Mardi 2 mai
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00:21

Puis ils ont changé de position. Un deux s’est couché sur le lit, d’autres m’ont empalée sur lui, et fait pencher en avant pour me sodomiser. Prise en sandwich par deux énormes bites noires qui me labouraient sans relâche, j’ai encore du me laisser investir la bouche. J’étais prise par les trois trous en même temps. Quand les premiers étaient fatigués, trois autres blacks prenaient le relais…
Par Isa
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Mardi 2 mai
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00:15

Soudain j’ai été projetée sans ménagement sur le lit, à genoux, la figure enfouie dans les draps. Ils se sont mis à plusieurs pour me faire lever les fesses à grands coups de claques sur le cul, écarter les cuisses au maximum. Une bite m’a forcé l’anus d’un seul coup, sans préparation. J’ai crié mais un d’eux m’a relevé la tête de force pour me gifler en m’intimant de me taire. Je me suis tue et je me suis laissée défoncer le cul en pleurant silencieusement. Quand le type s’est retiré, les autres se sont esclaffés en contemplant mon anus dilaté. Certains y ont enfoncé plusieurs doigts pour l’agrandir encore.
Par Isa
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Lundi 1 mai
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02:05
Pendant ce temps, d’autres s’occupaient de mon derrière. J’avais tellement de mal à avaler l’autre bite par-devant que j’avais peine à faire attention à ce qui se passait de l’autre côté. C’est comme si j’étais partagée en deux parties qui subissaient les assauts chacune de leur côté. J’avais la chatte et l’anus envahis par des doigts agressifs. Le petit trou me faisait mal et me brûlait. Les types derrière moi étaient surexcités. Des claques s’abattaient rudement sur mes fesses. Je crois qu’ils s’y mettaient tous. J’étais solidement tenue, je ne pouvais que subir la cuisante correction…

Une queue s’est enfoncée d’un seul coup tout au fond de mon vagin et s’est mise à me labourer brutalement pendant que le type me tenait solidement par les hanches. Celui qui avait forcé ma bouche s’est brusquement retiré pour céder la place à un autre qui m’a agrippé fermement la gorge pour me pistonner violemment. Les yeux embués, je salivais énormément, au bord du vomissement à chaque coup de boutoir. Des mains rudes pressaient mes seins, pinçaient durement les bouts. Les salauds étaient déchaînés. Certains gueulaient parce que les autres ne leur laissaient pas la place pour pouvoir m’enfiler à leur tour.
Par Isa
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