Samedi 15 avril
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La présence de Djamila m’avait aidé à supporter les douloureux coups de ceinture. Après tout, elle y avait déjà eu droit souvent et ne s’en accommodait, et elle m’avait bien prévenue de ce qui m’attendait avec Blacky. Je ne pouvais pas me plaindre. Le soir, quand le black avait satisfait ses instincts et nous laissait enfin tranquilles, on se réfugiait dans notre petit lit, ma copine beurette me prenait dans ses bras, me consolait, et me dispensait sa sensualité torride de fille d’Afrique du nord. Nous étions de plus en plus proches, comme deux confidentes, deux amantes, deux sœurs, qui partagions les mêmes plaisirs et la même soumission au terrible noir.

Blacky nous baisait très souvent, plusieurs fois par jour. Nous n’étions pas trop de deux pour satisfaire ses inépuisables exigences. Il nous utilisait par tous les trous, avec une nette préférence pour nous enculer durement, sans préparation, nous arrachant des cris de douleur. Même quand il nous prenait par la chatte, il nous enfilait ses doigts dans l’anus en nous claquant généreusement les fesses.
On n’avait pas intérêt à protester, sinon il se saisissant de son

ceinturon. Il adorait particulièrement quand on s’embrassait, Djamila et moi, ou encore quand l’une d’entre nous léchait la chatte de l’autre pendant qu’il nous labourait. Ça, on le faisait volontiers. Nous donner mutuellement ce plaisir nous aidait à supporter la domination qu’il exerçait sur nous…
Par Isa
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Publié dans : Blacky
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