Dimanche 19 mars
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Alerté par ma réputation dans le quartier, un vieux type m’a abordée. Lui aussi voulait « louer » mes services. Je n’étais pas très chaude. Il était déjà assez âgé, sûrement plus de soixante ans, si ce n’est plus. Vieux, sec et ridé, il ne me plaisait guère et je n’avais pas très envie de me laisser sauter par celui-là. Je l’écoutais d’une oreille polie, prête à décliner ses avances. Mais il m’a précisé ses intentions. Il ne chercherait pas à me baiser, tout simplement parce qu’il ne pouvait plus. Il voulait juste contempler et toucher le corps frais d’une jeune femme. Sa seule exigence était qu’il voulait me lécher le sexe, c’est tout le plaisir qu’il lui restait. Rien d’autre… Sa proposition pécuniaire a fini de me laisser convaincre.
Je suis allée régulièrement chez lui. Je n’avais pas envie de lui laisser prendre d’initiatives. Pour une fois, c’était moi qui menait le jeu. C’était ma condition. Quelquefois je me mettais nue, quelques fois non, pour le faire rager. Il était bien obligé d’en passer par mes caprices, ou bien je partais. Je le faisais s’allonger, puis j’allais m’asseoir sur sa figure. Je posais mon sexe sur son visage et je laissais sa langue fouiller ma chatte avec vigueur, y pénétrer le plus loin possible. Quand je devenais humide, je me frottais de tout mon poids sur sa figure, sur son nez, sa bouche, pour le barbouiller de mes sécrétions. Il adorait ça.
Un jour, il a eu un mot malheureux. Il m’a confié qu’il n’aimait pas les arabes qui infestaient dans le quartier, que c’était de la racaille. Je ne lui ai pas dit que je traînais avec eux dans les caves de la cité. Soudain, j’ai eu une idée pour le punir. La fois suivante, juste avant d’aller chez lui, je me suis laissée tirer par trois rebeux dans la cage d’escalier. Dès qu’ils se sont vidés dans mon vagin, je les ai quittés pour monter voir le vieux. Je lui ai dit de se

Ravi, il m’a demandé de revenir encore plus souvent. Je n’y ai pas manqué…
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