Vendredi 24 février
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19:06
Ma mère commençait à me laisser un peu plus d’autonomie. J’avais maintenant la permission de minuit. J’en profitais pour sortir le soir. Je trouvais toujours à me faire inviter au bal ou en boîte. Et bien sûr, je devais payer en nature. Il m’arrivait de devoir sucer les garçons sur la banquette arrière de la voiture qui nous emmenait. Pendant que j’en satisfaisais un, l’autre me doigtait par derrière le vagin et souvent l’anus. Les autres, devant, râlaient et s’impatientaient. Ils voulaient aussi en profiter. Souvent, ils arrêtaient la voiture en rase campagne, dans le noir, et ils me passaient tous dessus. Alors ils décidaient que ce n’était plus la peine d’aller perdre son temps à danser, et ils m’emmenaient dans un endroit tranquille pour me baiser tout leur saoul. J’aimais être la proie de ces types déchaînés. De plus en plus souvent ils me sodomisaient les uns après les autres, sans état d’âme, puisque j’acceptais tout docilement….
Par Isa
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Publié dans : Mes errances
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Vendredi 24 février
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15:06
Je montais souvent voir mon voisin qui me sodomisait régulièrement. Je n’aimais pas trop ça. C’était toujours douloureux, et assez humiliant, mais je lui cédais quand même docilement l’usage de mon cul en serrant les dents. Je m’appliquais à supporter la brûlure de la pénétration. Je pensais que de toute façon, il faudrait bien que je m’habitue à ce qu’on utilise tous mes trous. J’étais bien consciente que telle était la loi des hommes, et que je devrais la subir.
Je continuais aussi à sucer mes copains presque tous les soirs dans l’escalier ou à la cave. J’aimais me mettre à genoux, leur offrir ma bouche, la sentir investie par leur bite gonflée, sentir monter leur plaisir, voir jaillir leur sperme chaud vers mon visage.
J’aimais ce sentiment un peu honteux quand il dégoulinait de leur liquide visqueux. Et plus encore quand ils m’y mettaient à plusieurs. J’avais plaisir à reprendre leur bite amollie dans la bouche, encore humide de leur jouissance. Le sperme ne me dégoûtait plus, au contraire. Et quand ils partaient, j’aimais rester seule encore un moment, agenouillée, le visage maculé. Je me masturbais longuement en me disait que j’étais vraiment une traînée.
Par Isa
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