Mon propos


Le journal intime d'une trentenaire, errante sexuelle.
On m'a toujours traitée de fille facile, de traînée, de marie-couche-toi-là. J'assume.
Je suis comme ça.
J'essaierai d'être vraie, sans fard, au fil d'un journal décousu, fait de réflexions, d'expériences vécues racontées franchement, sans détour mais sans vulgarité.
Isa
1

Correspondance

Qu'en pensez-vous ? Comment me jugez-vous ? Hommes ou femmes, votre avis m'intéresse.
Et vous ? Qu'aimez-vous le plus dans les pratiques sexuelles ? Qu'est ce qui vous excite particulièrement ?
Vos commentaires détaillés me feraient plaisir, et intéresseraient sûrement d'autres personnes. Ils pourraient être le début d'un dialogue public et ouvert à plusieurs voix sur ce site, en toute liberté et en toute franchise.

Et si vous voulez m'écrire, c'est ici.

Si vous voulez être prévenus dès que je met un nouvel article en ligne, inscrivez-vous à la newsletter ci-dessous. C'est facile et gratuit...

Vos réflexions

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Samedi 15 avril 6 15 /04 /Avr 13:32
La présence de Djamila m’avait aidé à supporter les douloureux coups de ceinture. Après tout, elle y avait déjà eu droit souvent et ne s’en accommodait, et elle m’avait bien prévenue de ce qui m’attendait avec Blacky. Je ne pouvais pas me plaindre. Le soir, quand le black avait satisfait ses instincts et nous laissait enfin tranquilles, on se réfugiait dans notre petit lit, ma copine beurette me prenait dans ses bras, me consolait, et me dispensait sa sensualité torride de fille d’Afrique du nord. Nous étions de plus en plus proches, comme deux confidentes, deux amantes, deux sœurs, qui partagions les mêmes plaisirs et la même soumission au terrible noir.
Blacky nous baisait très souvent, plusieurs fois par jour. Nous n’étions pas trop de deux pour satisfaire ses inépuisables exigences. Il nous utilisait par tous les trous, avec une nette préférence pour nous enculer durement, sans préparation, nous arrachant des cris de douleur. Même quand il nous prenait par la chatte, il nous enfilait ses doigts dans l’anus en nous claquant généreusement les fesses.
On n’avait pas intérêt à protester, sinon il se saisissant de son ceinturon. Il adorait particulièrement quand on s’embrassait, Djamila et moi, ou encore quand l’une d’entre nous léchait la chatte de l’autre pendant qu’il nous labourait. Ça, on le faisait volontiers. Nous donner mutuellement ce plaisir nous aidait à supporter la domination qu’il exerçait sur nous…
Par Isa - Publié dans : Blacky
Ecrire un commentaire - Voir les 10 commentaires
Samedi 15 avril 6 15 /04 /Avr 12:56
Le courrier que vous m’adressez est souvent très touchant. Je continue donc à en publier les extraits les plus significatifs pour les mettre en contribution à tous ceux qui viennent consulter ce blog qui, en moins de trois mois, a atteint les 130 000 connexions, en faisant l’un des plus fréquentés. Je vous en remercie encore, et cela m’encourage à persévérer à raconter mon évolution dans le monde du sexe. Même si cela paraît excessif aux yeux de certains, je l’ai réellement vécu, quelque soit le jugement qu’on puisse porter. Isa


Quel blog !!!  Je suis donc très troublé par tes récits tellement ils sentent bon la vérité, le ressenti ! J'ai vu que ce blog était assez récent, mais qu'il y a déjà beaucoup de contenu ! Je n'ai pas eu le temps de tout lire, j'essaierai de prendre le temps ces jours-ci de rattraper mon retard avant qu'il n'y ait trop de nouvelles choses, si jamais ton blog dure dans le temps, et que tu ressens encore le besoin de "te parler à toi-même"...
Il m'arrive d'avoir des relations  sexuelles avec des filles qui découvrent qu'elles ont une nature de soumise, et qui aiment, comme tu le décris si bien, sentir leur bouche investie par une queue sans trop de ménagement, et j'avoue aimer beaucoup ça (cependant avec tout ce qui va autour, c'est à dire de la complicité, de la tendresse, du respect, donc pas du tout dans l'ambiance d'une tournante dans les caves d'une cité)Je trouve ta façon de te raconter et d'assumer cette sexualité très forte, admirable...
C'était ma première fois à aller visiter des blogs pour adultes, et j'ai été extrêmement agréablement surpris d'en trouver un (le tien) avec du texte, des choses intéressantes a lire, plutôt que des photos de nanas cuisses écartées, prises au flash, qui sont la plupart du temps horribles, et ce même si la nana est plutôt jolie... bref.. FELICITATIONS ! Je reviendrais te lire...
Laurent

Voilà par où commencer? Tout simplement bravo, j'ai réellement adoré. Pourtant je ne suis pas un fervent pratiquant du blog, je me suis mis à surfer sur l'un ou l'autre et puis de fil en aiguille je suis tombé sur le tien, et là plus moyen de re-décoller. Je suis resté scotché sur tes pages en prenant bien soin de lire ton récit par ordre chronologique. Ton expérience est certes originale, elle sort des sentiers battus et du conventionnalisme de bon aloi dicté par notre société, d'ailleurs ton dernier article intitulé "interlude" illustre à merveille cette "normalité sexuelle". Je ne l'aime pas non plus!
Ce qui est excitant dans ton blog c'est justement ce dépassement de la sacro-sainte norme, tu m'as donné beaucoup de plaisir à lire tes multiples aventures, cela m'a beaucoup excité autant t'avouer que j'étais en érection du quasi début jusqu'au dernier mot. Je sais que tu n'as pas l'habitude d'être remerciée, mais mille mercis pour cette source de plaisir que tu m'as donné. J'espère que tu m'en donneras encore!
J'ai particulièrement accroché les passages relatant ta relation avec ton ami photographe, j'ai été très touché par cette émotion impalpable par la majorité du commun des mortels. J'ai une relation un peu semblable avec une fille, avec même moins de sexe que tu lui accordais, et c'est très probablement la relation qui m'apporte le plus dans ma vie. Il n'est pas évident de trouver des amis (partenaires) avec qui tu puisses t'exprimer librement et que justement cette alchimie si rare et particulière fonctionne.
Ton blog est bien fichu, il se démarque des autres par les illustrations, tes photos sont en parfaite osmose avec tes mots. Le mélange des deux est très bien réussi : un cocktail savoureux et explosif. BRAVO et bonne continuation et surtout au plaisir de te lire!!!!!!!
Alexandre

Ton  récit m'a fasciné et m'a fouetté le sang. je n'ai actuellement pas d'autre moyen pour te posséder que de pomper tes textes et tes photos magnifiques. Tes récits me donnent envie de profiter de ton corps. J'aime moi aussi ces ambiances glauques et répétitives où la fille se fait prendre sans ménagement souvent à répétition. j'aime tremper mon sexe dans un vagin qui ne sait pas ce qui l'attend tellement il est surpris par l'atmosphère des caves qui sentent la poussière, l'huile de moteur et le linge sale. J'aime lorsque ces odeurs indéfinissables finissent par se mêler au sperme et à la sueur des types qui se succèdent.
Je connais certaines filles, des gamines très jeunes ou des femmes mariées mêmes, viennent se faire détrousser, tripoter, fouiller et pénétrer par tous les trous et à la chaîne. Je pense par exemple à la jeune femme d'un type qui discute souvent par la fenêtre de sa chambre (ils habitent au rez de chassée de l'immeuble). Il ne sait pas que sa pute de femme se fait enfiler par nombre de voisins et par connaissance par ceux d'autres quartier ou d'autres villes. Tout en étant moins cultivée que toi, elle a un peu ton caractère, elle est effacée, silencieuse, soumise, elle baisse la tête devant l'homme et ne refuse rien sauf si son mari est présent parce qu'il ne sait rien de tout ça.
Alain
Par Isa - Publié dans : Votre correspondance
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Vendredi 14 avril 5 14 /04 /Avr 10:37
Mon tour est rapidement venu, un soir où Blacky était particulièrement excité. Je ne le suçais pas assez bien à son goût, alors il s’est énervé et s’est mis à m’enfoncer sa grosse bite au fond de la gorge en me pinçant le nez pour que j’ouvre plus grand la bouche. Il me pistonnait si durement et si profondément que je bavais abondamment. Il m’a giflée durement pour que je ravale ma salive avant de recommencer encore plus violemment. J’étais prise de haut le cœur, à deux doigts de vomir. Là, il s’est mis en colère, il s’est brusquement retiré de ma gorge pour aller chercher son ceinturon. J’ai compris que j’allais y passer, et Djamila aussi, qui restait dans son coin sans s’en mêler. Le black m’a tordu les bras dans le dos, et fait mettre à genoux. Il m’a dit qu’il était temps de me dresser comme ma copine. Il m’a ordonné de lever les fesses et il a abattu son ceinturon. J’ai gémi sous la douleur. Je me suis repliée sur moi-même en jetant un regard éploré à Djamila. Elle semblait me plaindre. L’autre a crié pour que je relève les fesses et les coups se sont abattus sur mon cul. J’ai vite crié et pleurniché pour qu’il arrête, mais rien n’y a fait. Il m’a administré une interminable correction, les fesses me brûlaient et me faisaient terriblement mal. Djamila a bien essayé de lui dire de ne pas me faire trop mal, qu’elle n’avait pas l’habitude. Elle a pris une grosse claque et elle s’est réfugiée contre le mur. Elle ne s’en est plus mélée et j’ai dû subir la douloureuse séance jusqu’à ce qu’il décide que ça suffisait. J’avais le visage baigné de larmes.
Il m’a ordonné de me tourner et il m’a enculée d’un seul coup. J’ai crié encore, et puis je me suis tue, et je me suis laissée labourer l’anus en souffrant en silence. Quand il a estimé que j’étais bien ouverte, il s’est retiré et a appelé Djamila pour jouir dans sa bouche…
Par Isa - Publié dans : Blacky
Ecrire un commentaire - Voir les 9 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus