Mon propos


Le journal intime d'une trentenaire, errante sexuelle.
On m'a toujours traitée de fille facile, de traînée, de marie-couche-toi-là. J'assume.
Je suis comme ça.
J'essaierai d'être vraie, sans fard, au fil d'un journal décousu, fait de réflexions, d'expériences vécues racontées franchement, sans détour mais sans vulgarité.
Isa
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Mon vieil ami le photographe

Mercredi 1 mars 3 01 /03 /Mars 23:33
Nous avons établi une tendre connivence, qui a duré des années. Lui me tutoyait, moi, je n’ai jamais cessé de le vouvoyer. Robert, avec ses quarante ans, aurait largement pu être mon père. Ça ne me gênait pas, malgré mes seize ans. Au contraire. Ça avait un petit goût d’interdit, incestueux, délicieux. Mais ce n’était pas pour ça que je ne voulais pas qu’il me baise. C’était parce qu’il était différent de tous ceux que j’avais connus, parce que je ne voulais pas que notre relation très tendre s’abime. Longtemps il a essayé de me convaincre d’accepter. J’ai toujours résisté. J’ai dû finir par lui avouer que j’étais une traînée, que tout le quartier me passait dessus, que je n’étais qu’un vide couilles pour tous ces gars-là, et que je ne méritais pas les sentiments qu’il semblait me porter, qu’il ne fallait pas qu’il se trompe sur mon compte. Il avait du mal à accepter d’être le seul à ne pas y avoir droit. C’est parce que je l’aimais beaucoup, moi aussi, et que c’était la meilleure façon que j’avais de lui prouver.
Chaque fois que je suis allée le voir, tous les dimanches pendant des années, ça a toujours été le même rituel. Je me mets nue, lui doit toujours rester habillé, toujours dans ses vêtements noirs. Je ne l’ai jamais vu nu, c’est mieux comme ça. J’ai toujours craint d’être déçue. Il me couche sur le lit, prend possession de mon corps, joue avec mes seins, me fouille profondément la chatte, mettait des doigts dans mon cul. Il sait s’y prendre, pincer mon clitoris, il me fait jouir à chaque fois. C’est bien le seul. Il le sait, je lui ai dit souvent. C’est sa fierté et sa consolation. Et bien sûr je le suce longuement. Ça peut durer une bonne heure parfois. Parfois, il s’allonge sur le lit avec moi et me baise la bouche tout doucement, par petits coups. J’aime sentir sa grosse queue un peu molle me remplir la bouche, la sentir palpiter. J’aime quand il se répand à gros bouillons dans ma bouche et sur ma figure. Et j’aime quand il m’embrasse aussitôt après, partageant avec moi sa semence. Et puis après, après seulement, il trouve le temps et l’envie de faire de moi quelques photos. Il ne veut pas que je me lave. Il aime me prendre comme ça, barbouillée de sperme, l’entrecuisses luisante de ma jouissance. C’est notre plaisir à tous les deux.
Par Isa - Publié dans : Mon vieil ami le photographe
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Lundi 27 février 1 27 /02 /Fév 00:19
J’ai fini d’ouvrir son pantalon. J’en ai sorti une bite longue, brune, épaisse, posée sur de grosses et belles couilles. Il ne bandait pas. Je l’ai prise dans mes mains. J’ai commencé à la masturber doucement, en le regardant dans les yeux. Il s’est laissé faire sans rien dire. Puis je l’ai introduite dans ma bouche, je l’ai sucé lentement. D’habitude, je préfère offrir passivement ma bouche aux assauts. Là, pour une fois, c’est moi qui faisais tout, qui lui léchais le gland avec ma langue, qui essayais d’engloutir au maximum sa longue bite. Lui s’est contenté de poser une main légère sur ma tête.
Je l’ai sucé très longtemps. Lentement. Je prenais tout mon temps. J’y mettais tout mon cœur, tout mon savoir faire. Enfin, j’ai senti monter son plaisir, les soubresauts annonciateurs de sa jouissance. Il a joui en haletant sourdement une grande quantité de sperme qui m’a rempli la bouche. J’en ai avalé une partie et j’ai laissé le reste couler de mes lèvres. Le menton maculé de son sperme que je sentais couler dans mon cou, j’ai continué à le sucer un long moment, jusqu’à ce que sa bite ramollisse complètement. Elle est sortie toute seule de ma bouche.
J’ai continué à la masser doucement, les mains pleines de son sperme. Je l’ai essuyée sur mon visage en cherchant ses yeux. Son regard était troublé et reconnaissant. Il m’a pris par le menton, s’est penché sur moi et m’a embrassée à pleine bouche, langue contre langue, partageant avec moi son liquide visqueux et odorant.
Il s’est couché près de moi et m’a longuement caressée tout le corps, replongé ses doigts dans mon sexe, moi totalement nue, lui toujours habillé. Il m’a remerciée tendrement, ce qui ne m’était encore jamais arrivé, m’a dit qu’il voulait que l’on continue à se voir, qu’il me voulait entièrement. Je lui ai redit qu’il pourrait faire de moi ce qu’il voudrait, mais que je ne voulais pas qu’il me baise, que c’était ma condition pour que je revienne régulièrement. Il a eu bien du mal à l’accepter, mais il a fini par se ranger à mes étranges exigences.
Par Isa - Publié dans : Mon vieil ami le photographe
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Lundi 27 février 1 27 /02 /Fév 00:15
Mais il a eu l’air intéressé. Il m’a dit – côté lingerie, ça laisse à désirer, mais on arrangera ça. Le reste, ça va : joli petit corps, mignons petits seins, ajouta t’il en les flattant d’une main négligente. Enlève ta culotte maintenant. Très bien…
Il m’a fait prendre des poses, plutôt soft d’abord. Sa voix était douce, ses gestes délicats quand il rectifiait ma position, prenait ma taille pour me faire tourner. Ça me changeait terriblement de la rudesse des garçons avec qui je traînais. Puis comme il a vu que je me prêtais au jeu docilement, il a essayé de me faire prendre des poses plus osées. A genoux, fesses levées. J’ai obéi sans rien dire. Encouragé par mon silence et ma maniabilité, il m’a demandé d’écarter les cuisses plus largement. Je n’ai pas protesté. Ses doigts se sont posés sur ma fente, ont commencé à écarter mes grandes lèvres, sous le prétexte qu’on verrait mieux mon sexe en détail. Je me suis laissée faire. Ses doigts se sont fait plus insistants, pénétrant plus profondément ma chatte déjà mouillée, pinçant mon clitoris, allant et venant de plus en plus énergiquement dans mon vagin, et même dans mon anus palpitant. Je me sentais toute rouge dans mon oreiller… Il m’a dit que ce serait très beau sur la photo, ce sexe ouvert et ruisselant d’excitation. Mais je n’entendais plus le ronronnement de l’appareil. J’ai juste entendu un bruit de zip. J’ai deviné qu’il ouvrait sa braguette.
Alors, d’un seul coup je me suis dégagée de sa prise. Je me suis relevée devant lui, à genoux sur le lit. Les joues en feu, je lui ai dit non. Je ne voulais pas qu’il me prenne. Qu’il pourrait me faire tout ce qu’il voulait, mais pas me prendre. J’ai pris sa main maculée de ma cyprine et je l’ai portée à ma bouche. J’ai sucé tous ses doigts, consciencieusement. Lui aussi était congestionné. Il a protesté : - mais pourquoi ?
Pourquoi ? Je ne le savais pas moi-même. Moi qui d’habitude ne fais jamais de manière pour me laisser baiser par tout le monde et n’importe qui, j’avais envie d’autre chose avec lui. Sa douceur, sa délicatesse était à mille lieues de ce que je connaissais. J’avais pris l’habitude d’être baisée rudement, brutalement même. J’avais le sentiment qu’avec lui, ce serait plus doux sans doute, mais peut-être plus frustrant. En un éclair, j’avais décidé qu’il pourrait disposer de moi comme il voudrait, mais qu’il ne me baiserait pas. J’avais envie d’établir avec lui une relation particulière, un peu tendre, un peu distante. Le sucer, d’accord. Oh oui. Je le ferais avec cœur. J’avais juste envie de sentir sa queue palpiter dans ma bouche, mais pas ailleurs…
Par Isa - Publié dans : Mon vieil ami le photographe
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