Mon propos


Le journal intime d'une trentenaire, errante sexuelle.
On m'a toujours traitée de fille facile, de traînée, de marie-couche-toi-là. J'assume.
Je suis comme ça.
J'essaierai d'être vraie, sans fard, au fil d'un journal décousu, fait de réflexions, d'expériences vécues racontées franchement, sans détour mais sans vulgarité.
Isa
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Correspondance

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Jeudi 2 mars 4 02 /03 /Mars 16:07
La deuxième fois, ça a été quand j’ai rencontré Rachid, un Arabe terriblement dominateur. Je suis restée huit mois avec lui. Je raconterai ça une autre fois. Avec lui, j’avais très peu de liberté. Je devais rester à sa disposition en permanence. De temps en temps cependant, j’arrivais à échapper à son emprise et je retournais voir brièvement Robert. Je lui racontais tout ce que je vivais, c’était particulièrement rude mais excitant aussi. Il me consolait, et je le suçais tendrement jusqu’à ce qu’il se répande dans ma bouche. Et quand l’Arabe m’a jetée, je lui suis revenue.
La troisième fois a failli être une rupture définitive. Ça faisait déjà plusieurs années qu’il respectait nos conventions. Il disposait de moi comme il en avait envie sauf…
Un jour qu’il était assis sur le divan à côté de moi allongée, cuisses largement écartées, il me doigtait profondément comme il en avait l’habitude. Les yeux fermés, je goûtais la caresse savante. Soudain, il changea brusquement de position et se coucha sur moi. Surprise, je n’ai pas eu le temps d’éviter ce que je redoutais. Il était entré en moi d’un seul coup, profondément. Furieuse, j’ai essayé de me dégager, en vain. Il pesait de tout son poids sur moi. Impuissante, je l’ai laissé me besogner. Il a essayé de m’embrasser. J’ai tourné la tête, d’un côté puis de l’autre. Il n’a pas insisté. Il n’a même pas joui. Il a débandé, est sorti de mon vagin et s’est relevé.
Robert était désolé. Je suis restée prostrée sur le divan, puis je me suis relevée, je n’ai pas eu un regard. – Excuses moi, Isabelle, j’ai perdu la tête. – Vous n’auriez jamais dû, Robert. Je suis terriblement déçue. Vous ne me reverrez plus.
Je suis partie sur le champ, bien décidée à ne plus jamais le revoir. J’ai tenu parole pendant six mois, puis j’ai craqué. Je suis retournée le voir. Il n’attendait que ça. Il était malheureux. Je lui ai fait promettre de ne plus jamais recommencer. Il a reconnu qu’effectivement ça ne valait pas le coup de détruire notre belle relation. Je me suis mise à ses genoux, j’ai ouvert son pantalon, j’ai revu avec plaisir sa bite sombre et épaisse, et je l’ai de nouveau sucé amoureusement.
Les années ont passé. Aujourd’hui, j’ai mûri, il a vieilli. Il est toujours resté mon fidèle ami/amant. Depuis quinze ans, je le suce longuement, profondément, tendrement, consciencieusement. Il prend toujours autant de plaisir de ma bouche, et je me repais de son foutre épais et onctueux.
Par Isa - Publié dans : Mon vieil ami le photographe
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