Mon propos


Le journal intime d'une trentenaire, errante sexuelle.
On m'a toujours traitée de fille facile, de traînée, de marie-couche-toi-là. J'assume.
Je suis comme ça.
J'essaierai d'être vraie, sans fard, au fil d'un journal décousu, fait de réflexions, d'expériences vécues racontées franchement, sans détour mais sans vulgarité.
Isa
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Correspondance

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Vendredi 24 février 5 24 /02 /Fév 15:06
Je montais souvent voir mon voisin qui me sodomisait régulièrement. Je n’aimais pas trop ça. C’était toujours douloureux, et assez humiliant, mais je lui cédais quand même docilement l’usage de mon cul en serrant les dents. Je m’appliquais à supporter la brûlure de la pénétration. Je pensais que de toute façon, il faudrait bien que je m’habitue à ce qu’on utilise tous mes trous. J’étais bien consciente que telle était la loi des hommes, et que je devrais la subir.
Je continuais aussi à sucer mes copains presque tous les soirs dans l’escalier ou à la cave. J’aimais me mettre à genoux, leur offrir ma bouche, la sentir investie par leur bite gonflée, sentir monter leur plaisir, voir jaillir leur sperme chaud vers mon visage. J’aimais ce sentiment un peu honteux quand il dégoulinait de leur liquide visqueux. Et plus encore quand ils m’y mettaient à plusieurs. J’avais plaisir à reprendre leur bite amollie dans la bouche, encore humide de leur jouissance. Le sperme ne me dégoûtait plus, au contraire. Et quand ils partaient, j’aimais rester seule encore un moment, agenouillée, le visage maculé. Je me masturbais longuement en me disait que j’étais vraiment une traînée.
Par Isa - Publié dans : Mes errances
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