Lundi 13 février
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Une femme de 32 ans, célibataire, et heureuse de l'être. Autrefois mariée, peu de temps. Je m'étais vite ennuyée, sans tout à fait savoir pourquoi. J'ai repris ma liberté, et là, j'ai vraiment su pourquoi.
Avant de me "fixer" avec un garçon plutôt gentil et sympa par ailleurs, j'avais déjà pas mal connu d'expériences avec les hommes.
Ado, déjà, ça avait commencé très tôt. Je ne prenais jamais l'initiative, non. Introvertie, réservée, peu expansive, j'ai toujours préféré laisser les garçons prendre les choses en main. Et à vrai dire, je me laissais faire assez facilement. J'ai rarement repoussé leurs avances. Je me suis très tôt laissée tripoter dans les petits coins. Je ne détestais pas ça, loin de là. Assez vite, j'ai eu la réputation d'une fille facile dont les garçons se vantaient de "se l'être faite", même si ce n'était que des "roulages de pelles" et des pelotages appuyés.
Et bien sûr, ils prenaient un malin plaisir à se refiler le bon tuyau... Je n'avait pas beaucoup d'amies. La plupart des filles me tenaient à l'écart. Trop douteuse pour la haute idée qu'elles se faisaient d'elles-même sans doute. Pas grave. J'ai toujours été d'un tempérament solitaire, et ça me convenait.
Quoi qu'il en soit, pas mal de garçons, même si ils ne me tenaient pas forcément en haute estime, ont fait leurs premières armes avec moi, parce que j'étais une des rares qui ne disait pas non, ou qui ne faisait pas de manières. J'avais treize/quatorze ans, eux à peine plus. Les choses sérieuses allaient commencer...
Par Isa
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Publié dans : Journal d'une traînée
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Superbe blog que nous fais là, vraiment, je l'apprécie vraiment.
Gentle 13
Comme toi, j'ai commencé très tôt, à 14 ans mais à la différence, je ne savais pas ce que je voulais. La vie s'est chargée de me l'apprendre par la suite.
Ce commentaire pour juste t'exposer mes états-d'âme. D'autres vont suivre ...
Bisous
Flo
J'attend tes prochains témoignages avec une grande impatience. Bisous, Flower.
Soyez enfin adulte, et assumez vous auprès d'adultes. Ne soignez pas votre infantilité psychique et sexuelle au détriment de ces enfants, dont vous vous contrefoutez des traumatismes que vous leur infligez. Je ne vous salue pas, je vous méprise...
Dayum