Mon propos


Le journal intime d'une trentenaire, errante sexuelle.
On m'a toujours traitée de fille facile, de traînée, de marie-couche-toi-là. J'assume.
Je suis comme ça.
J'essaierai d'être vraie, sans fard, au fil d'un journal décousu, fait de réflexions, d'expériences vécues racontées franchement, sans détour mais sans vulgarité.
Isa
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Correspondance

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Lundi 20 février 1 20 /02 /Fév 14:30
Tout s'est alors accéléré. Le garçon s'était vanté sans tarder auprès de ses copains qu'il m'avait eue. Je ne sais pas ce qu'il leur a raconté exactement, mais sans doute que je n'avais pas fait de manière pour écarter les cuisses, et que si ils voulaient, ils pourraient en profiter aussi.
Ils ne s'en sont pas privés. Ils étaient trois. Ils avaient aux alentours de dix-sept dix-huit ans, et pas d'état d'âme. Les garçons de mon âge étaient définitivement largués et leur laissaient le champ libre, non sans maugréer et me traiter de salope par dépit.
Je n'en avais cure. J'étais trop contente d'intéresser les grands, de me sentir convoitée, de ressentir leur désir de moi. Presque tous les jours l'un ou l'autre voulait que je le suce dans la cage d'escalier, la cave de l'immeuble ou dans le grand parc.
L'un après l'autre ont bien sûr voulu me sauter. Rarement dans un lit, faute de possibilité, le plus souvent debout dans la pénombre d'un recoin. Ce n'était guère les meilleures conditions pour en profiter, c'était le plus souvent à la va vite. J'y prenais plaisir, mais je ne jouissais pas. Ca, c'était plus tard, le soir chez moi dans mon lit en me masturbant.
Je ne refusais rien, à aucun. J'aimais tellement me sentir objet de leur désir impérieux et souvent maladroit. Je ne me trouvais pas très jolie, pas sexy, j'étais maigre, avec une poitrine à peine dessinée. Alors j'appréciais qu'ils s'intéressent quand même à moi, qu'ils me trouvent baisable comme ils disaient, qu'ils prennent leur plaisir de moi malgré tout.
Bien sûr je ne me faisais guère d'illusion. Ils m'utilisaient sans vergogne pour prendre leur plaisir, avant de me refiler à un autre. Ils ne me témoignaient pas de considération ni de tendresse, ni de respect. Je n'était qu'une salope, qu'une traînée, malgré mon jeune âge, juste bonne à leur vider les couilles. Je m'en foutais. J'aimais ça au fond.
Par Isa - Publié dans : Mon apprentissage
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Lundi 20 février 1 20 /02 /Fév 00:30
Enfin c'est arrivé. Je passais de mains en mains avec tous les garçons du coin, mais encore aucun n'avait sérieusement essayé de me prendre. Trop jeunes et trop intimidés sans doute par l'enjeu, celui de se montrer à la hauteur, un homme... Et manque d'opportunité aussi. Pas si facile à cet âge là de trouver un lieu vraiment tranquille ou de m'attirer dans leur chambre. Les parents occupaient le terrain. Chez moi aussi. Mon père nous avait quittées, mais ma mère ne quittait guère l'appartement, sauf pour aller bosser.
Alors ils se contentaient de faire leurs gammes, de me peloter, de me fouiller consciencieusement avec leurs doigts, de se faire sucer surtout puisque j'étais sans doute un des seules filles, sinon la seule de mon âge, à le faire avec bonne volonté et application, sans jamais leur refuser.
Mais je me demandais quand l'un deux se déciderait à me baiser enfin. Je m'y sentais prête bien que je n'ait guère plus que quatorze ans. Enfin, un samedi après midi, un grand, seize ans peut être, a eu une opportunité. Ses parents étaient partis dans la famille, lui laissant le champ libre. Il profita aussitôt de l'occasion. Je n'ai pas eu le temps de réfléchir. Il m'entraîna d'autorité chez lui, dans sa chambre et me déshabilla.
C'était la première fois que je me retrouvais entièrement nue devant un garçon. J'en étais troublée. J'ai tout de suite aimé cette sensation d'être là, offerte, à sa merci, livrée à ses caresses appuyées, à sa fouille de mon sexe déjà trempé. Il m'a couchée sur le lit et s'est déshabillé à son tour. C'était aussi la première fois que je voyais un garçon totalement nu, sa queue tendue, bien que je déjà eu affaire à elle. J'étais juste curieuse, pas du tout effrayée. J'attendais de savoir enfin.
C'est allé très vite. il m'a écarté les cuisses et s'est couché sur moi. Il est entré d'un seul coup. Je n'ai pas eu mal. J'avais déjà été tellement doigtée. J'ai tout de suite aimé sentir ce sexe dur me pénétrer profondément, ce mouvement saccadé, ce corps lourd sur le mien, cette respiration haletante dans mon cou.
Mais ca n'a pas duré très longtemps. Un quart d'heure peut être, guère plus. Rapidement, il s'est retiré en gémissant et a joui bruyamment, giclant sur mon ventre son liquide chaud et poisseux. Il s'est couché sur le dos en reprenant son souffle, me laissant frustrée. Il m'a juste dit : qu'est ce que c'était bon, hein, et il est aussitôt parti vers la salle de bains. Quand il a réapparu dans l'encadrement de la porte de la chambre, il m'a dit : faut que tu partes maintenant, on se reverra plus tard, je vais voir mes potes tout à l'heure.
Même pas merci. Je suis rentrée, heureuse et satisfaite qu'enfin ça soit arrivé, mais aussi terriblement déçue. J'attendais plus et mieux. Je suis rentrée à la maison, je me suis enfermée dans ma chambre, je me suis longuement masturbée en repensant à cette toute première fois, et enfin j'ai jouit à mon tour.
Par Isa - Publié dans : Mon apprentissage
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Dimanche 19 février 7 19 /02 /Fév 18:36
Un dimanche, en fin d'après midi, je rentrais avec un garçon. La nuit tombait. En chemin on a rencontré un de ses copains. Celui-ci se plaignait qu'il n'avait pas trouvé de fille ce jour là, qu'il était frustré. Le garçon qui m'accompagnait lui a alors proposé de venir s'amuser un peu avec moi.
Il n'avait même pas pris la peine de me demander mon avis. C'est comme si ça allait de soi. On ne demande pas son avis à une fille a, déjà, la réputation d'aller avec tout le monde. Je suis restée muette, je n'ai pas protesté. Ils m'entraînèrent dans un parc, désert à cette heure là, à l'abri du mur d'enceinte.
Là, mon copain s'est collé derrière moi et a dit à l'autre : vas y, profites en. J'étais prise entre deux feux. L'un me pelotais les fesses sous ma robe, l'autre s'est emparé de ma poitrine en faisant remarquer que je n'avais pas beaucoup de seins. Ben oui, j'étais encore presque plate, il lui faudrait s'en contenter.
Les deux garçons s'échangeaient des réflexions à mon propos, comme si je n'étais pas là, comme si je ne comptais pas. Le premier encourageait le second à enfoncer ses doigts dans ma chatte, ce qu'il s'empressa de faire, nerveusement. Je n'étais qu'un objet entre leurs mains.
Je sentais un doigt s'introduire sans égard dans mon anus. Sensation brûlante. Je me laissais manipuler, inerte, trempée, les cuisses moites.
Ils ne se gènaient pas pour faire des commentaires crus sur le fait que j'étais bonne, et que je serais bientôt encore meilleure à baiser. Mais ce n'était pas encore pour cette fois.
Le premier vantait mes mérites à l'autre, en lui disant que j'étais une bonne suceuse, que c'était déjà ça, et qu'il fallait en profiter. Je me suis vite retrouvée accroupie, coincée contre le mur, face à deux queues dressées. Ils m'encourageaient rudement : vas y suce mieux que ça, salope, montre ce que tu sais faire. Je m'appliquais de mon mieux. Ils ont bientôt jouit en râlant bruyamment. J'avais la figure dégoulinante de sperme. J'en avais même sur ma robe.
Ils m'ont plantée là, et sont partis en ricanant. J'ai fait tout mon possible pour essuyer les taches sur mes vêtements, et je suis rentrée seule, légèrement honteuse, mais j'aimais déjà ce sentiment trouble. En arrivant à la maison, je me suis précipitée dans la salle de bains...
Par Isa - Publié dans : Mon apprentissage
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