Mercredi 19 avril
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Blacky nous sodomisait tous les jours, ma copine arabe et moi. Surtout moi, d’ailleurs, parce que Djamila passait beaucoup de temps dehors à faire le trottoir pour ramener de l’argent à son mac. Dès qu’elle rentrait, elle y avait droit. Il fallait qu’elle se mette accroupie sur le lit, fesses tendues. Il l’enculait d’un seul coup, violemment. Heureusement, elle prenait ses précautions, elle se lubrifiait avant de rentrer pour que sa grosse bite noire soit moins pénible à supporter. Moi, j’y passais plusieurs fois par jour. Il prenait un malin plaisir à me forcer l’anus à intervalles réguliers. Il me labourait rudement, puis se retirait sans jouir, satisfait à la vue de mon anus dilaté. Il fallait que je lui nettoie soigneusement la bite. Je m’exécutais pour ne pas prendre plus de gifles que nécessaire. Puis il me laissait tranquille un moment, avait de m’appeler de nouveau. Je savais ce qu’il voulait.
Il disait que c’était pour faire mon éducation, m’apprendre à obéir au mâle et à le satisfaire à tout instant. Un jour, Blacky m’a dit qu’il était grand temps de me mettre en stage. J’ai frémi. Je savais déjà de quoi il s’agissait, Djamila m’avait tout raconté par le menu. Elle en avait déjà subi deux. Le principe était simple. Blacky invitait tous ses potes, que des blacks, et leur donnait la fille en pâture, avec pour consigne de la baiser à la chaîne, le plus longtemps et le plus violemment possible, limite viol. Il s’agissait de la rabaisser et de l’humilier au maximum pour qu’elle prenne conscience qu’elle n’était plus que « de la viande à baiser, juste bonne à servir de vide couilles », selon l’expression de Blacky, de façon à lui faire abandonner tout amour propre.
Par Isa
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Publié dans : Blacky
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