Mon propos


Le journal intime d'une trentenaire, errante sexuelle.
On m'a toujours traitée de fille facile, de traînée, de marie-couche-toi-là. J'assume.
Je suis comme ça.
J'essaierai d'être vraie, sans fard, au fil d'un journal décousu, fait de réflexions, d'expériences vécues racontées franchement, sans détour mais sans vulgarité.
Isa
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Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 01:34
Peu à peu, je suis remontée à la surface, j’ai repris mes esprits. Lui n’avait pas joui. Il était toujours planté au plus profond de mon vagin, mais ne bougeait plus. Il m’observait intensément, m’obligeant à lui montrer la jouissance qu’il m’avait infligée en me bloquant toujours fermement la tête. Je ne pouvais pas lui échapper, éviter de lui livrer l’aveu de ma défaite. Puis il s’est brusquement retiré et d’une traction sur les cheveux il m’a forcée à me retourner sur le ventre. – Maintenant, je vais t’enculer, ma pute, c’est tout ce que tu mérites.
D’un mouvement brusque, il m’a fait écarter largement les cuisses. Une main toujours crispée sur mes cheveux, l’autre m’ouvrant les fesses sans ménagement, il m’a plantée sa bite dans l’anus. D’un seul coup. Violemment. Je n’ai pu m’empêcher de lâcher un cri tant bien que mal étouffé par l’oreiller. J’ai ressenti l’onde de douleur me remonter le long de la colonne vertébrale. Il m’a fait mal, terriblement. C’est ce qu’il cherchait. M’écrasant de tout son poids, il s’est mis à me labourer le cul implacablement. J’avais l’impression terrible qu’il allait me déchirer. J’avais eu le temps et l’occasion de vérifier qu’il avait une bite très large, encore plus épaisse à la base. Chaque fois qu’il s’enfonçait complètement dans mon anus, je le sentais clairement s’ouvrir encore un peu plus, devenir béant. Le rebeu était penché tout contre moi, m’obligeant à tourner la tête vers lui, une main plantée dans ma nuque, l’autre forçant ma bouche. Il me murmurait à l’oreille des mots en arabe, que je ne comprenais pas. Mais je devinais. Il me crachait à petits jets sur la figure. Sa salive inondait mon visage. Il prenait possession de moi, marquait son territoire. Puis il a lâché ma chevelure pour s’emparer de mes seins, les serrer durement, en pincer les bouts pour m’arracher les gémissements que je ne voulais pas lui offrir. Mais j’ai dû céder, émettre une longue plainte scandée chaque fois qu’il me poignardait le cul.
Impuissante, je l’ai subi longtemps, les doigts plantés dans les draps, le visage crispé à chaque coup de boutoir. J’avais l’impression de passer sous un rouleau compresseur. Il me sodomisait d’une manière implacable. J’ai bientôt cessé de gémir, c’était inutile. Je ne pouvais pas m’empêcher de noter que du plaisir se mêlait à la douloureuse pénétration. Oui, du plaisir. Celui de me sentir prise comme jamais, forcée, dévastée. Celui de me sentir soumise à un mâle dominant qui m’imposait sa loi et prenait en force son plaisir égoïste dans mes reins. Combien de temps cela a-t-il duré ? Une heure peut-être. Sa puissance paraissait inépuisable, j’étais totalement épuisée. Je me laissais enculer sans bouger, passive et inerte. Je n’avais pas de plaisir physique. C’était très rude et douloureux. J’étais juste intriguée par l’étrangeté de ce que je ressentais. Un plaisir cérébral à me sentir défoncée, violée sans merci, à ressentir son plaisir à lui. Il a joui enfin. Il a déchargé par saccades son foutre dans mon cul. Il a haleté son souffle chaud dans mon oreille, contre ma joue, puis s’est effondré. Nous sommes restés longtemps comme ça, inertes, lui vautré sur mon corps laminé. J’ai fini par sentir sa bite dégonfler, se rétracter, se retirer de mon anus béant, écorché vif.
Par Isa - Publié dans : Rachid
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