Mon propos


Le journal intime d'une trentenaire, errante sexuelle.
On m'a toujours traitée de fille facile, de traînée, de marie-couche-toi-là. J'assume.
Je suis comme ça.
J'essaierai d'être vraie, sans fard, au fil d'un journal décousu, fait de réflexions, d'expériences vécues racontées franchement, sans détour mais sans vulgarité.
Isa
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Correspondance

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Jeudi 23 février 4 23 /02 /Fév 12:43
Ayant mis les choses au point, toujours assis dans son fauteuil de rotin, il me demanda aussitôt de lui montrer ce que je savais faire avec ma bouche. Je m’agenouillai à ses pieds, il défit son pantalon et sortit une belle queue, plutôt longue et fine. Je commençai à le sucer doucement, comme j’en avais l’habitude.
Au bout de quelques minutes, il me dit que je faisais preuve de bonne volonté, mais que je m’y prenais mal. – Va falloir tout t’apprendre, toi. Et, tout en appuyant sur ma tête, il entreprit de me donner des indications : - masse moi les couilles comme ça, serre bien la tige, branle moi plus fort, pompe avec plus d’énergie, serre plus les lèvres, les pince pas, je veux qu’elles soient bien retournées, avance les plus que ça… Et ta langue, je veux la sentir, sers toi en mieux que ça !
La leçon de fellation dura longtemps. Je faisais de mon mieux pour le satisfaire. A la longue, je commençais à avoir mal aux mâchoires, mais je m’appliquais. Ça me plaisait. C’était la première fois qu’un homme me faisait vraiment comprendre ce qu’il voulait. Et celui-là savait se retenir pour faire durer le plaisir.
Par Isa - Publié dans : Mon apprentissage
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Jeudi 23 février 4 23 /02 /Fév 01:20
- Bon, on va voir ça de plus près, fit-il en me retirant mon pull d’un geste brusque. Je me retrouvais face à lui, la poitrine nue, adossée au mur du salon. C’est vrai que j’avais des très petits seins, mais c’est tout ce que j’avais à offrir. - Déshabille toi, enlève ton jean, vite ! Je m’exécutai en baissant les yeux. Me voilà en socquettes et en petite culotte. - Enlève les chaussettes ! Il abaissa ma culotte d’un coup en disant : voyons ça… J’avais l’impression de passer une inspection sous l’œil d’un examinateur sans complaisance. C’était exactement ça.
Il s’assit dans un fauteuil en rotin et me dit : - viens ici que je vois ça de près. Il s’empara de mes seins pour les malaxer assez rudement, en pinça les bouts, passa ses mains par derrière pour s’emparer fermement de mes fesses. Il me demanda : - t’es encore vierge ? Moi, j’ai pas de temps à perdre avec une pucelle. Je lui répondis que je ne l’étais plus depuis longtemps. Pas si longtemps que ça, au fond, mais quelle importance ? Il dit : - Ah oui ? Je peux vérifier sans problème ? Je ne répondis rien. Il m’ordonna d’écarter les cuisses et me planta un doigt puis deux dans la chatte. J’étais déjà trempée… Il semblait satisfait. Il continua : - t’as déjà été baisée souvent ? Par combien de mecs ? J’étais dans tous mes états, je soufflai : - oui pas mal de fois, plusieurs… - Combien ? Quatre ou cinq… - Ce n’est pas une réponse. Quatre ou cinq ? - Cinq…
Son regard se planta dans le mien. Dans un état de confusion totale, j’avais du mal à le soutenir. Il me dit : - Ecoute moi bien. Moi, je n’ai pas de temps à perdre avec des petites pétasses qui font des manières. Si tu veux que je te prenne en main, faudra être à la hauteur. Je te préviens, je suis très exigeant, je n’aime pas les filles qui disent non pas ci non pas ça. Pas question de faire la mijaurée, sinon dehors. Je répondis dans un souffle : - Oui j’ai compris. - J’imagine que tu dois pas avoir encore beaucoup d’expérience ? Je murmurais : - Je ne demande qu’à apprendre. Je serai une bonne élève. Il ajouta : - docile et obéissante aussi, j’espère…
Par Isa - Publié dans : Mon apprentissage
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Mercredi 22 février 3 22 /02 /Fév 19:15
La compagnie des trois copains n’était pas désagréable. Chaque fois qu’un d’entre eux en avait envie, je le suçais le soir, après l’école, juste avant de rentrer à la maison. La plupart du temps, ils s’en satisfaisaient. Quand une occasion se présentait, chez l’un ou chez l’autre, ils en profitaient pour me sauter sans façon.
Mais j’avais un sentiment diffus d’insatisfaction. Ces trois-là, je les connaissais trop bien, déjà. Ça devenait une routine. J’avais envie de goûter à autre chose, à d’autres expériences. Avec quelqu’un de plus expérimenté, de plus exigeant. J’avais la certitude que j’avais encore beaucoup à apprendre.
Depuis quelque temps, j’avais repéré dans ma cage d’escalier un garçon qui me plaisait bien. Vingt-trois, vingt-quatre ans peut-être, grand, mince, blond. Un homme… Lui aussi habitait avec ses parents, mais il semblait avoir une certaine autonomie. J’avais bien noté qu’une fille de dix-sept/dix huit ans lui rendait visite régulièrement, et restait chez lui de grands moments. Je surveillais ses allées et venues par la fenêtre. Celles du garçon aussi. J’habitais au quatrième, lui au troisième. Je m’arrangeais alors pour le croiser dans l’escalier. Intimidée, les yeux baissés. Mais je lui jetais des regards à la dérobée. Comme je l’espérais secrètement, il a fini par s’en apercevoir.
Un jour que je le croisais une fois de plus, par un hasard qui ne devait rien au hasard, il m’aborda en me prenant par le bras. - Dis donc, toi, entre cinq minutes, faut qu’on parle tous les deux. Il me poussa chez lui, dans un appartement plongé dans la pénombre. Il me dit : - j’ai l’impression que tu me cherches, je me trompe ou pas ? Je ne répondis pas. Mais mon silence valait réponse. Il continua : - tu veux quoi ? Tu veux que je m’occupe de toi ? Mais t’es qu’une gamine, regarde toi… Je murmurai que je n’étais plus une gamine depuis longtemps. - Ah oui ? Et t’as quel âge ? Je répondis : - quinze et demi. C’était un petit mensonge, je n’avais pas encore atteint mes quinze ans. - Mouaih, je n’en suis pas si sûr. T’as pas beaucoup de poitrine pour une fille de ton âge, fit-il en m’évaluant d’une main ferme à travers mon pull.
Par Isa - Publié dans : Mon apprentissage
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