Mon propos


Le journal intime d'une trentenaire, errante sexuelle.
On m'a toujours traitée de fille facile, de traînée, de marie-couche-toi-là. J'assume.
Je suis comme ça.
J'essaierai d'être vraie, sans fard, au fil d'un journal décousu, fait de réflexions, d'expériences vécues racontées franchement, sans détour mais sans vulgarité.
Isa
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Correspondance

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Le stage

Samedi 29 avril 6 29 /04 /Avr 11:58
Certains avaient déjà sorti leur queue et se branlaient en me contemplant. D’autres s’étaient levés pour se rapprocher. J’étais cernée par les blacks qui se collaient à moi, s’emparaient sans douceur de mes seins. Déjà je sentais des doigts m’investir, forcer mon vagin. Les types s’esclaffaient, s’échangeaient bruyamment des commentaires salaces, disaient qu’ils allaient bien profiter de la salope de blanche. Quelqu’un me planta ses doigts dans la nuque et me força à me pencher en avant. Aussitôt je sentis des mains m’écarter encore plus les cuisses et les fesses, des doigts investir durement mes orifices.
Je n’ai même pas eu le temps d’émettre la moindre protestation : une bite me forçait déjà la bouche. Je me suis sentie empoignée violemment par les cheveux pour que je l’avale. J’ai dû engloutir l’énorme boudin noir. Le type s’est aussitôt enfoncé jusqu’au fond de la gorge. J’ai cru que j’allais vomir sous la violence de la poussée. Je sentais les larmes couler sur mes joues. Je suffoquais. Mais le black ne relâchait pas sa prise. Au contraire. Il forçait pour s’enfoncer encore plus loin. Mes doigts se sont crispés sur ses cuisses dures. Il est alors brusquement sorti de ma bouche pour me gifler à la volée en m’injuriant et en me criant que j’avais intérêt à tout avaler.
Je m’y suis appliquée et, au bout de quelques va-et-vient brutaux, il était parvenu à forcer ma gorge jusqu’au bout. Je sentais ses couilles battre contre mon menton…
Par Isa - Publié dans : Le stage
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Jeudi 27 avril 4 27 /04 /Avr 00:13
Quoi ? Deux de plus ? J’avais cru naïvement que quatre lascars, c’était bien assez comme ça, mais apparemment ce n’était pas l’avis de Blacky. Un quart d’heure passa encore, qui me parut terriblement long. On frappa de nouveau à la porte, et deux autres types entrèrent. Mon heure était venue… De plus en plus tendue, je contemplais, les yeux mi clos les six noirs qui allaient me passer dessus. Blacky se leva, me saisit par les cheveux pour me faire avancer au milieu de la pièce, en disant à ses potes « Bon, voilà la pétasse, elle est à vous. Va falloir la dresser, lui faire comprendre qu’elle est juste bonne à servir de sac à bites, un trou qu’on utilise comme on veut, autant qu’on veut. Elle a pas droit à la parole, elle a juste le droit de devenir une pute à blacks… ».
Puis il s’est tourné vers moi en me tirant encore un peu plus les cheveux : « toi, à poil, et vite ! ». Je n’ai pas réagi tout de suite, j’ai eu un temps d’hésitation. Aussitôt, j’ai pris quatre baffes aller-retour qui m’ont saisies. Blacky a vivement tiré sur la fermeture éclair de mon blouson, dévoilant ma poitrine. Les joues en feu, les larmes au bord des yeux, j’ai baissé ma jupe sous le regard excité des noirs étalés sur le canapé et le lit. Blacky m’a ordonné de m’exposer, d’écarter les cuisses, d’ouvrir mes fesses au maximum pour « qu’ils voient la marchandise ». Cette fois, j’ai obéi tout de suite. Toute honte bue, j’ai du tourner sur moi-même, et je me suis laissée examiner comme une bête de foire.
Par Isa - Publié dans : Le stage
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Jeudi 27 avril 4 27 /04 /Avr 00:10
Le lendemain, j’attendis le début de l’après-midi avec angoisse. Blacky me surveillait du coin de l’œil depuis le matin sans rien dire, sans doute pour m’empêcher de fuir si j’avais essayé.
Je m’étais posée des questions puériles du genre comment m’habiller. C’était idiot parce que je devinais bien que je ne resterais pas habillée longtemps. Finalement j’optais pour une jupe courte et un blouson de cuir, sans rien du tout dessous. Tout sous-vêtement me paraissait inutile, et puis je voulais éviter de les aguicher, les exciter encore plus. Je me contentai de me maquiller un peu les yeux, comme j’en avais l’habitude.
Vers 14 heures, on frappa sèchement à la porte. Les coups résonnèrent très fort en moi. J’avais la peur au ventre. Blacky fit entrer trois noirs baraqués, l’air pas commode. Ils sont allés se vautrer dans le canapé pour me détailler sans dire un mot. Moi, j’étais debout, plaquée contre le mur, les yeux baissés. J’attendais mon sort, paralysée, silencieuse. Ils parlaient entre eux, sans m’adresser la parole, comme si je n’étais pas là. Blacky leur dit qu’il en attendait encore deux autres, et distribua des bières en attendant.
Par Isa - Publié dans : Le stage
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