Dimanche 19 février
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Je me suis vite habituée. Les garçons de seize/dix sept ans l'exigeaient tous, à défaut de me pouvoir sauter, faute de lieu propice. Ils voulaient tous se faire sucer.
J'était fascinée par le sexe masculin quand il se dressait, menaçant, impérieux. J'aimais me sentir obligée de m'accroupir ou m'agenouiller pour leur rendre hommage. J'aimais, déjà, me soumettre à leur virilité.
Toujours, je les sucais très doucement, sans ardeur excessive pour les amener à exiger, imposer leur désir, leur rythme, me prendre la tête, m'empoigner par les cheveux pour les satisfaire. J'aimais les sentir durcir et gonfler dans ma bouche, s'y enfoncer sans égard. Même si c'était parfois pénible à supporter.
Et j'attendais avec fatalité qu'ils giclent dans ma bouche ou sur mon visage. Au début, j'avais trouvé ça dégueulasse. Et petit à petit j'ai appris à aimer cette saveur âcre, cette consistance visqueuse si particulière, jamais tout à fait la même. Je m'efforçais seulement de ne pas vomir quand ils jouissaient au fond de ma gorge.
J'aimais par dessus tout leur regard à la fois triomphant et méprisant pour la petite salope qui s'était laissée tout faire si facilement. J'en étais troublée. J'aimais ce sentiment d'humiliation qui montait en moi quand ils se détournaient de moi en me lançant une insulte, ce léger dégoût de moi quand je me relevais, le visage et la bouche maculés de leur sperme, que j'essuyais maladroitement avec un mouchoir.
J'était fascinée par le sexe masculin quand il se dressait, menaçant, impérieux. J'aimais me sentir obligée de m'accroupir ou m'agenouiller pour leur rendre hommage. J'aimais, déjà, me soumettre à leur virilité.
Toujours, je les sucais très doucement, sans ardeur excessive pour les amener à exiger, imposer leur désir, leur rythme, me prendre la tête, m'empoigner par les cheveux pour les satisfaire. J'aimais les sentir durcir et gonfler dans ma bouche, s'y enfoncer sans égard. Même si c'était parfois pénible à supporter.
Et j'attendais avec fatalité qu'ils giclent dans ma bouche ou sur mon visage. Au début, j'avais trouvé ça dégueulasse. Et petit à petit j'ai appris à aimer cette saveur âcre, cette consistance visqueuse si particulière, jamais tout à fait la même. Je m'efforçais seulement de ne pas vomir quand ils jouissaient au fond de ma gorge.
J'aimais par dessus tout leur regard à la fois triomphant et méprisant pour la petite salope qui s'était laissée tout faire si facilement. J'en étais troublée. J'aimais ce sentiment d'humiliation qui montait en moi quand ils se détournaient de moi en me lançant une insulte, ce léger dégoût de moi quand je me relevais, le visage et la bouche maculés de leur sperme, que j'essuyais maladroitement avec un mouchoir.
Vos réflexions