Mon propos


Le journal intime d'une trentenaire, errante sexuelle.
On m'a toujours traitée de fille facile, de traînée, de marie-couche-toi-là. J'assume.
Je suis comme ça.
J'essaierai d'être vraie, sans fard, au fil d'un journal décousu, fait de réflexions, d'expériences vécues racontées franchement, sans détour mais sans vulgarité.
Isa
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Mardi 11 avril 2 11 /04 /Avr 00:22
Le black a fait une traction plus forte sur mes cheveux pour me relever et me forcer à me coucher sur sa cuisse. Puis il m’a attrapée par les fesses pour les faire remonter. Il a alors commencé à m’administrer une fessée rude et de plus en plus brûlante. J’ai d’abord subi passivement puis je n’ai pas pu m’empêcher de tenter de me protéger avec les mains. Il s’est alors emparé de mes poignets pour les tenir serrés d’une main. Ses doigts me faisaient mal. De son autre main, il continuait à me claquer de plus en plus fort. La sensation cuisante se transformait en douleur. J’ai fini par gémir, de plus en plus fort, avant de supplier pour qu’il arrête. Sourd à mes plaintes, il redoublait de vigueur. Enfin, après un long moment que j’ai trouvé interminable, il m’a brusquement libérée. Je me suis redressée, a genoux, les yeux baignés de larmes. Il m’a prise par les joues, m’a donné deux claques sur la figure et ajouté en introduisant de force des doigts dans ma bouche : « Maintenant tu vas être bonne à baiser et à enculer. Dis le, salope, que t’es à ma disposition ! ». Je murmurai : « faites ce que vous voulez »…
Il m’a jetée sur le lit, m’a fait mettre à quatre pattes pour m’enfiler sa grosse bite d’un seul coup. J’en ai été suffoquée. Il m’a baisée durement, violemment, cherchant à s’enfoncer le plus loin possible dans mon vagin, en me m’agrippant fermement la peau des fesses. Le black s’exclama « Djamila, viens ici, lèche moi les couilles, ma pute ». Ma copine s’exécuta sur le champ en commençant à se déshabiller. « Mieux que ça, salope, applique toi ».
Elle s’était couchée pour passer sa tête sous nos sexes soudés. Je sentais sa langue glisser sur mes grandes lèvres, chercher mon clitoris. A un moment, Blacky a sorti sa bite de ma chatte pour forcer la bouche de Djamila, la baisant à grands coups de reins. Puis il a craché sur la raie de mes fesses et m’a forcé brutalement l’anus. J’ai crié de douleur. Il m’a alors donné de grandes claques sur le cul en me criant « Tais toi, salope. T’as déjà pris des bites dans le cul, et t’en prendras beaucoup d’autres, fais moi confiance… ». Je me suis tue, et j’ai subi sa bite énorme en grimaçant. J’avais terriblement mal, mais je ne pouvais pas lui échapper. Il me tenait fermement, je ne pouvais pas bouger. Il m’a labourée longtemps, à grands coups. Au bout d’un moment, il est ressorti en s’exclamant « ça va, t’as le cul bien ouvert, tu verrais ça… » Je ne voyais rien, mais j’avais tellement mal que je m’en doutais bien. Le black a de nouveau forcé la bouche de Djamila pour s’y enfoncer. Puis brusquement il nous a fait changer de position. Ça a été au tour de ma copine d’être sodomisée sauvagement. 
Il nous a baisées longuement dans toutes les positions, l’une après l’autre. Enfin, il m’a agrippée par les cheveux pour jouir dans ma bouche, et il m’a ordonné de partager avec ma copine. On s’est embrassées fougueusement, échangeant le sperme abondant du black. Il s’est enfin couché sur le dos en me disant « ça va, t’es bonne, je vais te garder à mon service pour me vider les couilles. J’ai des gros besoins, et Djamila n’y suffit pas. D’ailleurs, faut qu’elle bosse et ramène du fric ». Epuisée, elle aussi, Djamila m’a prise dans ses bras et on s’est endormies presqu’aussitôt.
Par Isa - Publié dans : Blacky
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