Mon propos


Le journal intime d'une trentenaire, errante sexuelle.
On m'a toujours traitée de fille facile, de traînée, de marie-couche-toi-là. J'assume.
Je suis comme ça.
J'essaierai d'être vraie, sans fard, au fil d'un journal décousu, fait de réflexions, d'expériences vécues racontées franchement, sans détour mais sans vulgarité.
Isa
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Correspondance

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Rachid

Mercredi 8 mars 3 08 /03 /Mars 23:45
- A poil ! Il a ponctué son ordre en me collant une gifle. J’en ai été saisie. J’ai hésité quelques secondes entre la révolte ou la soumission. La joue me cuisait. Le sentiment qui m’envahissait était un mélange de crainte, d’humiliation et, je dois l’avouer, d’une étrange et intense excitation. J’avais craint un instant qu’il soit réellement violent. Il montrait au contraire une attitude étrangement calme, mais terriblement déterminée. Sûr de son pouvoir, sûr de ma soumission. Une deuxième gifle sur l’autre joue a vite maté mes velléités de rébellion. Dans un état de trouble indescriptible, je me suis prestement exécutée, et je me suis retrouvée quasi nue devant lui, toute honte bue. Il a vivement tiré sur ma culotte qui constituait ma dernière et dérisoire protection. Elle est tombée, enroulée autour de mes chevilles.
En me tirant encore plus rudement par les cheveux, il s’est mis à me fouiller l’entre cuisses sans ménagement avec son autre main. A quoi bon protester ? Mon sexe ruisselant disait assez à quel point j’étais déjà vaincue, et que j’acceptais par avance tout ce qu’il exigerait…
Une traction sur ma chevelure accompagnée d’un ordre sec : - a genoux ! J’ai glissé le long du mur, je me suis assise sur les talons. Fataliste, je l’ai regardé déboucler sa ceinture, ouvrir son jean, en sortir une bite brune, lourde, épaisse, dense, déjà ferme. Tranquillement, il a aussi sorti ses couilles. – Suce ! Evidemment… Je me suis exécutée. J’ai commencé à lécher doucement son gros gland circoncis, à le prendre en bouche, à le téter.
Par Isa - Publié dans : Rachid
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Mercredi 8 mars 3 08 /03 /Mars 01:40
Ça n’a pas duré longtemps en effet. Il habitait dans une cité pas très loin. Pendant le trajet, je gardais obstinément le regard vague, rivé au pare brise, sans rien regarder de précis. Dans l’ascenseur, on n’a pas échangé un mot. Je restais obstinément collée contre la cloison taguée, les yeux baissés, n’osant soutenir son regard. Lui contemplait tranquillement sa proie sans la toucher. Il avait tout le temps…
Dès qu’il m’a introduite chez lui, il n’a pas perdu une seconde. Il m’a de nouveau prise par les cheveux, plus rudement cette fois, et m’a plaquée contre le mur du salon. Il m’a agrippé les joues avec force, y plantant ses doigts, puis forcé la bouche avec son pouce en me disant : - maintenant, écoute-moi bien, je n’aime pas parler pour ne rien dire. C’est moi qui mène le jeu, tiens-toi le pour dit. Je n’aime que les salopes dociles. Pour moi, elles ne sont que des femelles à ma disposition, juste bonnes à obéir et à me satisfaire, à me vider les couilles. T’as compris ? J’aime m’en servir comme je veux, autant que je veux, les utiliser à fond, les rabaisser, surtout les petites putes blanches comme toi. Parce que c’est bien ce que t’es, hein ? Une bonne pute, non ? Réponds…
J’étais paralysée. De peur un peu, d’excitation beaucoup. J’avoue que ses insultes me faisaient de l’effet, beaucoup plus que j’aurais imaginé. Je m’étonnais moi-même… D’une voix presque inaudible, je lui dis ce qu’il attendait : - oui je suis une pute. – Bien… Et t’as déjà servi de pute à rebeux ? Je fis non de la tête. Alors tu vas commencer ce soir.
Par Isa - Publié dans : Rachid
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Mercredi 8 mars 3 08 /03 /Mars 01:35
J’avançais devant lui. Je n’avais pas le choix, il me tenait fermement par le cou. Mais de toute façon, je n’avais pas la moindre envie de lui résister. En quelques minutes à peine, il m’avait fait ressentir une virilité, une autorité qui n’acceptait pas la moindre contestation. Et j’avoue que ça m’avait fait un effet terrible… Il m’a entraînée sur le parking, jusqu’à une vieille bagnole. A peine installés, il a repris son exploration de mon corps. De nouveau, il m’a empoigné la chevelure pour renverser ma tête en arrière, m’obliger à le regarder droit dans ses yeux noirs. Tout en malaxant rudement ma poitrine, il me dit d’un ton calme : - Tu vas être ma salope ce soir. Toute la nuit… Je n’ai rien répondu. Son autre main a plongé sous ma robe. Instinctivement, j’ai resserré les jambes, mais un ordre sec m’a rappelé à l’ordre : - écarte les cuisses, salope ! j’ai obéi. Il n’a pas tardé à s’apercevoir que ma culotte était trempée. Je me sentais rougir, à la fois de honte et d’excitation. Il me dit d’un air goguenard : - Je vois ça. T’as envie de la bonne bite d’arabe, hein ? Tu vas en avoir, tu vas pas être déçue… En route, j’habite pas loin, on en a pour cinq minutes…
Par Isa - Publié dans : Rachid
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