Mon propos


Le journal intime d'une trentenaire, errante sexuelle.
On m'a toujours traitée de fille facile, de traînée, de marie-couche-toi-là. J'assume.
Je suis comme ça.
J'essaierai d'être vraie, sans fard, au fil d'un journal décousu, fait de réflexions, d'expériences vécues racontées franchement, sans détour mais sans vulgarité.
Isa
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Correspondance

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Samedi 25 février 6 25 /02 /Fév 18:20
Un jour que je montais l’escalier d’un immeuble voisin du mien pour rejoindre un copain, une porte s’est ouverte sur le palier. Un homme de quarante ans environs m’a abordée. – Viens, entre cinq minutes, je voudrais te parler. J’ai hésité puis j’ai accepté. – cinq minutes… Il a été direct : - ça fait pas mal de temps que je te vois traîner dans le quartier. Tu crois que je n’ai pas repéré ton manège ? Tu sors avec tous les loustics du coin, je me trompe pas ? – Et alors, qu’est ce que ça peut vous faire ? Vous n’êtes pas mon père…
Non, mais tu m’as l’air d’être une petite salope de première, tu m’excites à force de traîner dans le coin. Je vais te proposer quelque chose, je vais pas y aller par quatre chemins. Voilà : j’ai envie que tu me suces la bite. Juste ça. J’ai pas beaucoup de temps, seulement quand ma femme va faire les commissions. Alors voilà : tu viens me sucer de temps en temps et je te file cinquante francs à chaque fois, qu’est ce que t’en penses ? J’étais interloquée. Je réfléchissais à toute allure en le contemplant. Pas très attirant. Des cheveux grisonnants mal coiffés, un visage fatigué par l’alcool, un ventre que je devinais mou. Oui mais, cinquante francs, ça me ferait un peu d’argent de poche, et ce n’était pas à négliger.
Je n’ai pas réfléchi longtemps. J’ai dit – D’accord, mais rien que ça, vous me touchez pas. Il a bien essayé de me peloter les seins, je me suis dégagée. Il a fini par dire : - Ok on fait comme ça. Tiens, voilà ton argent. Maintenant à genoux. Je me suis exécutée. On étais toujours dans le vestibule. Il a sorti une bite noueuse et me l’a fourrée dans la bouche. J’ai fermé les yeux et je me suis laissée faire ce qu’il voulait, sans y mettre du mien. Il a rapidement déchargé son jus, j’ai tout recraché sur le lino. Rouge, haletant, apparemment satisfait, il a rangé son sexe flasque dans son pantalon et m’a dit : - Tu reviens quand tu veux… J’y suis retournée souvent.
Par Isa - Publié dans : Mes errances
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Vendredi 24 février 5 24 /02 /Fév 21:26
Brusquement il se leva de sa chaise, me pris par la nuque et me força à coucher le buste sur son bureau. - Je vais examiner le reste, dit-il en écartant largement mes fesses. J’ai senti une intense brûlure quand il a introduit brutalement un doigt dans mon anus. – Mais ma parole tu te fais sodomiser aussi ? Réponds cria t’il en m’administrant une claque sonore sur le cul. – Oui, Monsieur… Il se saisit d’un préservatif sur le bureau. Il n’a pas eu de mal à s’introduire d’un coup dans ma chatte trempée, mais j’ai eu super mal quand il a forcé mon anus. J’ai crié de douleur. Il a grogné : - Tu ne fais pas autant de manières avec tes copains, alors tais toi. Il n’avait pas tort au fond. Inerte, pliée sur le bureau, j’ai attendu patiemment en serrant les dents qu’il ait fini sa besogne. Il a joui enfin, m’a obligée à me mettre à genoux et a retiré son préservatif. J’ai dû m’appliquer à nettoyer sa bite gluante.
Enfin, il m’a relevée et obligée à soutenir son regard ironique, et a exigé que je revienne le voir toutes les semaines. Je n’ai pas osé lui dire non …
Par Isa - Publié dans : Mes errances
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Vendredi 24 février 5 24 /02 /Fév 21:24
Dès qu’il m’a introduite dans son cabinet et s’est assis, il m’a ordonné de me déshabiller. Je me suis exécutée devant lui les yeux baissés. – Bien, voyons les seins. Il les a empoignés, les a palpés durement. – Tout va bien de ce côté-là. Tu prends ta pilule régulièrement ? Il le faut. Maintenant écarte-toi. Il avait plongé sa main entre mes jambes, et introduit sans ménagement plusieurs doigts dans ma chatte. Malgré la soudaineté de l’attaque, je n’ai pas protesté. Je sentais de nouveau la honte m’envahir.
- Regarde-moi ! Les doigts toujours crochetés dans mon vagin, il me demanda si je continuais à me faire sauter par tous les lascars du quartier. – Réponds ! En transes, je murmurais que oui. – Souvent ? demanda t’il en renforçant rudement sa prise – Euh oui… - Ils te passent tous dessus ? J’avouais d’une voix sourde. – Toi, tu n’as pas attendu pour devenir une véritable petite salope ! Tu les suces ? Jusqu’au bout ? – Oui, Monsieur. – Au moins tu connais un autre mode de contraception orale que la pilule !!!
Par Isa - Publié dans : Mes errances
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