Mon propos


Le journal intime d'une trentenaire, errante sexuelle.
On m'a toujours traitée de fille facile, de traînée, de marie-couche-toi-là. J'assume.
Je suis comme ça.
J'essaierai d'être vraie, sans fard, au fil d'un journal décousu, fait de réflexions, d'expériences vécues racontées franchement, sans détour mais sans vulgarité.
Isa
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Correspondance

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Lundi 27 février 1 27 /02 /Fév 00:19
J’ai fini d’ouvrir son pantalon. J’en ai sorti une bite longue, brune, épaisse, posée sur de grosses et belles couilles. Il ne bandait pas. Je l’ai prise dans mes mains. J’ai commencé à la masturber doucement, en le regardant dans les yeux. Il s’est laissé faire sans rien dire. Puis je l’ai introduite dans ma bouche, je l’ai sucé lentement. D’habitude, je préfère offrir passivement ma bouche aux assauts. Là, pour une fois, c’est moi qui faisais tout, qui lui léchais le gland avec ma langue, qui essayais d’engloutir au maximum sa longue bite. Lui s’est contenté de poser une main légère sur ma tête.
Je l’ai sucé très longtemps. Lentement. Je prenais tout mon temps. J’y mettais tout mon cœur, tout mon savoir faire. Enfin, j’ai senti monter son plaisir, les soubresauts annonciateurs de sa jouissance. Il a joui en haletant sourdement une grande quantité de sperme qui m’a rempli la bouche. J’en ai avalé une partie et j’ai laissé le reste couler de mes lèvres. Le menton maculé de son sperme que je sentais couler dans mon cou, j’ai continué à le sucer un long moment, jusqu’à ce que sa bite ramollisse complètement. Elle est sortie toute seule de ma bouche.
J’ai continué à la masser doucement, les mains pleines de son sperme. Je l’ai essuyée sur mon visage en cherchant ses yeux. Son regard était troublé et reconnaissant. Il m’a pris par le menton, s’est penché sur moi et m’a embrassée à pleine bouche, langue contre langue, partageant avec moi son liquide visqueux et odorant.
Il s’est couché près de moi et m’a longuement caressée tout le corps, replongé ses doigts dans mon sexe, moi totalement nue, lui toujours habillé. Il m’a remerciée tendrement, ce qui ne m’était encore jamais arrivé, m’a dit qu’il voulait que l’on continue à se voir, qu’il me voulait entièrement. Je lui ai redit qu’il pourrait faire de moi ce qu’il voudrait, mais que je ne voulais pas qu’il me baise, que c’était ma condition pour que je revienne régulièrement. Il a eu bien du mal à l’accepter, mais il a fini par se ranger à mes étranges exigences.
Par Isa - Publié dans : Mon vieil ami le photographe
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Lundi 27 février 1 27 /02 /Fév 00:15
Mais il a eu l’air intéressé. Il m’a dit – côté lingerie, ça laisse à désirer, mais on arrangera ça. Le reste, ça va : joli petit corps, mignons petits seins, ajouta t’il en les flattant d’une main négligente. Enlève ta culotte maintenant. Très bien…
Il m’a fait prendre des poses, plutôt soft d’abord. Sa voix était douce, ses gestes délicats quand il rectifiait ma position, prenait ma taille pour me faire tourner. Ça me changeait terriblement de la rudesse des garçons avec qui je traînais. Puis comme il a vu que je me prêtais au jeu docilement, il a essayé de me faire prendre des poses plus osées. A genoux, fesses levées. J’ai obéi sans rien dire. Encouragé par mon silence et ma maniabilité, il m’a demandé d’écarter les cuisses plus largement. Je n’ai pas protesté. Ses doigts se sont posés sur ma fente, ont commencé à écarter mes grandes lèvres, sous le prétexte qu’on verrait mieux mon sexe en détail. Je me suis laissée faire. Ses doigts se sont fait plus insistants, pénétrant plus profondément ma chatte déjà mouillée, pinçant mon clitoris, allant et venant de plus en plus énergiquement dans mon vagin, et même dans mon anus palpitant. Je me sentais toute rouge dans mon oreiller… Il m’a dit que ce serait très beau sur la photo, ce sexe ouvert et ruisselant d’excitation. Mais je n’entendais plus le ronronnement de l’appareil. J’ai juste entendu un bruit de zip. J’ai deviné qu’il ouvrait sa braguette.
Alors, d’un seul coup je me suis dégagée de sa prise. Je me suis relevée devant lui, à genoux sur le lit. Les joues en feu, je lui ai dit non. Je ne voulais pas qu’il me prenne. Qu’il pourrait me faire tout ce qu’il voulait, mais pas me prendre. J’ai pris sa main maculée de ma cyprine et je l’ai portée à ma bouche. J’ai sucé tous ses doigts, consciencieusement. Lui aussi était congestionné. Il a protesté : - mais pourquoi ?
Pourquoi ? Je ne le savais pas moi-même. Moi qui d’habitude ne fais jamais de manière pour me laisser baiser par tout le monde et n’importe qui, j’avais envie d’autre chose avec lui. Sa douceur, sa délicatesse était à mille lieues de ce que je connaissais. J’avais pris l’habitude d’être baisée rudement, brutalement même. J’avais le sentiment qu’avec lui, ce serait plus doux sans doute, mais peut-être plus frustrant. En un éclair, j’avais décidé qu’il pourrait disposer de moi comme il voudrait, mais qu’il ne me baiserait pas. J’avais envie d’établir avec lui une relation particulière, un peu tendre, un peu distante. Le sucer, d’accord. Oh oui. Je le ferais avec cœur. J’avais juste envie de sentir sa queue palpiter dans ma bouche, mais pas ailleurs…
Par Isa - Publié dans : Mon vieil ami le photographe
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Lundi 27 février 1 27 /02 /Fév 00:11
C’est un ami/amant de très longue date. Je l’ai rencontré un dimanche après midi, c’était l’hiver, il y a bien longtemps. J’avais seize ans, je me promenais, solitaire, dans un parc. Je remarquai un homme qui photographiait des pigeons. Je me suis assise sur un banc pour l’observer tranquillement. Au bout d’un moment, il m’a remarquée et est venu me parler.
Conversation banale. - Je suis photographe amateur. Que du noir et blanc. Vous aimez ? Je n’en savais rien. Je ne m’étais jamais posé la question. Il poursuivit : - J’aime photographier beaucoup de choses, des atmosphères, des gens… Je fais du nu artistique aussi. J’ai tout de suite compris où il voulait en venir. Je le regardai du coin de l’œil. Grand, une quarantaine bien sonnée, des cheveux grisonnants, tout habillé de noir, plutôt bel homme. Il me paraissait gentil et sympathique. Discret et pas trop lourd, ça me changeait des gars du quartier. Bien sûr, il m’a proposé de poser pour lui. En tout bien tout honneur évidemment… J’ai eu beau lui dire que je ne me trouvais pas jolie, que je n’y connaissais rien, que je n’avais jamais fait ça. Il a insisté en me disant que j’apprendrais vite. Et que lui me trouvait très jolie, un visage et un physique intéressants.
Je me suis laissée persuader facilement. Au fond, je n’avais pas vraiment de raison à lui opposer. Surtout pas une pudeur déplacée. Et puisqu’il me trouvait jolie… Et j’aimais bien l’idée. Je l’ai suivie chez lui. Il habitait un pavillon à l’ancienne, en pierres meulières. Il m’a fait entrer dans une grande pièce un peu sombre, juste éclairée par une fenêtre surplombant un lit. Il me dit qu’il aimait travailler en lumière naturelle, en clair-obscur. Je ne comprenais pas bien ce que ça voulait dire. Qu’importe.
Il a préparé son appareil, mis en place un panneau réfléchissant, et montré aussi les photos de nus qu’il avait déjà faites. J’ai trouvé ça très beau. Il y avait beaucoup de modèles différents, souvent des filles très belles. Il m’a dit de me déshabiller. J’ai enlevé ma blouse. J’étais intimidée. J’ai toujours aimé devoir me mettre nue devant des hommes. Surtout habillés. Je ne crois pas être exhibitionniste, mais ça m’a toujours profondément troublée d’être sous le regard des hommes, convoitée. Là, c’était pire parce que cet homme mûr, photographe qui en avait vu bien d’autres et de bien plus belles, m’examinait sans complaisance, jugeait mon corps d’un œil critique. Angoissée, j’attendais son verdict. Je m’attendais à ce qu’il me renvoie d’un ton désabusé.
Par Isa - Publié dans : Mon vieil ami le photographe
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