Mon propos


Le journal intime d'une trentenaire, errante sexuelle.
On m'a toujours traitée de fille facile, de traînée, de marie-couche-toi-là. J'assume.
Je suis comme ça.
J'essaierai d'être vraie, sans fard, au fil d'un journal décousu, fait de réflexions, d'expériences vécues racontées franchement, sans détour mais sans vulgarité.
Isa
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Correspondance

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Blacky

Vendredi 14 avril 5 14 /04 /Avr 10:37
Mon tour est rapidement venu, un soir où Blacky était particulièrement excité. Je ne le suçais pas assez bien à son goût, alors il s’est énervé et s’est mis à m’enfoncer sa grosse bite au fond de la gorge en me pinçant le nez pour que j’ouvre plus grand la bouche. Il me pistonnait si durement et si profondément que je bavais abondamment. Il m’a giflée durement pour que je ravale ma salive avant de recommencer encore plus violemment. J’étais prise de haut le cœur, à deux doigts de vomir. Là, il s’est mis en colère, il s’est brusquement retiré de ma gorge pour aller chercher son ceinturon. J’ai compris que j’allais y passer, et Djamila aussi, qui restait dans son coin sans s’en mêler. Le black m’a tordu les bras dans le dos, et fait mettre à genoux. Il m’a dit qu’il était temps de me dresser comme ma copine. Il m’a ordonné de lever les fesses et il a abattu son ceinturon. J’ai gémi sous la douleur. Je me suis repliée sur moi-même en jetant un regard éploré à Djamila. Elle semblait me plaindre. L’autre a crié pour que je relève les fesses et les coups se sont abattus sur mon cul. J’ai vite crié et pleurniché pour qu’il arrête, mais rien n’y a fait. Il m’a administré une interminable correction, les fesses me brûlaient et me faisaient terriblement mal. Djamila a bien essayé de lui dire de ne pas me faire trop mal, qu’elle n’avait pas l’habitude. Elle a pris une grosse claque et elle s’est réfugiée contre le mur. Elle ne s’en est plus mélée et j’ai dû subir la douloureuse séance jusqu’à ce qu’il décide que ça suffisait. J’avais le visage baigné de larmes.
Il m’a ordonné de me tourner et il m’a enculée d’un seul coup. J’ai crié encore, et puis je me suis tue, et je me suis laissée labourer l’anus en souffrant en silence. Quand il a estimé que j’étais bien ouverte, il s’est retiré et a appelé Djamila pour jouir dans sa bouche…
Par Isa - Publié dans : Blacky
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Jeudi 13 avril 4 13 /04 /Avr 16:17
Blacky avait exigé que je quitte mon boulot de caissière pour venir m’installer chez lui. Il voulait m’avoir à sa disposition à plein temps. On dormait ensemble avec Djamila dans un petit lit, lui en avait un grand pour lui tout seul, et dès qu’il avait envie de tirer son coup, il m’appelait, ou elle, ou les deux, pour le satisfaire. Il fallait accourir sans tarder, sinon ça bardait. ça commençait dès le matin.
Il adorait se faire sucer longuement, puis il baisait Djamila en priorité avant de l’envoyer faire le trottoir pour ramener des sous. Après c’était mon tour. Il exigeait que je lui nettoie soigneusement la bite des sécrétions de ma copine. Je faisais de mon mieux, mais il n’était jamais satisfait et il me collait des baffes pour que je m’applique.
Après il me tirait par les tétons pour que je vienne m’empaler sur sa grosse bite noire. Il plantait durement ses doigts dans mes fesses pour me pistonner profondément. Quand il avait joui, il m’envoyait préparer son petit dej’ avant de passer à genoux sous la table pour le sucer encore pendant qu’il prenait son café. Après, fallait que j’aille me laver rapidement. Il disait que j’avais intérêt à avoir le cul propre parce qu’il détestait se salir la bite dans mon anus. Quand c’était le cas, je prenais une sévère correction et il m’obligeait à la nettoyer avec la langue. Aussi, je prenais grand soin que ça n’arrive pas.
I l me prenait comme ça plusieurs fois par jour. Il était inépuisable et rebandait toujours rapidement. L’après midi, pour faire la sieste tranquille, il m’envoyait dehors pour aller chercher de la monnaie comme il disait. Il fallait que je fasse vite, parce qu’il m’attendait pour me baiser dès que je rentrais, avant que je fasse la cuisine pour le soir. Et plus tard dans la soirée, quand Djamila rentrait à son tour, il n’était pas rare qu’il nous encule encore toutes les deux, et qu’il lui file des coups de ceinture si la recette n’était pas suffisante. Je contemplais la scène pendant que Djamila supportait sa correction en grimaçant. Blacky se tournait vers moi en ricanant que ce serait bientôt mon tour…
Par Isa - Publié dans : Blacky
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Mardi 11 avril 2 11 /04 /Avr 00:22
Le black a fait une traction plus forte sur mes cheveux pour me relever et me forcer à me coucher sur sa cuisse. Puis il m’a attrapée par les fesses pour les faire remonter. Il a alors commencé à m’administrer une fessée rude et de plus en plus brûlante. J’ai d’abord subi passivement puis je n’ai pas pu m’empêcher de tenter de me protéger avec les mains. Il s’est alors emparé de mes poignets pour les tenir serrés d’une main. Ses doigts me faisaient mal. De son autre main, il continuait à me claquer de plus en plus fort. La sensation cuisante se transformait en douleur. J’ai fini par gémir, de plus en plus fort, avant de supplier pour qu’il arrête. Sourd à mes plaintes, il redoublait de vigueur. Enfin, après un long moment que j’ai trouvé interminable, il m’a brusquement libérée. Je me suis redressée, a genoux, les yeux baignés de larmes. Il m’a prise par les joues, m’a donné deux claques sur la figure et ajouté en introduisant de force des doigts dans ma bouche : « Maintenant tu vas être bonne à baiser et à enculer. Dis le, salope, que t’es à ma disposition ! ». Je murmurai : « faites ce que vous voulez »…
Il m’a jetée sur le lit, m’a fait mettre à quatre pattes pour m’enfiler sa grosse bite d’un seul coup. J’en ai été suffoquée. Il m’a baisée durement, violemment, cherchant à s’enfoncer le plus loin possible dans mon vagin, en me m’agrippant fermement la peau des fesses. Le black s’exclama « Djamila, viens ici, lèche moi les couilles, ma pute ». Ma copine s’exécuta sur le champ en commençant à se déshabiller. « Mieux que ça, salope, applique toi ».
Elle s’était couchée pour passer sa tête sous nos sexes soudés. Je sentais sa langue glisser sur mes grandes lèvres, chercher mon clitoris. A un moment, Blacky a sorti sa bite de ma chatte pour forcer la bouche de Djamila, la baisant à grands coups de reins. Puis il a craché sur la raie de mes fesses et m’a forcé brutalement l’anus. J’ai crié de douleur. Il m’a alors donné de grandes claques sur le cul en me criant « Tais toi, salope. T’as déjà pris des bites dans le cul, et t’en prendras beaucoup d’autres, fais moi confiance… ». Je me suis tue, et j’ai subi sa bite énorme en grimaçant. J’avais terriblement mal, mais je ne pouvais pas lui échapper. Il me tenait fermement, je ne pouvais pas bouger. Il m’a labourée longtemps, à grands coups. Au bout d’un moment, il est ressorti en s’exclamant « ça va, t’as le cul bien ouvert, tu verrais ça… » Je ne voyais rien, mais j’avais tellement mal que je m’en doutais bien. Le black a de nouveau forcé la bouche de Djamila pour s’y enfoncer. Puis brusquement il nous a fait changer de position. Ça a été au tour de ma copine d’être sodomisée sauvagement. 
Il nous a baisées longuement dans toutes les positions, l’une après l’autre. Enfin, il m’a agrippée par les cheveux pour jouir dans ma bouche, et il m’a ordonné de partager avec ma copine. On s’est embrassées fougueusement, échangeant le sperme abondant du black. Il s’est enfin couché sur le dos en me disant « ça va, t’es bonne, je vais te garder à mon service pour me vider les couilles. J’ai des gros besoins, et Djamila n’y suffit pas. D’ailleurs, faut qu’elle bosse et ramène du fric ». Epuisée, elle aussi, Djamila m’a prise dans ses bras et on s’est endormies presqu’aussitôt.
Par Isa - Publié dans : Blacky
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