Mercredi 1 mars
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Souvent, je lui ai demandé si il sautait les autres filles qui lui servent de modèle. Quelquefois, oui, bien sûr. Je n’étais pas jalouse, sauf de leur beauté. Lui m’a toujours rassurée. Il dit que je suis une des filles les plus excitantes qu’il ait connues, et qu’il aimerait me baiser enfin un jour. Jamais ! Il le savait. En contrepartie, il voulait absolument tout savoir sur mes frasques. Gênée au début, j’ai fini par prendre un plaisir pervers à lui décrire par le menu toutes mes baises de la semaine, les garçons qui défilaient, un par un ou à plusieurs pour se faire sucer, m’enfiler dans la chatte ou m’enculer. Ça l’a toujours rendu fou. Alors je reprenais sa queue pour la sucer…

Notre longue liaison de plus de quinze ans ne s’est presque jamais interrompue. En seulement trois occasions, nous avons cessé de nous voir pendant quelques mois. Une première fois quand il m’annonça qu’il allait faire vivre chez lui une des filles qui posaient devant son appareil. Elle au moins avait accepté de se laissait baiser. J’en ai ressenti de la jalousie. Je la connaissais pour l’avoir vue sur photos. Une grande blonde presque rousse, vingt-quatre ans, plantureuse, avec de gros seins. Plutôt belle même si j’avais du mal à l’admettre.

J’ai bien dû convenir que je devais céder la place, le cœur gros. Mais je lui ai dit que malgré tout je voulais bien venir le voir de temps en temps, quand elle ne serait pas là. On a fait comme ça. Lui me tenait au courant de l’évolution de sa relation avec la fille. Au fil des mois elle s’effilochait. Elle n’était pas si un bon coup que ça… Elle le suçait, mais avec beaucoup moins de talent que moi. Elle refusait obstinément qu’il lui jouisse dans la bouche. Elle était agréable à baiser à ses dires, mais refusait tout obstinément de se laisser sodomiser. L’aventure s’est bientôt terminée, Robert l’a renvoyée dans ses foyers et j’ai repris auprès de lui ma place de favorite. Il en a sauté bien d’autres depuis, mais ça ne me dérange pas. Je sais que c’est moi qu’il préfère.
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