Vendredi 14 avril
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Mon tour est rapidement venu, un soir où Blacky était particulièrement excité. Je ne le suçais pas assez bien à son goût, alors il s’est énervé et s’est mis à m’enfoncer sa grosse bite au fond de la gorge en me pinçant le nez pour que j’ouvre plus grand la bouche. Il me pistonnait si durement et si profondément que je bavais abondamment. Il m’a giflée durement pour que je ravale ma salive avant de recommencer encore plus violemment. J’étais prise de haut le cœur, à deux doigts de vomir. Là, il s’est mis en colère, il s’est brusquement retiré de ma gorge pour aller chercher son ceinturon. J’ai compris que j’allais y passer, et Djamila aussi, qui restait dans son coin sans s’en mêler. Le black m’a tordu les bras dans le dos, et fait mettre à

genoux. Il m’a dit qu’il était temps de me dresser comme ma copine. Il m’a ordonné de lever les fesses et il a abattu son ceinturon. J’ai gémi sous la douleur. Je me suis repliée sur moi-même en jetant un regard éploré à Djamila. Elle semblait me plaindre. L’autre a crié pour que je relève les fesses et les coups se sont abattus sur mon cul. J’ai vite crié et pleurniché pour qu’il arrête, mais rien n’y a fait. Il m’a administré une interminable correction, les fesses me brûlaient et me faisaient terriblement mal. Djamila a bien essayé de lui dire de ne pas me faire trop mal, qu’elle n’avait pas l’habitude. Elle a pris une grosse claque et elle s’est réfugiée contre le mur. Elle ne s’en est plus mélée et j’ai dû subir la douloureuse séance jusqu’à ce qu’il décide que ça suffisait. J’avais le visage baigné de larmes.

Il m’a ordonné de me tourner et il m’a enculée d’un seul coup. J’ai crié encore, et puis je me suis tue, et je me suis laissée labourer l’anus en souffrant en silence. Quand il a estimé que j’étais bien ouverte, il s’est retiré et a appelé Djamila pour jouir dans sa bouche…
Par Isa
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Publié dans : Blacky
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