Mon propos


Le journal intime d'une trentenaire, errante sexuelle.
On m'a toujours traitée de fille facile, de traînée, de marie-couche-toi-là. J'assume.
Je suis comme ça.
J'essaierai d'être vraie, sans fard, au fil d'un journal décousu, fait de réflexions, d'expériences vécues racontées franchement, sans détour mais sans vulgarité.
Isa
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Correspondance

Qu'en pensez-vous ? Comment me jugez-vous ? Hommes ou femmes, votre avis m'intéresse.
Et vous ? Qu'aimez-vous le plus dans les pratiques sexuelles ? Qu'est ce qui vous excite particulièrement ?
Vos commentaires détaillés me feraient plaisir, et intéresseraient sûrement d'autres personnes. Ils pourraient être le début d'un dialogue public et ouvert à plusieurs voix sur ce site, en toute liberté et en toute franchise.

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Vos réflexions

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Samedi 22 avril 6 22 /04 /Avr 13:25
Encore quelques extraits significatifs des lettres que vous êtes nombreux à m’envoyer. Je ne peux malheureusement répondre à tous, j’y passerais mes journées et mes nuits, et je m’en excuse. Mais j’apprécie au plus haut point tous vos encouragements. Isa

J’ai découvert avec bonheur votre blog et je dois dire que j’ai tout lu avec un immense plaisir sauf les commentaires que je trouve vraiment mesquins, moralisateurs et d’une hypocrisie assez incroyable : pourquoi commenter si le contenu dégoûte ne suffit-il pas d’aller voir ailleurs et d’ignorer ? Pas de jugement moral en ce qui me concerne ni de spéculations oiseuses sur la réalité de vos récits. Ils sont réels dons vos mots, ils sont réels dans vos pensées puisque vous les écrivez et cela me suffit. D’autant plus, et je vous en remercie, que vous nous les offrez au lieu de les taire avec pudeur (ou pudibonderie) comme bon nombre de femmes.
 
Bien entendu je ne peux citer aucun élément probant pour étayer ce que je dis mais je suis certain, pour avoir connu un certain nombre de femmes, que nombreuses sont celles qui ont recours à des images comme les vôtres pour fantasmer, se caresser ou simplement rêver. Trop peu osent le dire, c’est ce qui vous rend précieuses.
Theud
 
Je cherche une chienne comme toi pour me pomper et vider les couilles dans la quiétude d'une salle de cinéma, à Paris. Je te donne un rendez-vous à une séance et on se retrouve directement dans la salle, pas la peine de pavoiser avant ni après. Tu viens, tu t'assied a coté de moi, je t'indiquerai le rang et la place, et je décide quand tu me pompes en t'attrapant par les cheveux. Tu prendras évidement tout dans la bouche où là ou je le déciderai suivant mon humeur.
Damien

J'ai tout bien lu ton journal. En fait je te plaignais mais après réflexion tu aimais ça, cette brutalité subie par tous ces garçons... C'est tout de même étrange et à la fois excitant.
Olivier
Par Isa - Publié dans : Votre correspondance
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Mercredi 19 avril 3 19 /04 /Avr 12:24
Blacky nous sodomisait tous les jours, ma copine arabe et moi. Surtout moi, d’ailleurs, parce que Djamila passait beaucoup de temps dehors à faire le trottoir pour ramener de l’argent à son mac. Dès qu’elle rentrait, elle y avait droit. Il fallait qu’elle se mette accroupie sur le lit, fesses tendues. Il l’enculait d’un seul coup, violemment. Heureusement, elle prenait ses précautions, elle se lubrifiait avant de rentrer pour que sa grosse bite noire soit moins pénible à supporter. Moi, j’y passais plusieurs fois par jour. Il prenait un malin plaisir à me forcer l’anus à intervalles réguliers. Il me labourait rudement, puis se retirait sans jouir, satisfait à la vue de mon anus dilaté. Il fallait que je lui nettoie soigneusement la bite. Je m’exécutais pour ne pas prendre plus de gifles que nécessaire. Puis il me laissait tranquille un moment, avait de m’appeler de nouveau. Je savais ce qu’il voulait.
Il disait que c’était pour faire mon éducation, m’apprendre à obéir au mâle et à le satisfaire à tout instant. Un jour, Blacky m’a dit qu’il était grand temps de me mettre en stage. J’ai frémi. Je savais déjà de quoi il s’agissait, Djamila m’avait tout raconté par le menu. Elle en avait déjà subi deux. Le principe était simple. Blacky invitait tous ses potes, que des blacks, et leur donnait la fille en pâture, avec pour consigne de la baiser à la chaîne, le plus longtemps et le plus violemment possible, limite viol. Il s’agissait de la rabaisser et de l’humilier au maximum pour qu’elle prenne conscience qu’elle n’était plus que « de la viande à baiser, juste bonne à servir de vide couilles », selon l’expression de Blacky, de façon à lui faire abandonner tout amour propre.
Par Isa - Publié dans : Blacky
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Mardi 18 avril 2 18 /04 /Avr 00:14
Encore des commentaires que je livre à votre attention. Un grand merci chaleureux à tous ceux et toutes celles qui m’ont écrit, et témoigné de leur intérêt pour mes récits. Isa














Je viens de visiter rapidement ton blog à nouveau. Et, en te lisant, toujours la même sensation, la même fièvre qui s'empare de moi. Il y a quelque chose en toi, en tes mots, qui me parle directement, qui s'adresse à mes sens, c'est très bizarre. Mais diablement envoûtant. Tu corresponds en fait à un fantasme que j'ai toujours traîné inconsciemment, duquel je ne me suis jamais vraiment approché : celui d'une femme-objet, mais pas intégralement soumise, silencieuse et discrète, mais transpirante de personnalité... bref, la crème des antagonismes... Enfin, la lecture des dernières publications de ton blog m'a particulièrement décontenancé, je suis dans une sorte d'état second. C'est une complice de ta trempe qu'il me faut pour explorer mes propres sentiers inexplorés...
Seb

Tu as publié de nouveaux textes, ce black mac me semble inquiétant. sort-il directement de ta fertile et sexuelle imagination, ou existe-t-il vraiment ? Vu les idées et les expériences que tu traînes au fond de toi, j'aurais tendance à croire à son existence. Peut-être as-tu déjà lu ce roman déjà ancien "la punition". C'est tout à fait le début de ce que tu vis. Le maitre de "M" l'envoie à Lyon dans une sorte de "donjon", en fait une masure misérable sans confort. Elle est là pour être dressée, battue comme plâtre et exploitée à fond. Le reste n'est qu'une descente aux enfers de la prostitution. Les filles n'en ressortent pas toujours vivantes. C'est elle qui a écrit. Isabelle, fais attention à toi.
J'ai envie de profiter un peu de toi, envoie moi quelques photos sur lesquelles tu es bien écartée et dégoulinante de sperme, j'ai envie de voir tes yeux aussi, tes yeux sombres. Tu as sûrement aussi un petit film d'une salope qui se fait limer par un beau black. En attendant de te baiser, je me branlerai dessus. Je pense que tu es une vraie machine à distiller le sperme. Mais qu'est ce que tu es belle à regarder et à lire…
Alain

Bonjour Isabelle, ton blog est vraiment troublant et très excitant. Tu écris très bien, sans vulgarité, et sans détour. Je pense que tu dois faire fantasmer beaucoup d'hommes. Est ce que tu continues à avoir cette vie sexuelle que tu décris et qu'espères-tu de l'avenir? As-tu déjà eu envie d'avoir un enfant? Je sais que tu t'ennuyais dans ton mariage, mais pourquoi ne trouves-tu pas un homme qui partage ta vision du sexe ? Un homme avec qui tu vivrais une belle histoire d'amour qui t'apporterait de la tendresse et de l'affection, et en même temps qui te traiterait comme une belle petite salope, toujours ouverte, qui te prêterait à d'autres hommes? Je suis un peu surpris car aujourd'hui la sexualité est quelque chose d'ouvert et avoir le sexe et l'amour c'est le top non ?? En tout cas je te fais de gros bisous et continue ton blog est vraiment super.
David

Félicitations Isabelle pour ton site d'une part mais également pour tes récits qui sont superbement écrits et qui nous font participer (malheureusement) virtuellement à tes expériences. Les exemples de femmes véritablement soumises sont tellement rares que je ne peux qu'apprécier ton attitude et ton dévouement pour satisfaire tes fantasmes. Macho et dominateur moi même (j'assume aussi), je peux aujourd'hui affirmer, après de nombreuses année d'expérience, que malgré l'appellation de "femme soumise", ce n'est pas le Maître qui dirige le jeu mais bel et bien celle qui est censée n'avoir aucun droit. En fait, tes récits décrivent l'emprise que croient avoir les hommes sur toi mais en réalité, tu es une femme étonnement libre... bien plus libre que certaines BCBG coincées du derrière qui se permettent certainement de te juger et de te traiter de salope !
Tu aimes être dirigée, guidée voir même forcée mais en fait, tu ne fais qu'assumer tes envies et tes fantasmes. En un mot, tu t'assumes en tant que FEMME. Je te renouvelle toutes mes félicitations car pour couronner le tout, les photos qui illustrent tes récits sont superbes ! Comment pourraient-elles être autrement puisque tu es toi-même magnifiquement belle.
Thierry
Par Isa - Publié dans : Votre correspondance
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