Mon propos


Le journal intime d'une trentenaire, errante sexuelle.
On m'a toujours traitée de fille facile, de traînée, de marie-couche-toi-là. J'assume.
Je suis comme ça.
J'essaierai d'être vraie, sans fard, au fil d'un journal décousu, fait de réflexions, d'expériences vécues racontées franchement, sans détour mais sans vulgarité.
Isa
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Correspondance

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Rachid

Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 01:27
Il m’a obligée à me mettre debout et, me tenant toujours par les cheveux, m’a traînée jusqu’au lit qui faisait face au canapé. Il m’y a couchée. Aussitôt, il m’a écarté largement les cuisses en me saisissant par les chevilles, les faisant remonter presque jusqu’à mes épaules. Je le laissais, inerte, vaincue, examiner tranquillement mon sexe trempé, en écarter les lèvres sans délicatesse, le fouiller rudement. – Je crois que tu vas être bonne à baiser, maintenant. Son sexe brun était tendu, gonflé. Il s’est couché sur moi, l’a enfilé d’un seul coup au plus profond de mon vagin. Il s’est installé tranquillement, vautré sur mon ventre. Il a largement écarté les cuisses pour forcer les miennes à s’ouvrir au maximum, m’a agrippé les cheveux à deux mains et a commencé à me pistonner sur un rythme lent mais terriblement déterminé, implacable.
Il me labourait à longs coups profonds, cherchait à me pénétrer le plus loin possible. Je me sentais complètement remplie. Puis il ressortait presque totalement pour mieux m’asséner un nouveau coup de boutoir, son visage en sueur tout contre le mien. Il avait glissé une main sous moi pour m’introduire deux doigts dans l’anus en même temps qu’il me limait par devant. Ecrasée sous son poids, la tête bloquée et les cuisses verrouillées, je ne pouvais pas faire un mouvement. J’étais complètement à sa merci. Impuissante, les bras inertes sur le drap, je me laissais investir, posséder. Peu à peu je me suis sentie envahir par une longue montée de la jouissance, telle que j’en avais peu connue jusqu’ici malgré mes nombreuses expériences. Je me suis laissée emporter par une vague qui, bientôt, m’a submergée complètement. J’avais l’impression de couler dans un plaisir infini…
Par Isa - Publié dans : Rachid
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Dimanche 12 mars 7 12 /03 /Mars 02:06
D’une traction plus forte sur les cheveux, il m’a obligée à me relever à demi et à me coucher sur sa cuisse. Il m’a planté ses doigts dans le gras d’une fesse pour remonter mon cul un peu plus, puis les a fait glisser à la recherche de mon sexe encore trempé, les y a encore enfoncés. Puis il est remonté dans la raie de mes fesses pour planter un doigt puis deux dans mon anus. J’ai gémi sous la rude intrusion. Soudain, sa main s’est abattue sur ma fesse. J’ai à peine eu le temps de revenir de ma surprise et de ressentir la brûlure, qu’il claquait aussi rudement l’autre fesse. J’ai jeté mes mains en arrière pour tenter de me protéger. Il a alors relâché mes cheveux pour saisir mes poignets et les tenir fermement. Je sentais ses doigts s’y incruster durement.
Il a eu alors tout le loisir de m’administrer une longue et cuisante correction. Il prenait son temps. Il avait tout le temps. J’essayais vainement d’échapper à sa main en me tortillant. Mais le rebeu affermissait sa prise sur mes poignets, et avait passé une jambe sur les miennes pour m’empêcher de fuir la cuisante et humiliante séance. Je ne pouvais plus bouger, je ne pouvais plus que subir. J’essayais de me murer dans le silence pour ne pas lui donner une satisfaction supplémentaire, mais je ne pouvais pas m’empêcher de gémir sourdement. Je ne sais pas combien de temps ça a duré. Une éternité. Enfin il a cessé, a relâché sa prise pour me reprendre par les cheveux, tirer ma tête en arrière, m’obliger à lui montrer mon visage baigné de larmes. Les yeux dans les yeux il m’a dit : - T’es une bonne petite chienne, toi, mais t’as besoin d’être dressée. Je vais m’en occuper sérieusement.
Par Isa - Publié dans : Rachid
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Dimanche 12 mars 7 12 /03 /Mars 01:59
Il s’est dégagé calmement en suçant ses doigts. Son regard était narquois. Il est allé au fond du salon, a commencé à se déshabiller méthodiquement. Toujours affalée contre mon mur, molle et sans force, je contemplais son corps qui se découvrait en reprenant lentement mes esprits. Un bel animal. Un corps sec, musclé, à la peau brune, légèrement poilu. Une fois nu, il s’est affalé dans le canapé, jambes largement écartées. Son sexe posé sur sa cuisse, bien qu’il ne bandait plus, restait d’une belle taille. Il m’a dit d’un ton tranquille mais sans réplique : - viens ici, à genoux, au pied, c’est ta place… J’ai obéi, bien sûr.
Je me suis décollée du mur et je me suis  allée m’agenouiller entre ses jambes. Il m’a repris par les cheveux et a saisi sa bite pour me la mettre sous le nez. – Tu vois mon zob ? Voilà ton maître. Désormais tu vas devoir lui obéir et le satisfaire aussi souvent qu’il en aura besoin. Et il en a souvent besoin, ajouta t’il d’un air goguenard. Un long filet de liquide gluant sourdait de la fente de son gland. D’un geste il le déposa sur ma joue, à la commissure de mes lèvres. – Vas y lèche ! Nettoie- moi tout ça ! J’ai fermé les yeux et je l’ai effacé avec ma langue. Puis, d’une impulsion sur la tête, il m’a fait comprendre que je devais le sucer de nouveau. Je me suis appliquée. Je le faisais lentement, consciencieusement. Cette fois, le rebeu s’est laissé faire, apparemment satisfait de mes services. De temps en temps il me donnait un ordre pour que j’insiste plus sur le gland, pour avaler sa queue plus complètement, ou pour lui lécher les couilles. Je m’en acquittais de mon mieux. Lui prenait un malin plaisir à poser sa bite qui commençait à rebander sur ma tête, dans mes cheveux, pendant que je léchais la base de sa bite. J’avais ainsi la figure presque entièrement enfouie dans son sexe, dans ses grosses couilles chaudes…
Par Isa - Publié dans : Rachid
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