentais sale. Mais il m'a relevée et prise par le menton et m'a dit : c'est bien, tu es une bonne suceuse, tu as de l'avenir. Il devait avoir dix-sept ans, moi quatorze.
Par Isa
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Publié dans : Mon apprentissage
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