Mon propos


Le journal intime d'une trentenaire, errante sexuelle.
On m'a toujours traitée de fille facile, de traînée, de marie-couche-toi-là. J'assume.
Je suis comme ça.
J'essaierai d'être vraie, sans fard, au fil d'un journal décousu, fait de réflexions, d'expériences vécues racontées franchement, sans détour mais sans vulgarité.
Isa
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Correspondance

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Jeudi 23 février 4 23 /02 /Fév 20:36
Il m’a fait mettre à genoux, la tête dans l’oreiller, les fesses en l’air et m’a enfilé sa queue dans la chatte. Je n’avais jamais été prise dans cette position. C’était assez excitant : je me sentais offerte, prête à l’emploi, cuisses écartées, exhibée à son regard. J’ai senti un liquide froid couler sur mon anus, puis bientôt son pouce s’y enfoncer. Le liquide s’est très vite réchauffé. Ça devait être de la vaseline ou quelque chose comme ça. Son doigt s’enfonçait facilement, mais j’éprouvais une sensation de brûlure malgré le lubrifiant.
J’enfouis ma tête sous l’oreiller. Je ne voyais plus rien, mais je ressentais de manière exacerbée ce qui m’arrivait. Sa queue était toujours enfilée dans mon ventre, mais je ne prêtais attention qu’à ce qu’il faisait à mon petit trou, qu’il travaillait rudement avec son pouce, en rajoutant plusieurs fois du lubrifiant.
Soudain, il a sorti sa bite de ma chatte. J’ai juste eu le temps de me dire qu’heureusement elle était plutôt mince qu’il l’appuyait déjà sur la petite porte. Là j’ai pris peur. Je me suis crispée. Il m’a dit de me détendre en me donnant deux bonnes claques sur le cul. Et il s’est mis à pousser.
Par Isa - Publié dans : Mon apprentissage
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Jeudi 23 février 4 23 /02 /Fév 17:20
Je suis retournée très vite chez mon voisin du dessous. C’était facile, il n’avait qu’à me faire signe. La fille que j’avais vue en sortant de chez lui la première fois, je m’en foutais. Je n’étais pas jalouse, et j’avais même un certain plaisir pervers quand quelquefois je croisais son regard dans l’escalier. Elle ne savait rien, et ça m’excitait terriblement qu’une fille comme moi, encore presque gamine, couchait avec son mec.
Quand je suis entrée chez lui, il n’a pas perdu de temps, il m’a dirigée vers sa chambre et m’a ordonné de me déshabiller. J’ai vite enlevé mon pull et mon jean. Je l’ai sucé bien sûr. Lui a commencé à me mettre des doigts dans la chatte, déjà humide. Et j’ai senti un doigt s’introduire durement dans mon petit trou. Je n’ai pas été surprise. C’est bien que j’avais compris la dernière fois quand il m’avait dit qu’il allait s’occuper de mon cul.
J’avais eu le temps d’y penser, d’essayer imaginer ce que je ressentirais quand ça arriverait. J’avais bien tenté d’y mettre un doigt moi-même, seule dans mon lit. Mais même avec de la crème, j’avais trouvé ça plutôt douloureux. Je n’avais pas insisté. Je m’étais dit avec fatalisme qu’il arriverait ce qui devait arriver. Je savais depuis longtemps déjà qu’il faudrait y passer, que c’était dans ma destinée. Et mon voisin n’avait pas laissé planer le moindre doute là-dessus. Quant à moi, je lui avais promis que je serais une élève appliquée et obéissante. Après tout, je m’étais mise sur son chemin pour ça, pour progresser, devenir une vraie petite salope.
Il m’a dit : - maintenant on va passer aux choses sérieuses, je vais te prendre le cul. D’une voix à peine perceptible, je lui ai demandé d’y aller doucement, parce que je ne l’avais encore jamais fait. – T’en fais pas, tout va bien se passer, je vais te dépuceler ton trou du cul, tu vas devenir une vraie femme.
Par Isa - Publié dans : Mon apprentissage
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Jeudi 23 février 4 23 /02 /Fév 15:27
Puis il m’entraîna vers sa chambre, m’allongea sur le lit. Là, il me prit par les chevilles et m’écarta largement les jambes, relevées très haut. Je me sentais écartelée, ouverte, offerte à son regard scrutateur, et bientôt à ses doigts inquisiteurs. Il s’exclama : - Mais dis donc t’es complètement trempée, ma salope ! il porta ses doigts humides à sa bouche. Ça semblait lui plaire. Moi, j’étais rouge de confusion.
Il m’ouvrit les cuisses encore plus largement en forçant mes chevilles à venir au niveau de mes épaules. Et il se mit à lécher ma chatte dégoulinante. D’abord avec sa langue qui cherchait à ouvrir ma fente, puis bientôt à pleine bouche. Je me suis mise à agripper les draps tellement j’étais saisie. Je n’avais encore jamais connu cette sensation, un mélange de plaisir intense et de confusion totale. J’avais les yeux clos. J’avais du mal à bien percevoir ce qu’il me faisait, si il insistait plutôt sur mon bouton ou si il s’introduisait profondément entre mes lèvres. J’étais partagée entre deux envies contradictoires : que cesse immédiatement cette caresse humiliante, et qu’elle ne cesse jamais…
Puis brusquement, sa bouche quitta mon sexe, aussitôt remplacée par sa queue qu’il planta tout au fond de mon ventre. Il me baisa comme ça, longuement, toujours écartelée, les chevilles contre mes épaules. J’ai été prise d’une intense jouissance juste avant qu’il jouisse lui-même… Je sentais son sperme couler entre les lèvres de mon sexe. Il s’effondra à côté de moi, rouge et essoufflé.
Il se pencha à mon oreille et me murmura : - t’est bonne, toi, tu as du potentiel ! Mais maintenant, faut partir, ma copine va bientôt arriver. La prochaine fois, je m’occuperai de ton cul. J’avais bien peur de comprendre de quoi il s’agissait. La prochaine fois, il serait toujours temps de s’inquiéter.
Je m’éclipsai furtivement. En remontant chez moi, j’ai aperçu quelques marches plus bas la silhouette d’une fille qui montait au troisième..
Par Isa - Publié dans : Mon apprentissage
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