Mon propos


Le journal intime d'une trentenaire, errante sexuelle.
On m'a toujours traitée de fille facile, de traînée, de marie-couche-toi-là. J'assume.
Je suis comme ça.
J'essaierai d'être vraie, sans fard, au fil d'un journal décousu, fait de réflexions, d'expériences vécues racontées franchement, sans détour mais sans vulgarité.
Isa
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Correspondance

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Mes errances

Samedi 4 mars 6 04 /03 /Mars 02:17
Je préférais traîner avec les vrais hommes, déjà aguerris, ceux qui ne prenaient pas de gants pour me baiser rudement, sans formalités ni préliminaires. Et ils étaient suffisamment nombreux pour occuper tout mon temps libre, et même un peu plus. Je séchais les cours bien souvent. A l’évidence, je ne ferais pas une grande carrière scolaire… Par contre, je commençais à bien connaître les caves des immeubles où les mecs m’entraînaient de plus en plus souvent.
Certains y avaient aménagé ce qu’ils appelaient avec élégance des baisodrômes. Un vieux canapé, un matelas faisaient l’affaire pour y sauter des filles, souvent à plusieurs. Parce que je me suis vite aperçue que je n’étais pas la seule. Il y avait comme ça quelques filles qui, elles non plus, ne faisaient pas trop de manière pour se laisser trousser par les mâles du quartier. Certaines à contre-cœur, un peu entraînées de force par leur copain et les copains du copain. D’autres qui y prenaient un plaisir manifeste. Ce n’étaient pas toujours des canons de beauté. Les petites grosses rondouillardes au visage un peu ingrat trouvaient comme ça l’occasion de se faire sauter, faute de vraiment séduire.
Ça m’est arrivé de me retrouver dans une cave avec des garçons en compagnie d’une autre fille. Ça me faisait tout drôle… Je n’étais pas spécialement heureuse de ça, mais on ne me laissait pas le choix. On se retrouvait nues côte à côte sur un matelas quand les types nous passaient dessus. Je l’entendais gémir comme une folle, crier parfois, alors que moi je restais toujours silencieuse et inerte. Je contemplais ses gros seins balloter quand ils la prenaient en levrette.
Le grand jeu des mecs, c’était de passer d’une fille à l’autre, d’une bouche à l’autre, d’un vagin à l’autre, d’un cul à l’autre. Je n’aimais pas trop ça, mais il a bien fallu que je m’y fasse. Accepter de sucer une bite qui venait de sortir du sexe de l’autre fille, voir de son anus. Si je refusais, ça les excitait encore plus, et ils devenaient brutaux. Mieux valait obéir et ouvrir la bouche.
Leur autre grand plaisir, c’était de jouir dans la bouche de l’une d’entre nous, et d’obliger l’autre à l’embrasser, à goûter le sperme directement dans la bouche de l’autre fille, ou encore de lécher le foutre qui dégoulinait du sexe de l’autre salope. J’avoue que je prenais un certain plaisir à ça, collée contre les gros nichons de la fille, son corps potelé en sueur plaqué contre le mien. Les gars, super excités, nous encourageaient en nous traitant de tous les noms. 
Par Isa - Publié dans : Mes errances
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Samedi 4 mars 6 04 /03 /Mars 02:14
Petit à petit, ma réputation s’est bien établie, aussi bien dans le quartier qu’au lycée. Celle d’une bonne marie-salope, toujours disponible, toujours prête à rendre service. Inutile de dire que les garçons à la recherche d’une fille sérieuse pour entretenir une solide relation amoureuse m’évitaient soigneusement. Au fond, je m’en foutais. J’avais été habituée comme ça depuis que ça avait commencé, depuis mes treize ans. Et je ne recherchais pas particulièrement une relation permanente et exclusive. Par contre j’attirais tous les autres, qui cherchaient juste à tirer leur coup. J’étais la fille idéale pour ça. Pas besoin de faire des ronds de jambe, de jouer de la mandoline sous mon balcon pour obtenir ce qu’ils voulaient.
Les plus timides, alertés par la rumeur, s’enhardissaient pour m’approcher et tenter leur chance. Mais à vrai dire, j’avais peu d’attirance pour les jeunes boutonneux, sûrement puceaux la plupart du temps, à la recherche d’une fille à même de les aider à faire leurs expériences maladroites. Je n’avais pas envie de leur servir de prof. Je laissais ça à d’autres. A la rigueur, de temps en temps, j’acceptais d’un sucer un, pour lui faire plaisir, juste comme ça, pour qu’il ne soit pas totalement déçu. Mais me laisser sauter par ces gamins, tout justes capables d’éjaculer prématurément, ça non…
Par Isa - Publié dans : Mes errances
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Samedi 25 février 6 25 /02 /Fév 18:20
Un jour que je montais l’escalier d’un immeuble voisin du mien pour rejoindre un copain, une porte s’est ouverte sur le palier. Un homme de quarante ans environs m’a abordée. – Viens, entre cinq minutes, je voudrais te parler. J’ai hésité puis j’ai accepté. – cinq minutes… Il a été direct : - ça fait pas mal de temps que je te vois traîner dans le quartier. Tu crois que je n’ai pas repéré ton manège ? Tu sors avec tous les loustics du coin, je me trompe pas ? – Et alors, qu’est ce que ça peut vous faire ? Vous n’êtes pas mon père…
Non, mais tu m’as l’air d’être une petite salope de première, tu m’excites à force de traîner dans le coin. Je vais te proposer quelque chose, je vais pas y aller par quatre chemins. Voilà : j’ai envie que tu me suces la bite. Juste ça. J’ai pas beaucoup de temps, seulement quand ma femme va faire les commissions. Alors voilà : tu viens me sucer de temps en temps et je te file cinquante francs à chaque fois, qu’est ce que t’en penses ? J’étais interloquée. Je réfléchissais à toute allure en le contemplant. Pas très attirant. Des cheveux grisonnants mal coiffés, un visage fatigué par l’alcool, un ventre que je devinais mou. Oui mais, cinquante francs, ça me ferait un peu d’argent de poche, et ce n’était pas à négliger.
Je n’ai pas réfléchi longtemps. J’ai dit – D’accord, mais rien que ça, vous me touchez pas. Il a bien essayé de me peloter les seins, je me suis dégagée. Il a fini par dire : - Ok on fait comme ça. Tiens, voilà ton argent. Maintenant à genoux. Je me suis exécutée. On étais toujours dans le vestibule. Il a sorti une bite noueuse et me l’a fourrée dans la bouche. J’ai fermé les yeux et je me suis laissée faire ce qu’il voulait, sans y mettre du mien. Il a rapidement déchargé son jus, j’ai tout recraché sur le lino. Rouge, haletant, apparemment satisfait, il a rangé son sexe flasque dans son pantalon et m’a dit : - Tu reviens quand tu veux… J’y suis retournée souvent.
Par Isa - Publié dans : Mes errances
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