Mardi 21 février
2
21
/02
/Fév
15:02
La petite bande de copains continuait à se partager mes faveurs. Ça s’était fait tout naturellement, sans se poser de question. Surtout, sans me demander mon avis. C’est comme si ça allait de soi. Même si je n’étais pas la plus attirante, j’étais une fille pratique au fond, qui ne disait jamais non chaque fois qu’ils avaient besoin de se soulager.
Ils draguaient bien des nanas plus âgées, plus sexy, avec des plus gros seins. Seulement ce n’était pas si simple. Si elle acceptaient à la rigueur un flirt un peu poussé, elles refusaient d’aller plus loin, de se laisser sauter ou même de s’abaisser à les sucer. Des allumeuses, encore pas assez mures pour sacrifier leur précieuse virginité.
Alors, faute de mieux, ils se rabattaient sur la petite salope, la petite bonne à tout faire, toujours disponible pour les satisfaire. Il ne se passait guère de soir où je n’en suçais pas un ou deux avant que chacun rentre à la maison. Ils en avaient pris l’habitude, c’était comme un dû. Je m’y pliais de bonne grâce. J’aimais vraiment ça, m’accroupir, me sentir dominée par leur queue gonflée, les masturber doucement, passer mes doigts dans leurs poils, caresser leurs couilles, me laisser envahir la bouche.
Je me laissais faire passivement, je les laissais faire des petits mouvements de bassin, prendre leur plaisir dans ma bouche docile. Ils y jouissaient sans vergogne, puis s’essuyaient leur bite sur mon visage. Je recrachais par terre leur sperme chaud et visqueux. Je commençais à en aimer le goût. J’aimais aussi de plus en plus ce sentiment un peu honteux qui m’envahissait chaque fois que je prenais conscience que j’étais vraiment une traînée de me laisser faire ça, si jeune encore…
Ils draguaient bien des nanas plus âgées, plus sexy, avec des plus gros seins. Seulement ce n’était pas si simple. Si elle acceptaient à la rigueur un flirt un peu poussé, elles refusaient d’aller plus loin, de se laisser sauter ou même de s’abaisser à les sucer. Des allumeuses, encore pas assez mures pour sacrifier leur précieuse virginité.

Alors, faute de mieux, ils se rabattaient sur la petite salope, la petite bonne à tout faire, toujours disponible pour les satisfaire. Il ne se passait guère de soir où je n’en suçais pas un ou deux avant que chacun rentre à la maison. Ils en avaient pris l’habitude, c’était comme un dû. Je m’y pliais de bonne grâce. J’aimais vraiment ça, m’accroupir, me sentir dominée par leur queue gonflée, les masturber doucement, passer mes doigts dans leurs poils, caresser leurs couilles, me laisser envahir la bouche.
Je me laissais faire passivement, je les laissais faire des petits mouvements de bassin, prendre leur plaisir dans ma bouche docile. Ils y jouissaient sans vergogne, puis s’essuyaient leur bite sur mon visage. Je recrachais par terre leur sperme chaud et visqueux. Je commençais à en aimer le goût. J’aimais aussi de plus en plus ce sentiment un peu honteux qui m’envahissait chaque fois que je prenais conscience que j’étais vraiment une traînée de me laisser faire ça, si jeune encore…
Vos réflexions