Mardi 21 février
2
21
/02
/Fév
00:05
Sceptique, il a commencé par me palper les seins, plutôt rudement, puis il m’a ordonné de m’allonger sur la table d’examen et m’a fait mettre les pieds dans des étriers. Les cuisses largement écartées, je me sentais troublée d’être exposée ainsi tandis qu’il me scrutait l’entrejambe. Je n’avais pas tout vu.
Il a enfilé des gants en caoutchouc et a écarté les lèvres de ma vulve. Très vite il s’est aperçu que je n’étais plus vierge. Il s’est mis à m’engueuler en me traitant de petite traînée, en me disant qu’à quatorze ans je promettais… Il a enfoncé ses doigts dans mon sexe sans ménagement, brutalement même. Comme j’amorçais un mouvement de recul, il me dit d’un ton rogue que d’habitude, apparemment, je ne faisais pas tant de manière. La honte et l’humiliation m’ont submergée, et encore plus quand je me suis aperçue que je mouillais abondamment sous la rude caresse, et qu’il ne pouvait que s’en rendre compte.
Ce qui n’a pas manqué. Son regard était devenu dur. Il a retiré son doigtier et m’a lancé d’un ton sarcastique : avec toi, pas la peine de prendre de gants ! Il m’a profondément fouillée à main nue, rudement, son pouce appuyé sur mon bouton. Je n’ai pas pu soutenir son regard vicieux, j’ai baissé les yeux et, impuissante, je me suis abandonnée, en sueur, et je n'ai pas pu m'empêcher de jouir sous ses doigts autoritaires.
Aussitôt il m’a ordonné de me relever et de me rhabiller en me traitant de petite salope. Je me sentais profondément humiliée par ce qui venait de se passer, mais j’y avais aussi trouvé un plaisir pervers. Il a griffonné la précieuse ordonnance et m’a dit qu’il voulait me revoir le mois prochain pour un examen de contrôle, et que j’avais intérêt à oublier sinon il appellerait ma mère. Je me suis enfuie le papier à la main sans un mot, moite de sueur, la culotte détrempée…
Par Isa
-
Publié dans : Mon apprentissage
5
Vos réflexions