Mon propos


Le journal intime d'une trentenaire, errante sexuelle.
On m'a toujours traitée de fille facile, de traînée, de marie-couche-toi-là. J'assume.
Je suis comme ça.
J'essaierai d'être vraie, sans fard, au fil d'un journal décousu, fait de réflexions, d'expériences vécues racontées franchement, sans détour mais sans vulgarité.
Isa
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Correspondance

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Mardi 21 février 2 21 /02 /Fév 15:02
La petite bande de copains continuait à se partager mes faveurs. Ça s’était fait  tout naturellement, sans se poser de question. Surtout, sans me demander mon avis. C’est comme si ça allait de soi. Même si je n’étais pas la plus attirante, j’étais une fille pratique au fond, qui ne disait jamais non chaque fois qu’ils avaient besoin de se soulager.
Ils draguaient bien des nanas plus âgées, plus sexy, avec des plus gros seins. Seulement ce n’était pas si simple. Si elle acceptaient à la rigueur un flirt un peu poussé, elles refusaient d’aller plus loin, de se laisser sauter ou même de s’abaisser à les sucer. Des allumeuses, encore pas assez mures pour sacrifier leur précieuse virginité.
Alors, faute de mieux, ils se rabattaient sur la petite salope, la petite bonne à tout faire, toujours disponible pour les satisfaire. Il ne se passait guère de soir où je n’en suçais pas un ou deux avant que chacun rentre à la maison. Ils en avaient pris l’habitude, c’était comme un dû. Je m’y pliais de bonne grâce. J’aimais vraiment ça,  m’accroupir, me sentir dominée par leur queue gonflée, les masturber doucement, passer mes doigts dans leurs poils, caresser leurs couilles, me laisser envahir la bouche.
Je me laissais faire passivement, je les laissais faire des petits mouvements de bassin, prendre leur plaisir dans ma bouche docile. Ils y jouissaient sans vergogne, puis s’essuyaient leur bite sur mon visage. Je recrachais par terre leur sperme chaud et visqueux. Je commençais à en aimer le goût. J’aimais aussi de plus en plus ce sentiment un peu honteux qui m’envahissait chaque fois que je prenais conscience que j’étais vraiment une traînée de me laisser faire ça, si jeune encore…
Par Isa - Publié dans : Mon apprentissage
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Mardi 21 février 2 21 /02 /Fév 00:05
Sceptique, il a commencé par me palper les seins, plutôt rudement, puis il m’a ordonné de m’allonger sur la table d’examen et m’a fait mettre les pieds dans des étriers. Les cuisses largement écartées, je me sentais troublée d’être exposée ainsi tandis qu’il me scrutait l’entrejambe. Je n’avais pas tout vu.
Il a enfilé des gants en caoutchouc et a écarté les lèvres de ma vulve. Très vite il s’est aperçu que je n’étais plus vierge. Il s’est mis à m’engueuler en me traitant de petite traînée, en me disant qu’à quatorze ans je promettais… Il a enfoncé ses doigts dans mon sexe sans ménagement, brutalement même. Comme j’amorçais un mouvement de recul, il me dit d’un ton rogue que d’habitude, apparemment, je ne faisais pas tant de manière. La honte et l’humiliation m’ont submergée, et encore plus quand je me suis aperçue que je mouillais abondamment sous la rude caresse, et qu’il ne pouvait que s’en rendre compte.
Ce qui n’a pas manqué. Son regard était devenu dur. Il a retiré son doigtier et m’a lancé d’un ton sarcastique : avec toi, pas la peine de prendre de gants ! Il m’a profondément fouillée à main nue, rudement, son pouce appuyé sur mon bouton. Je n’ai pas pu soutenir son regard vicieux, j’ai baissé les yeux et, impuissante, je me suis abandonnée, en sueur, et je n'ai pas pu m'empêcher de jouir sous ses doigts autoritaires.
Aussitôt il m’a ordonné de me relever et de me rhabiller en me traitant de petite salope. Je me sentais profondément humiliée par ce qui venait de se passer, mais j’y avais aussi trouvé un plaisir pervers. Il a griffonné la précieuse ordonnance et m’a dit qu’il voulait me revoir le mois prochain pour un examen de contrôle, et que j’avais intérêt à oublier sinon il appellerait ma mère. Je me suis enfuie le papier à la main sans un mot, moite de sueur, la culotte détrempée…
Par Isa - Publié dans : Mon apprentissage
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Mardi 21 février 2 21 /02 /Fév 00:03
Soudain je me suis avisée que je risquais de tomber enceinte. Bien sûr, ils n’utilisaient jamais de capote, je ne savais même pas très bien ce que c’était. Mais il fallait vite que je prenne la pilule pour éviter une catastrophe.
Facile à dire… Il fallait que j’en parle à ma mère. Je n’osais pas évidemment. Mon père était parti de la maison et ma mère n’était pas autoritaire, plutôt effacée même, mais je craignais quand même sa réaction.
Il a bien fallu que je me lance. Elle a été choquée. Quoi ? A quatorze ans ? Déjà ? Mais c’est pas possible… Pour la rassurer je lui ai raconté qu’elle n’avait pas à s’en faire, que j’étais sage, que c’était pour plus tard, on ne sait jamais, faut toujours prévoir. Elle a accepté mes explications facilement. Au fond, elle ne voulait pas vraiment savoir. Elle préférait fermer les yeux. Elle m’a envoyé voir un toubib pour me faire prescrire la précieuse pilule.
Quand je suis entrée dans le cabinet, j’étais dans mes petits souliers. Il a bien fallu que je m’explique. L’homme, sec et nerveux, les cheveux gris coupés court, la cinquantaine, avait un air sévère, et encore plus quand il a su pourquoi je venais le voir. Il a commencé à me faire la morale, à me dire qu’il ne fallait pas que je traîne avec n’importe qui à mon âge, qu’il fallait que je fasse très attention. Puis il m’a dit qu’il devait m’examiner, que je devais me déshabiller. Je n’avais pas prévu ça…
J’ai dû me mettre en petite culotte, je croyais m’en tirer comme ça, mais il a exigé que je me mette entièrement nue. Je me suis retrouvée debout, nue devant lui. Sous le regard sans aménité de cet homme mûr, je me sentais une toute petite fille, légèrement honteuse. Il a commencé à me demander si j’avais déjà eu des contacts avec les garçons, si je m’étais déjà laissé toucher. J’ai bredouillé des explications vaseuses…
Par Isa - Publié dans : Mon apprentissage
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