Mon propos


Le journal intime d'une trentenaire, errante sexuelle.
On m'a toujours traitée de fille facile, de traînée, de marie-couche-toi-là. J'assume.
Je suis comme ça.
J'essaierai d'être vraie, sans fard, au fil d'un journal décousu, fait de réflexions, d'expériences vécues racontées franchement, sans détour mais sans vulgarité.
Isa
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Correspondance

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Vendredi 24 février 5 24 /02 /Fév 21:21
Je devais retourner voir le gynéco, comme il l’avait exigé la première fois. J’avais reculé plusieurs fois. J’avoue que je craignais de me retrouver face à lui. Et en même temps, j’étais attirée. J’avais éprouvé une grande humiliation à subir l’intrusion de ses doigts inquisiteurs au plus profond de ma chatte, et plus encore, d’avoir joui honteusement. Je me doutais bien qu’il irait plus loin cette fois, mais je redoutais de devoir soutenir son regard, méchant et hautain.
J’y suis retournée pourtant. Je me suis signalée auprès de la secrétaire, puis installée debout dans un coin de la salle d’attente, n’osant regarder les femmes quadragénaires qui attendaient leur tour. De temps à autres, j’apercevais le toubib quand il introduisait une patiente. Mon tour est arrivé. Il m’a regardé de ses yeux durs et m’a dit : - toi, tu attends, tu passeras la dernière.
J’ai attendu longtemps, de plus en plus tendue. Enfin, il n’est plus restée que moi. Il a raccompagné sa dernière cliente, autorisé sa secrétaire à partir, et s’est tourné vers moi : - A nous ! Je n’en menais pas large…
Par Isa - Publié dans : Mes errances
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Vendredi 24 février 5 24 /02 /Fév 19:06
Ma mère commençait à me laisser un peu plus d’autonomie. J’avais maintenant la permission de minuit. J’en profitais pour sortir le soir. Je trouvais toujours à me faire inviter au bal ou en boîte. Et bien sûr, je devais payer en nature. Il m’arrivait de devoir sucer les garçons sur la banquette arrière de la voiture qui nous emmenait. Pendant que j’en satisfaisais un, l’autre me doigtait par derrière le vagin et souvent l’anus. Les autres, devant, râlaient et s’impatientaient. Ils voulaient aussi en profiter. Souvent, ils arrêtaient la voiture en rase campagne, dans le noir, et ils me passaient tous dessus. Alors ils décidaient que ce n’était plus la peine d’aller perdre son temps à danser, et ils m’emmenaient dans un endroit tranquille pour me baiser tout leur saoul. J’aimais être la proie de ces types déchaînés. De plus en plus souvent ils me sodomisaient les uns après les autres, sans état d’âme, puisque j’acceptais tout docilement….
Par Isa - Publié dans : Mes errances
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Vendredi 24 février 5 24 /02 /Fév 15:06
Je montais souvent voir mon voisin qui me sodomisait régulièrement. Je n’aimais pas trop ça. C’était toujours douloureux, et assez humiliant, mais je lui cédais quand même docilement l’usage de mon cul en serrant les dents. Je m’appliquais à supporter la brûlure de la pénétration. Je pensais que de toute façon, il faudrait bien que je m’habitue à ce qu’on utilise tous mes trous. J’étais bien consciente que telle était la loi des hommes, et que je devrais la subir.
Je continuais aussi à sucer mes copains presque tous les soirs dans l’escalier ou à la cave. J’aimais me mettre à genoux, leur offrir ma bouche, la sentir investie par leur bite gonflée, sentir monter leur plaisir, voir jaillir leur sperme chaud vers mon visage. J’aimais ce sentiment un peu honteux quand il dégoulinait de leur liquide visqueux. Et plus encore quand ils m’y mettaient à plusieurs. J’avais plaisir à reprendre leur bite amollie dans la bouche, encore humide de leur jouissance. Le sperme ne me dégoûtait plus, au contraire. Et quand ils partaient, j’aimais rester seule encore un moment, agenouillée, le visage maculé. Je me masturbais longuement en me disait que j’étais vraiment une traînée.
Par Isa - Publié dans : Mes errances
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