Mardi 14 mars
2
14
/03
/Mars
00:23
Je suis restée plusieurs mois sous la coupe de Rachid. Il se servait de moi comme son vide couilles permanent, comme il me l’avait annoncé sans ambages, et me baisait sans ménagement par tous les trous.
Alors que j’aurais dû détester être rabaissée comme il aimait le faire, être réduite en objet qu’il utilisait à sa guise, souvent avec brutalité, j’étais étrangement attirée. Dès qu’il claquait dans les doigts, j’accourais. J’avais beau me dire que c’était parce qu’il valait mieux lui obéir pour éviter une correction que, de toute façon, je prenais quand même souvent, je ne pouvais pas me cacher qu’au fond j’y prenais une certaine forme de plaisir assez malsain.
Je savais ce qui m’attendait, et pourtant je n’ai jamais vraiment cherché à me dérober, à échapper à son emprise. Il n’avait qu’un geste à faire, un simple claquement de doigts, et je le suivais en silence. Les autres hommes du quartier me regardaient avec envie et dépit de ne pas pouvoir m’approcher. J’étais sa propriété, sa chasse gardée. Certaines filles, qui avaient eu affaire à Rachid et connaissaient ses méthodes, me considéraient avec un mélange de commisération et de mépris. Pour avoir eu la faiblesse de sortir un jour avec lui, la plupart semblaient ne pas comprendre pourquoi, moi, je continuais à accepter ce qu’elles avaient apparemment trouvé inacceptable.
Je m’en foutais au fond. J’acceptais mon sort parce que j’y trouvais une certaine forme de satisfaction intérieure, sombre, un peu morbide, dans laquelle je me complaisais. Lui utilisait sans vergogne sa « pute blanche » pour satisfaire ses besoins, qui étaient insatiables.
Presque tous les jours pendant huit mois, il a forcé ma bouche durement en me serrant le cou, trouvant un plaisir évident à m’amener à la limite du vomissement, à faire couler mon rimmel sur les joues, avant de s’attaquer à mes autres orifices. Il adorait me sodomiser à cru, sans autre lubrification qu’un peu de salive, pour m’arracher des gémissements et des supplications, avant de souiller ma figure de sa jouissance.
Puis un jour, j’ai fini de l’intéresser. Il m’avait assez utilisée. Je me laissais faire trop docilement. C’était trop facile ; Il n’y trouvait plus de plaisir. Il avait besoin de chair fraîche, de nouvelles filles qu’il prendrait un malin plaisir à dominer et à forcer. Il m’a jetée du jour au lendemain comme une vieille chaussette sale qui aurait trop servi.

Je savais ce qui m’attendait, et pourtant je n’ai jamais vraiment cherché à me dérober, à échapper à son emprise. Il n’avait qu’un geste à faire, un simple claquement de doigts, et je le suivais en silence. Les autres hommes du quartier me regardaient avec envie et dépit de ne pas pouvoir m’approcher. J’étais sa propriété, sa chasse gardée. Certaines filles, qui avaient eu affaire à Rachid et connaissaient ses méthodes, me considéraient avec un mélange de commisération et de mépris. Pour avoir eu la faiblesse de sortir un jour avec lui, la plupart semblaient ne pas comprendre pourquoi, moi, je continuais à accepter ce qu’elles avaient apparemment trouvé inacceptable.
Je m’en foutais au fond. J’acceptais mon sort parce que j’y trouvais une certaine forme de satisfaction intérieure, sombre, un peu morbide, dans laquelle je me complaisais. Lui utilisait sans vergogne sa « pute blanche » pour satisfaire ses besoins, qui étaient insatiables.


Vos réflexions